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SONDAGE : L’intervention de François Rivière vous a-t-telle convaincu ?

L’intervention de François Rivière vous a-t-telle convaincu ?

  • Oui

    Votes: 35 36.1%
  • Non

    Votes: 62 63.9%

  • Total des votants
    97

Drexciya

USAPiste sérieux
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25 Juillet 2012
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Oui. Parce qu'attendre autre chose de ce genre de rendez-vous c'est désormais être bien naïf. Et après tout on glane un nouveau joueur. Et puis parce que pour le coup il m'a bien fait marrer :
 

Pièces jointes

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9catalan

Titan du forum
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Ce dont il ne parle jamais c est son incapacité à trouver des gros sponsors.
Où sa capacité à les refuser
Bon la ça fait longtemps que ça dure.. Alors une bonne fois pour toute ou il dit la vérité Ou quelqu'un à un nom à qui FR lui a donné une fin de non recevoir pour rentrer dans le capital.. et la on s'y met tous...
Sinon ce n'est qu'un mauvais procès infondé..et on y met une fin immédiate.. Car à la longue ça use d'accuser sans preuve..
.
Ah si maintenant il faut des preuves des sources et des démonstrations ici...
C'est un minimum non!! sinon on serait tous guillotiné.... c'est trop facile de dire n'importe quoi sur n'importe qui...je pensais que tu était plus sérieux que ça...
J'ai des sources. Après je ne connais pas le détail des propositions. Mais si tu fais l'effort de te renseigner tu vas en trouver beaucoup de l'information
 

ouillade

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Où sa capacité à les refuser

Ah si maintenant il faut des preuves des sources et des démonstrations ici...

J'ai des sources. Après je ne connais pas le détail des propositions. Mais si tu fais l'effort de te renseigner tu vas en trouver beaucoup de l'information

Bon si maintenant ce n'est que des sources....sans filtres pas potables.... Bon soit sérieux STP tes sources ont un nom?? ah oui tu ne peux pas dire... alors tais toi.... et quand tu pourras reviens....
 

Arena

USAPiste sérieux
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Ce dont il ne parle jamais c est son incapacité à trouver des gros sponsors.
Cela dit pour être dans le business …trouver des sponsors en ce moment (fin de la période COVID, INFLATION , LES MARCHÉS QUI DÉVISSENT TOUS….IL faut être malade pour aller mettre du fric dans un club qui perd 2 Me par an et qui joue la 14 eme place ….la je suis comme lui, si vous en connaissez envoyez moi les coordonnées car j’en cherche moi aussi
 

webmaster

Le méchant "chef" de ce forum
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Canohès
Cela dit pour être dans le business …trouver des sponsors en ce moment (fin de la période COVID, INFLATION , LES MARCHÉS QUI DÉVISSENT TOUS….IL faut être malade pour aller mettre du fric dans un club qui perd 2 Me par an et qui joue la 14 eme place ….la je suis comme lui, si vous en connaissez envoyez moi les coordonnées car j’en cherche moi aussi


T’as une marque aussi forte que celle de l’USAP ?
 

LARTIN66

USAPiste convaincu
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Je pense que FR noie le poisson
Il a fait 2 CDD à deux anglais au chômage qui au final ferons 4 match de challenge européen et 8 match de top 14 donc une douzaine de match
Donc rien de transcendant
Il a parlé pour alliot qui dois bien se marrer, puisque si le 17 janviers y annonce qu il va pas faire de travaux pour AG et que la sasp USAP si elle veux un centre d entraînement ben qu elle se le monte(c comme si je disais une de mes sociétés a besoins d un entrepôt la mairie va me le payer= c ridicule )
Le budget c comme toujours y va stagner
Par contre le chantier effectif 2023/2024 ben rien donc en top top 14 ou pro D2 ben on est mal
Le dossier tedder nada ça veux dire qu il restera pas je pense
Et vu les têtes de Arlette et Rolland le bricolage et les fausses annonces c pas prêt de s arrêter
Donc vivement qu il se casse parce lUSAP ne mérite pas un charlot pareil, charlot qui au passage c est fait rapidement expulsé par ses associés dès qu ils ont sentir la nullité du personnage
Donc vivement que nous prenions le pouvoir par une création. De club de socios style bar ça
 

ouillade

Passe du temps sur le forum
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Bon maintenant c'est clair ALIOT CONFIRME on n'attend pas janvier..

  • image.jpg
Au lendemain de la conférence du président de l'USAP, François Rivière, Louis Aliot, le maire de Perpignan a confirmé qu'il souhaitait bien lancer rapidement le chantier de rénovation d'Aimé-Giral, celui du centre d'entraînement, du centre de formation, mais aussi celui de Gilbert-Brutus. Il a également assuré au président son soutien, reconnaissant tout le travail effectué depuis son arrivée il y a huit ans.

François Rivière a annoncé mardi que vous aviez validé les travaux du stade Aimé-Giral et ceux du centre d’entraînement. Vous confirmez ?

Nous ferons une conférence de presse commune le 17 janvier. J’ai commandé deux audits. Un sur Aimé-Giral et un sur Gilbert-Brutus. On me rendra la copie dans quelques semaines. C’est à ce moment-là que je pourrais donner des chiffres sur le coût et lancer ensuite le tour de table avec les collectivités.

Cela veut dire qu’il faut encore être prudents sur la faisabilité ?

Non parce qu’on est obligés. Si on veut avoir deux équipes à haut niveau et des stades aux normes, il faudra bien qu’on le fasse. Mais il n’y a pas encore de projet abouti, même si les audits vont nous restituer les modifications et modernisation qu’il faut faire inévitablement.

A lire aussi : Rugby à XV - Top 14 : François Rivière, le président de l'USAP, règle ses comptes

C’est une nécessité, sur le XV comme sur le XIII de développer des hospitalités, qui rapporteront de l’argent aux clubs ?

Oui, mais ces hospitalités ne doivent pas être payées que par le contribuable. Il faut que les clubs s’engagent aussi à investir sur leur stade. Ça existe partout, il n’y a aucune raison que ça n’existe pas chez nous. Il faut que le privé prenne sa part de responsabilités.

Monsieur Rivière a annoncé mardi qu’il était prêt à prendre en charge, via l’USAP, la gestion du stade Aimé-Giral. C’est quelque chose qui peut vous intéresser ?

Oui. Et pas qu’avec lui. J’en ai aussi parlé avec Bernard Guasch pour Brutus et c’est aussi en projet. Simplement, il faut maintenant qu’on regarde comment faire. Il faut un retour pour la collectivité. Pour le centre d’entraînement et le centre de formation, c’est très certainement la collectivité qui prendra en charge l’investissement. Si on regarde ce qu’il se fait à Bayonne, on est sur 6 à 7 M€. C’est tout à fait faisable, y compris dans les délais donnés par Mr Rivière (livraison début 2024, NDLR)

Comment vivez-vous la crise extra-sportive dans laquelle est l’USAP et son président, vis-à-vis de certains supporters ?

J’y suis attentif parce que pour nous, le rugby est un enjeu et une vitrine importante. Perpignan, c’est le rugby, à XV et à XIII et on regarde ça de près. C’est vrai qu’aujourd’hui, pour l’USAP, on paye la gestion passée. François Rivière a passé son temps à éponger un certain nombre de trous financiers et nous, à, petit à petit, faire des investissements de modernisation sur le stade qui n’ont pas été faits pas le passé. On sait très bien que c’est sans fin. Il faut changer la pelouse, après ce sera les sièges, ensuite, il faudra modifier les tribunes pour rajouter des hospitalités, il y a des problèmes de parking… L’investissement est lourd. L’idéal aurait été qu’il y a quelques années, tout le monde s’entende sur un troisième stade pour qu’on en sorte. Malheureusement, ça n’a pas été possible. Moi, j’ai toujours dit que dans une ville comme la nôtre, où on a un potentiel fiscal limité, on ne peut pas mettre en péril les finances de la collectivité pour un investissement trop massif sur du sport professionnel.

Vos relations avec le président Rivière sont bonnes ?

Oui. Il faut se rendre compte qu’il est arrivé à un moment où heureusement qu’il était là. On ne peut pas tout d’un coup le jeter comme un malpropre. Il met son argent. Moi, je défends les intérêts de la Ville, lui les siens. Pour l’instant, on converge sur le fait qu’on a besoin de l’USAP en Top 14, que c’est une vitrine et qu’on doit cheminer ensemble, même s’il peut y avoir des différends politiques. Il faut préserver l’outil USAP, le club et la marque. Je suis soutien de la SASP, mais aussi de l’association, sur laquelle j’ai aussi un œil attentif.


Vous avez une idée de la somme qu’il va falloir engager pour les deux stades ?

Pas encore. Mais pour Brutus, les premiers éléments sur la fameuse troisième tribune, avec un chiffrage qui n’est pas encore définitif, sont de 16 M€. Il y a dix ans, lors du premier projet, on était à 9 M€. Même divisée par trois avec la Région et le Département, c’est une somme importante. Et là, ce n’est que Brutus, il va aussi y avoir Aimé-Giral. C’est pour ça que je pense que les sociétés qui gèrent les équipes professionnelles investissent aussi dans leurs infrastructures.

La Ville est propriétaire. C’est compliqué de faire participer des privés…

Tous les montages sont possibles pour participer aux travaux. Ensuite, ils en seront propriétaires d’une partie. On ne manque pas d’outils juridiques.

Vous sentez une volonté des deux clubs de vous suivre là-dessus ?

Oui. Ils ont des bureaux qui poussent, des supporters aussi. De toute façon, depuis le départ je dis qu’à terme, on ne pourra plus gérer directement les stades et qu’il faudra que les privés s’en occupent. J’espérais que le XIII et le XV se donnent la main et qu’on mutualise un stade. Manifestement ce n’est pas possible donc on ne va plus perdre de temps et il faut lancer.

Pour le centre de formation, pour l’achat des terrains derrière le parc des sports. Où en êtes-vous des discussions ?

Une dernière offre a été faite. On arrive au bout. J’espère qu’on bouclera ce dossier avant Noël et tout officialiser en début d’année. On pourra alors remettre nos audits aux autres collectivités qui pourront regarder comment nous aider.



 

Bleue et soleil

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Bon maintenant c'est clair ALIOT CONFIRME on n'attend pas janvier..




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Au lendemain de la conférence du président de l'USAP, François Rivière, Louis Aliot, le maire de Perpignan a confirmé qu'il souhaitait bien lancer rapidement le chantier de rénovation d'Aimé-Giral, celui du centre d'entraînement, du centre de formation, mais aussi celui de Gilbert-Brutus. Il a également assuré au président son soutien, reconnaissant tout le travail effectué depuis son arrivée il y a huit ans.

François Rivière a annoncé mardi que vous aviez validé les travaux du stade Aimé-Giral et ceux du centre d’entraînement. Vous confirmez ?

Nous ferons une conférence de presse commune le 17 janvier. J’ai commandé deux audits. Un sur Aimé-Giral et un sur Gilbert-Brutus. On me rendra la copie dans quelques semaines. C’est à ce moment-là que je pourrais donner des chiffres sur le coût et lancer ensuite le tour de table avec les collectivités.

Cela veut dire qu’il faut encore être prudents sur la faisabilité ?

Non parce qu’on est obligés. Si on veut avoir deux équipes à haut niveau et des stades aux normes, il faudra bien qu’on le fasse. Mais il n’y a pas encore de projet abouti, même si les audits vont nous restituer les modifications et modernisation qu’il faut faire inévitablement.

A lire aussi : Rugby à XV - Top 14 : François Rivière, le président de l'USAP, règle ses comptes

C’est une nécessité, sur le XV comme sur le XIII de développer des hospitalités, qui rapporteront de l’argent aux clubs ?

Oui, mais ces hospitalités ne doivent pas être payées que par le contribuable. Il faut que les clubs s’engagent aussi à investir sur leur stade. Ça existe partout, il n’y a aucune raison que ça n’existe pas chez nous. Il faut que le privé prenne sa part de responsabilités.

Monsieur Rivière a annoncé mardi qu’il était prêt à prendre en charge, via l’USAP, la gestion du stade Aimé-Giral. C’est quelque chose qui peut vous intéresser ?

Oui. Et pas qu’avec lui. J’en ai aussi parlé avec Bernard Guasch pour Brutus et c’est aussi en projet. Simplement, il faut maintenant qu’on regarde comment faire. Il faut un retour pour la collectivité. Pour le centre d’entraînement et le centre de formation, c’est très certainement la collectivité qui prendra en charge l’investissement. Si on regarde ce qu’il se fait à Bayonne, on est sur 6 à 7 M€. C’est tout à fait faisable, y compris dans les délais donnés par Mr Rivière (livraison début 2024, NDLR)

Comment vivez-vous la crise extra-sportive dans laquelle est l’USAP et son président, vis-à-vis de certains supporters ?

J’y suis attentif parce que pour nous, le rugby est un enjeu et une vitrine importante. Perpignan, c’est le rugby, à XV et à XIII et on regarde ça de près. C’est vrai qu’aujourd’hui, pour l’USAP, on paye la gestion passée. François Rivière a passé son temps à éponger un certain nombre de trous financiers et nous, à, petit à petit, faire des investissements de modernisation sur le stade qui n’ont pas été faits pas le passé. On sait très bien que c’est sans fin. Il faut changer la pelouse, après ce sera les sièges, ensuite, il faudra modifier les tribunes pour rajouter des hospitalités, il y a des problèmes de parking… L’investissement est lourd. L’idéal aurait été qu’il y a quelques années, tout le monde s’entende sur un troisième stade pour qu’on en sorte. Malheureusement, ça n’a pas été possible. Moi, j’ai toujours dit que dans une ville comme la nôtre, où on a un potentiel fiscal limité, on ne peut pas mettre en péril les finances de la collectivité pour un investissement trop massif sur du sport professionnel.

Vos relations avec le président Rivière sont bonnes ?

Oui. Il faut se rendre compte qu’il est arrivé à un moment où heureusement qu’il était là. On ne peut pas tout d’un coup le jeter comme un malpropre. Il met son argent. Moi, je défends les intérêts de la Ville, lui les siens. Pour l’instant, on converge sur le fait qu’on a besoin de l’USAP en Top 14, que c’est une vitrine et qu’on doit cheminer ensemble, même s’il peut y avoir des différends politiques. Il faut préserver l’outil USAP, le club et la marque. Je suis soutien de la SASP, mais aussi de l’association, sur laquelle j’ai aussi un œil attentif.


Vous avez une idée de la somme qu’il va falloir engager pour les deux stades ?

Pas encore. Mais pour Brutus, les premiers éléments sur la fameuse troisième tribune, avec un chiffrage qui n’est pas encore définitif, sont de 16 M€. Il y a dix ans, lors du premier projet, on était à 9 M€. Même divisée par trois avec la Région et le Département, c’est une somme importante. Et là, ce n’est que Brutus, il va aussi y avoir Aimé-Giral. C’est pour ça que je pense que les sociétés qui gèrent les équipes professionnelles investissent aussi dans leurs infrastructures.

La Ville est propriétaire. C’est compliqué de faire participer des privés…

Tous les montages sont possibles pour participer aux travaux. Ensuite, ils en seront propriétaires d’une partie. On ne manque pas d’outils juridiques.

Vous sentez une volonté des deux clubs de vous suivre là-dessus ?

Oui. Ils ont des bureaux qui poussent, des supporters aussi. De toute façon, depuis le départ je dis qu’à terme, on ne pourra plus gérer directement les stades et qu’il faudra que les privés s’en occupent. J’espérais que le XIII et le XV se donnent la main et qu’on mutualise un stade. Manifestement ce n’est pas possible donc on ne va plus perdre de temps et il faut lancer.

Pour le centre de formation, pour l’achat des terrains derrière le parc des sports. Où en êtes-vous des discussions ?

Une dernière offre a été faite. On arrive au bout. J’espère qu’on bouclera ce dossier avant Noël et tout officialiser en début d’année. On pourra alors remettre nos audits aux autres collectivités qui pourront regarder comment nous aider.





A condition comme la plus part des clubs que l USAP participe au financement , ce qui dès le début des négociations il y a plusieurs années devait déjà être précisé
 
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