Je te rejoins sur toute ces constatations
Mon propos est de dire que la lutte antidopage en rugby comme dans pas mal de sport est là pour le principe mais certainement pas pour éradiquer le problème , c est pas pour rien qu on chope que des lampistes ( des espoirs isolés , un joueur par ci par là qui a oublié le suivi longitudinal )
Sinon les gabarits boursouflés par les corticoïdes ne seraient pas aussi nombreux depuis 10 ans dans le rugby mondial ( vous pouvez soulever de la fonte tout les jours pendant un an vous n'obtiendrez jamais ce type de gabarit )
Je te rejoins sur le fait qu il n y a pas de fumé sans feu surtout dans ce domaine
Et il y a probablement des systèmes institués dans pas mal de club , avec certains plus en avance que d'autres ( la preuve avec l exemple des clubs de Nrl épinglés par la lutte anti dopage australienne )
Pas mieux...
La fin du rugby de village a sonné le glas du rugby plus ou moins propre, il y avait déjà des apprentis sorcier à l'époque, mais l'arrivée des businessmen dans notre sport (Boudjellal, Lorenzetti, etc, et encore, que pour parler de la FFR) a rendu la courbe exponentielle.
Faut arrêter de croire que ce sont juste des passionnés, ils ne sont pas venus pour faire du sentiment mais pour faire du business, donc la santé ds joueurs est secondaire, le principal étant d'attirer afin de faire du chiffre (entrées, abonnements, produits dérivés, image, etc).
Vous aurez compris que je regrette que ce rugby de village, où les problèmes de mêlée se réglaient à la mêlée suivante et pas à la LNR, où les joueurs gagnaient moins d'argent mais où le corporatisme (bien que je n'aime pas le temre) savait assurer l'avenir des méritants.
La Voulte, Bagnères, Graulhet, Béziers, Narbonne, Bourgoin... Au suivant!