santgaldric
USAPiste sérieux
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Né à Corneilla del vercol, il reste le plus célèbre cavalier français Il a remporté deux fois le concours de saut d'obstacles aux JO de 1952 à Helsinki et en 1964 à Tokyo.
A chaque occasion, il a fait acheminer sur place de la paille de Corneilla pour nourrir sa monture Ali-Baba.
Issu de la noblesse catalane, ce propriétaire terrien, vigneron aux côtés de son père dès l’âge de 17 ans, était entré dans la compétition dès l’âge de 12 ans.
Il n'a pas hésité pas à affirmer publiquement sur le tard, ses opinions politiques d’extrême-droite en étant président du comité de soutien de Bruno Mégret.
Alors quand je vois le pataquès mondial que fait une élucubration à la kon de Folau, je me dis qu'heureusement ce grand champion de chez nous n'aura pas eu à subir "les tweets délateurs de maintenant. cette époque ou le politiquement correct nous impose des orthographes genrées, nous déconseille d’employer des mots supposés dérangeants, fustigeant les “nouveaux censeurs” qui “se croient les rois du monde derrière le clavier de leur smartphone”. (Riss)
Jugeons les sportifs sur leurs exploits et non sur leur pensée.
A chaque occasion, il a fait acheminer sur place de la paille de Corneilla pour nourrir sa monture Ali-Baba.
Issu de la noblesse catalane, ce propriétaire terrien, vigneron aux côtés de son père dès l’âge de 17 ans, était entré dans la compétition dès l’âge de 12 ans.
Il n'a pas hésité pas à affirmer publiquement sur le tard, ses opinions politiques d’extrême-droite en étant président du comité de soutien de Bruno Mégret.
Alors quand je vois le pataquès mondial que fait une élucubration à la kon de Folau, je me dis qu'heureusement ce grand champion de chez nous n'aura pas eu à subir "les tweets délateurs de maintenant. cette époque ou le politiquement correct nous impose des orthographes genrées, nous déconseille d’employer des mots supposés dérangeants, fustigeant les “nouveaux censeurs” qui “se croient les rois du monde derrière le clavier de leur smartphone”. (Riss)
Jugeons les sportifs sur leurs exploits et non sur leur pensée.
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