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Usap/Agen

Comment peux tu encore mettre cabelo alors qu'il n'a pas joué depuis des plombes ?
Par ailleurs , votu est blessé et mjekevu incertain..
Mjekevu incertain ? D'où sort cette info ?
Votu, juste un gros coup sur le genou, il sera dispo pour dimanche d'après l'indépendant
 
Mjekevu sera dispo c'est certain, A.H n'a évoqué que Votu et Allan.
Quand j'ai vu Votu sortir du terrain je me suis demandé si il avait si mal que ça :confused:

La personne qui a dit " Mjekevu incertain " dit avoir glané ces infos lundi matin il me semble...
J'ai du mal à comprendre comment certaines personnes ont entendu ces bruits, car après match Mjekevu sautait dans tous les sens ( donc il allait bien ), et lundi les joueurs sont de repos donc je vois mal comment il a pu se casser sans avoir à s'entraîner...
Que cette personne se manifeste !

Perso, mieux vaut se référer à l'indep par exemple.mrgreen
 
Mjekevu sera dispo c'est certain, A.H n'a évoqué que Votu et Allan.
Quand j'ai vu Votu sortir du terrain je me suis demandé si il avait si mal que ça :confused:

La personne qui a dit " Mjekevu incertain " dit avoir glané ces infos lundi matin il me semble...
J'ai du mal à comprendre comment certaines personnes ont entendu ces bruits, car après match Mjekevu sautait dans tous les sens ( donc il allait bien ), et lundi les joueurs sont de repos donc je vois mal comment il a pu se casser sans avoir à s'entraîner...
Que cette personne se manifeste !

Perso, mieux vaut se référer à l'indep par exemple.mrgreen

Me voilà rassuré!!
 
Interview du président du SUA:

Alain Tingaud : «Je crois à l'exploit à Perpignan»

Si le SUA doit atteindre le stade Ernest-Wallon le dimanche 24 mai pour la finale d'accession de Pro D2, ce sera par la face Est, la plus compliquée, celle d'Aimé-Giral. Cela n'empêche pas Alain Tingaud, le président du SUA, de garder la foi en ses joueurs et dans leur capacité de renverser la montagne catalane.

Vous étiez très déçu dimanche soir. C'est le fait d'avoir vu une formidable ambiance à Armandie et de ne pas pouvoir y goûter à nouveau avec une demi-finale à domicile ?

Il y a eu tant de choses qui pouvaient expliquer cette déception. La domination de notre équipe qui devait gagner, déjà. Et puis c'est vrai, il y avait cet Armandie magnifique comme on l'a rarement vu depuis longtemps. Qu'est-ce qu'a fait Perpignan, une ou deux fulgurances ? On avait largement la place de l'emporter, j'étais donc déçu et même un peu en colère, à cause de notre erreur de jeunesse. En 2e mi-temps, j'ai eu l'impression de revivre un peu la finale de l'année dernière à Bordeaux. On n'a pas su gérer le match sur la fin, même si on aurait pu s'échapper définitivement en inscrivant nos pénalités ou en marquant un essai dont nous étions tout proches.

Dès dimanche soir, Mathieu Blin évoquait un manque à gagner pour le club. Vous pouvez préciser ?

C'est vrai qu'on perd beaucoup de recettes en direct. Pas sur la billetterie, car sur une demi-finale de ProD2, elle remonte en intégralité à la Ligue, mais sur les buvettes et tout le réceptif qui entoure un match à domicile on perd de l'argent. Mais franchement, plus que la recette, c'est vraiment le fait de ne pas pouvoir offrir à notre public une demi-finale à la maison qui m'a attristé. On a eu un conseil d'administration lundi soir, prévu de longue date, pour parler des offres de la saison prochaine, il aurait pu se réunir davantage dans la joie d'accueillir cette demi-finale. Cela ne va toutefois pas empêcher le club de continuer à se développer.

On sent de la déception, de la colère, mais pas d'abattement dans votre propos.

Je veux qu'on montre une énergie positive, depuis le président jusqu'au moindre supporter. Je suis convaincu qu'on peut aller gagner à Perpignan. On ira gagner à Aimé-Giral si tout le monde fait preuve de cette énergie positive. Il faut arrêter de refaire le match de dimanche dernier, de ressasser ceci ou cela. Nous sommes en position, si on l'emporte chez les Catalans, d'écrire une des plus belles pages de notre histoire. Si on va s'imposer à Perpignan, plus rien ne sera en mesure de nous arrêter.

Vous vous sentez soutenu dans cette démarche de remobilisation ?

Plus que jamais, dès hier, Jean Dionis et la ville d'Agen ont décidé de nous soutenir en mettant à disposition dix bus pour transporter gratuitement les supporters jusqu'à Perpignan. Le club offrira pour sa part les 500 pique-niques aux supporters. Il nous faut un vrai soutien populaire. Si les joueurs le ressentent, on peut faire quelque chose. Je crois à l'exploit mais tout le monde doit s'engager pour le réaliser.

Vous semblez vraiment sûr de votre équipe ?

Pourquoi je ne le serais pas ? Dans toutes les lignes nous avons le potentiel pour le faire. C'est dans la tête que cela doit se passer. Les joueurs ont raté la demi-finale à domicile. Ils n'ont pas raté leur championnat. On peut faire l'exploit à Perpignan. On a gagné à Mont-de-Marsan. On a gagné à Montauban. On a battu toutes les grosses équipes à domicile (hormis Perpignan, N.D.L.R.), on peut vraiment l'emporter à Aimé-Giral.

Sportivement, le SUA semble en avoir les moyens, il l'a montré dimanche, mais mentalement, d'où peut venir le déclic ?

Dimanche dernier, on avait joué le match avant de l'avoir joué. Il faut avoir confiance en nous. Il faut qu'on ait peur de ne pas remplir notre contrat. On ne doit pas avoir peur de Perpignan, mais de nous-mêmes, de notre capacité à ne pas faire ce qu'on doit pouvoir faire. On a n'a pas le droit de trembler. Burton Francis doit décupler sa concentration pour être au plus haut niveau, idem pour Raphaël Lagarde. Le déclic mental, c'est de se dire «je n'ai pas le droit de ne pas remplir mon contrat». On doit faire le job !

Comment faire aussi que les supporters agenais n'aient pas peur de se rendre à Aimé-Giral. On sent que de ce côté-là aussi il y a besoin d'un déclic.

Ils doivent se dire «qu'est-ce qu'on a à perdre d'aller à Aimé-Giral ?» Ils doivent montrer que nous sommes un très grand club avec des supporters, des bénévoles et des partenaires. Avec dix bus remplis, plus toutes les personnes qui se déplaceront avec leurs véhicules personnels, il faut qu'il y ait au moins 500 personnes à Aimé-Giral. Il faut qu'il y ait un gros pavé bleu et blanc dans les tribunes, un repère sur lequel les joueurs pourront s'appuyer pour réaliser leur exploit, qui leur apportera ce supplément de confiance. Je suis persuadé d'une chose, dans la vie, il n'y a que les énergies positives qui font avancer. Dimanche, tout le monde doit être porté par cette énergie positive.

Le Petit Bleu
 
Interview du président du SUA:

Alain Tingaud : «Je crois à l'exploit à Perpignan»

Si le SUA doit atteindre le stade Ernest-Wallon le dimanche 24 mai pour la finale d'accession de Pro D2, ce sera par la face Est, la plus compliquée, celle d'Aimé-Giral. Cela n'empêche pas Alain Tingaud, le président du SUA, de garder la foi en ses joueurs et dans leur capacité de renverser la montagne catalane.

Vous étiez très déçu dimanche soir. C'est le fait d'avoir vu une formidable ambiance à Armandie et de ne pas pouvoir y goûter à nouveau avec une demi-finale à domicile ?

Il y a eu tant de choses qui pouvaient expliquer cette déception. La domination de notre équipe qui devait gagner, déjà. Et puis c'est vrai, il y avait cet Armandie magnifique comme on l'a rarement vu depuis longtemps. Qu'est-ce qu'a fait Perpignan, une ou deux fulgurances ? On avait largement la place de l'emporter, j'étais donc déçu et même un peu en colère, à cause de notre erreur de jeunesse. En 2e mi-temps, j'ai eu l'impression de revivre un peu la finale de l'année dernière à Bordeaux. On n'a pas su gérer le match sur la fin, même si on aurait pu s'échapper définitivement en inscrivant nos pénalités ou en marquant un essai dont nous étions tout proches.

Dès dimanche soir, Mathieu Blin évoquait un manque à gagner pour le club. Vous pouvez préciser ?

C'est vrai qu'on perd beaucoup de recettes en direct. Pas sur la billetterie, car sur une demi-finale de ProD2, elle remonte en intégralité à la Ligue, mais sur les buvettes et tout le réceptif qui entoure un match à domicile on perd de l'argent. Mais franchement, plus que la recette, c'est vraiment le fait de ne pas pouvoir offrir à notre public une demi-finale à la maison qui m'a attristé. On a eu un conseil d'administration lundi soir, prévu de longue date, pour parler des offres de la saison prochaine, il aurait pu se réunir davantage dans la joie d'accueillir cette demi-finale. Cela ne va toutefois pas empêcher le club de continuer à se développer.

On sent de la déception, de la colère, mais pas d'abattement dans votre propos.

Je veux qu'on montre une énergie positive, depuis le président jusqu'au moindre supporter. Je suis convaincu qu'on peut aller gagner à Perpignan. On ira gagner à Aimé-Giral si tout le monde fait preuve de cette énergie positive. Il faut arrêter de refaire le match de dimanche dernier, de ressasser ceci ou cela. Nous sommes en position, si on l'emporte chez les Catalans, d'écrire une des plus belles pages de notre histoire. Si on va s'imposer à Perpignan, plus rien ne sera en mesure de nous arrêter.

Vous vous sentez soutenu dans cette démarche de remobilisation ?

Plus que jamais, dès hier, Jean Dionis et la ville d'Agen ont décidé de nous soutenir en mettant à disposition dix bus pour transporter gratuitement les supporters jusqu'à Perpignan. Le club offrira pour sa part les 500 pique-niques aux supporters. Il nous faut un vrai soutien populaire. Si les joueurs le ressentent, on peut faire quelque chose. Je crois à l'exploit mais tout le monde doit s'engager pour le réaliser.

Vous semblez vraiment sûr de votre équipe ?

Pourquoi je ne le serais pas ? Dans toutes les lignes nous avons le potentiel pour le faire. C'est dans la tête que cela doit se passer. Les joueurs ont raté la demi-finale à domicile. Ils n'ont pas raté leur championnat. On peut faire l'exploit à Perpignan. On a gagné à Mont-de-Marsan. On a gagné à Montauban. On a battu toutes les grosses équipes à domicile (hormis Perpignan, N.D.L.R.), on peut vraiment l'emporter à Aimé-Giral.

Sportivement, le SUA semble en avoir les moyens, il l'a montré dimanche, mais mentalement, d'où peut venir le déclic ?

Dimanche dernier, on avait joué le match avant de l'avoir joué. Il faut avoir confiance en nous. Il faut qu'on ait peur de ne pas remplir notre contrat. On ne doit pas avoir peur de Perpignan, mais de nous-mêmes, de notre capacité à ne pas faire ce qu'on doit pouvoir faire. On a n'a pas le droit de trembler. Burton Francis doit décupler sa concentration pour être au plus haut niveau, idem pour Raphaël Lagarde. Le déclic mental, c'est de se dire «je n'ai pas le droit de ne pas remplir mon contrat». On doit faire le job !

Comment faire aussi que les supporters agenais n'aient pas peur de se rendre à Aimé-Giral. On sent que de ce côté-là aussi il y a besoin d'un déclic.

Ils doivent se dire «qu'est-ce qu'on a à perdre d'aller à Aimé-Giral ?» Ils doivent montrer que nous sommes un très grand club avec des supporters, des bénévoles et des partenaires. Avec dix bus remplis, plus toutes les personnes qui se déplaceront avec leurs véhicules personnels, il faut qu'il y ait au moins 500 personnes à Aimé-Giral. Il faut qu'il y ait un gros pavé bleu et blanc dans les tribunes, un repère sur lequel les joueurs pourront s'appuyer pour réaliser leur exploit, qui leur apportera ce supplément de confiance. Je suis persuadé d'une chose, dans la vie, il n'y a que les énergies positives qui font avancer. Dimanche, tout le monde doit être porté par cette énergie positive.

Le Petit Bleu

Et ils ont tout et rien à perdre....sur un match rien n'est sur et rien n'est acquis !!
 
Je me lance !

Pulu - Terrain - Ion ( Forletta & Chéron )
Vilaceca(cap) - Kulemin ( Bothma & Charlon )
Chateau - Tuilagui - Strokosch ( Beaux )
Duvenage Belie ( Ecochard )
Votu - Piukala - Mafi - Mjekevu ( Marty )
Michel ( Bousquet )

Terrain a bien tenu 80 minutes au dernier match et donc je suis un peu + tenté de mettre deux secondes lattes pour tout exploser, sachant que Bothma et Charlon sont au top de leur forme ( tout dépend de la forme de Terrain ? )
Avec Cabello qui avance pas beaucoup et Carbou qui rate 1 lancer sur 2... Difficile de savoir.

On a nos meilleurs éléments aptes hormis Allan que j'aurais bien aimé revoir.

:drapeau:
Oui mais si y se blesse on est dans la ***** alors moi je mettrais un mec d'expérience comme Cabello
 
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