En même temps un Stade "Yves du Manoir" à Montpellier avec une tribune "Murrayfield", une tribune "Eden Park", une tribune "Twickenham"... quelque part au final "Stadium Mohed Altrad" ça fleure plus le terroir ciste que tout le reste réuni.
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Yves du Manoir change de nom pour ....
- Auteur du sujet dante
- Date de début
Au pire nous demandons l'indépendance comme les cousins du Sud et ont montent un championnat avec Ceret, Argeles, et Prades, comme ça chaque saison nous sommes champion et nous jouons la H-Cup, enfin la nouvelle coupe d'Europe !
plus sérieusement si les 2 régions fusionnent ça va faire un paquetasse de clubs de rugby pro! En Top14 Toulouse, Castres, Montpellier et en ProD2 l'USAP, Narbonne, Carcassonne, Beziers, Albi, Tarbes, Montauban ! Soit 10 clubs, autant faire un championnat entre nous !
C'est pourquoi Montpellier a anticipé le coup d'après avec le projet Montpellier métropole qui devrait voir le jour dès 2015. La métropole s étendra de Sete à Ales.
Au passage et puisque le débat rebondit une fois de plus sur le sujet, le MHR ne touchait pas plus que l'USAP l'an passé de la part de la région, bien au contraire...
Par contre le MHR est le club le plus dépendant de l'argent public en raison des concours versé par la mairie et l'agglo. Et le nouvel épisode du stade est une nouvelle invention hallucinante des gestionnaires publics montpelliérains.
Bon il est évident qu'Altrad peut faire ce qu'il veut avec son argent et je comprends qu'il veuille donner plus de visibilité à son investissement mais on parle là du naming d'un équipement municipal dont les recettes vont profiter au club résident. C'est comme si Total renommait la pénétrante de Perpignan parce qu'il y a une station service et que pas un centime ne revienne à la puissance publique qui a payé l'équipement ! On passe sur le fait que l'USAP loue 400 000 € AG alors que le MHR loue 200 000 € un stade qu'il trouve trop cher et sur lequel il souhaite tirer de nouveaux revenus de brasserie tout en payant un loyer inférieur.
Et puis histoire de respecter l'identité du lieu ça aurait eu plus de gueule d'appeler ça "le Manoir Altrad" !
Par contre le MHR est le club le plus dépendant de l'argent public en raison des concours versé par la mairie et l'agglo. Et le nouvel épisode du stade est une nouvelle invention hallucinante des gestionnaires publics montpelliérains.
Bon il est évident qu'Altrad peut faire ce qu'il veut avec son argent et je comprends qu'il veuille donner plus de visibilité à son investissement mais on parle là du naming d'un équipement municipal dont les recettes vont profiter au club résident. C'est comme si Total renommait la pénétrante de Perpignan parce qu'il y a une station service et que pas un centime ne revienne à la puissance publique qui a payé l'équipement ! On passe sur le fait que l'USAP loue 400 000 € AG alors que le MHR loue 200 000 € un stade qu'il trouve trop cher et sur lequel il souhaite tirer de nouveaux revenus de brasserie tout en payant un loyer inférieur.
Et puis histoire de respecter l'identité du lieu ça aurait eu plus de gueule d'appeler ça "le Manoir Altrad" !
Sauf que le MHR joue en Top 14 sur le terrain Altrad et que l'Usap joue en proD2 au Stade Aimé Giral.
Certains trouveront que le vrai rugby se passe en proD2, mais il y a un an , ils disaient le contraire. Il est vrai qu'il y a un an on ne connaissait pas encore le nom de Rivière...:391581::391581::391581:
C'est séduisant mais ce n'est pas possible pour une raison simple : un club supporte non seulement les aléas économiques d'une entreprise, mais aussi et surtout le risque sportif d'une relégation. Tu peux parfaitement gérer ton club, avec résultat positif et tous les voyants au vert, et néanmoins boire le bouillon en fin de saison.
Ca n'existe dans aucun autre secteur économique. Et aucun financier ne peut suivre dans ces conditions s'il faut investir sur des années pour un équipement.
L'alternative existe : c'est une ligue fermée sans promotion ni relégation. Là, tu peux demander à des actionnaires de signer sur dix ans puisque tu leur promets que, dans dix ans, le club sera toujours là.
Tant qu'on s'attache à un système ouvert, les financements ne peuvent qu'être publics.