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31 % de baisse demandés en Top 14, 27 % en Pro D2

Ousap

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CORONAVIRUS - TOP 14 - PRO D2 - La réunion paritaire qui sʼest tenue ce jeudi a donné lieu à des débats houleux au sujet de la baisse de 31 % de leurs salaires proposée aux joueurs de Top 14.
Initialement prévue mardi, la réunion paritaire entre Provale (le syndicat des joueurs), l'UPCR (les clubs pro) et Tech XV (le syndicat des entraîneurs) avait été repoussée à ce jeudi en raison des annonces du Premier ministre Édouard Philippe sur le déconfinement du 11 mai, qui ont douché les espoirs de reprendre les compétitions avant le mois d'août. Son objet ? Un sujet sensible sʼil en est, à savoir la baisse des salaires, présentée comme vital pour faire face aux conséquences économiques de la crise sanitaire, qui toucheront l'intégralité des clubs. Laquelle doit sʼavérer d'autant plus complexe que les éventuelles baisses de salaire devront se négocier de gré à gré avec chaque joueur...

Si tous les clubs sont passés au chômage partiel depuis le début du confinementt, à la mi-mars, seul Montpellier, avait jusquʼalors entamé des négociations officielles avec son effectif. Début avril, la première approche du président Mohed Altrad, demandant une baisse de salaire de 26 % à ses joueurs, avait été froidement accueillie. Et le moins que lʼon puisse dire est que, durant cette réunion paritaire, les joueurs ont joué tout aussi groupé…

31 % de baisse demandés en Top 14, 27 % en Pro D2
Cet après-midi, cʼétaient ainsi les trente représentants de Provale qui sʼétaient attablés autour de la table virtuelle des négociations, en plus du président du syndicat Robins Tchalé-Watchou. Si ce dernier sʼétait montré plutôt compréhensif vis à vis des problématiques des présidents de club depuis le début de la crise, le joueurs ne lʼont pas été autant, qui plus est au vu des baisses drastiques. En effet, les recommandations de la DNACG ont été reçues glacialement par les joueurs, lʼorgane de contrôle préconisant une baisse des salaires de 31 % pour les joueurs de Top 14 et de 27 % pour le Pro D2. Des chiffres qui ont soulevé une volée de boucliers chez les représentants de Provale, lesquels arguent à juste titre quʼils ne sont pas les premiers responsables de la flambée des salaires connue par le rugby ces derniers mois (quand bien même ils ne sont pas les derniers à en avoir profité) et ne sauraient porter à eux seuls les conséquences de la crise du coronavirus.

Alors, si pratiquement tous les directeurs sportifs des clubs professionnels ont déjà consenti à une baisse de leurs émoluments depuis le début de la crise sanitaire, nul doute quʼen ce qui concerne leurs joueurs, le combat est encore loin dʼêtre gagné. Car même si les joueurs sont bien conscients que la survie du rugby des clubs professionnels passera par cette négociation, ces derniers ne sont pas décidés à ce quʼelle se fasse à nʼimporte quel prix.
 
Pas de baisse de salaire pour les joueurs du RCT.
Je ne vois pas pourquoi, les joueurs ayant des contrats en cours devraient l'accepter.
Ce n'est pas à eux d'écoper le rafiot, ils ont profité d'un marché totalement dérégulé tant mieux pour eux.
Le risk business c'est aux dirigeants à l'assumer ou dégager, il y aura toujours quelqu'un pour vouloir être calife à la place du calife.

Si leur salaire est constitué par un haut % de primes, il n'y a pas de débat, c'est leur problème et ce sera bien fait pour leur g..,, comme quoi un salaire brut hors prime élevée c'est pas mal aussi. Les montages financiers pour économiser quelques k€ c'est cool quand tout va bien.

Une idée pour Bercy, demander des réserves énormes aux clubs pro, comme il le fait dans d'autres secteur d'activité, cela amorti méchamment les secousses, même si c'est très dur à constituer.
 
Dernière édition:
Pas de baisse de salaire pour les joueurs du RCT.
Je ne vois pas pourquoi, les joueurs ayant des contrats en cours devraient l'accepter.
Ce n'est pas à eux d'écoper le rafiot, ils ont profité d'un marché totalement dérégulé tant mieux pour eux.
Le risk business c'est aux dirigeants à l'assumer ou dégager, il y aura toujours quelqu'un pour vouloir être calife à la place du calife.

Si leur salaire est constitué par un haut % de primes, c'est leur problème et ce sera bien fait pour leur g..,, comme quoi un salaire brut hors prime élevée c'est pas mal aussi. Les montages financiers pour économiser quelques k€ c'est cool quand tout va bien.

Une idée pour Bercy, demander des réserves énormes aux clubs pro, comme il le fait dans d'autres secteur d'activité, cela amorti méchamment les secousses, même si c'est très dur à constituer.
je trouve ton point de vue étonnant mais je le respecte bien sur
moi quand je vois que les salaries du privée ont une baisse de revenus , que certains indépendants ont droit a 1500 e et d autres rien
je vois par pourquoi les rugbymens ne participerait pas a la fête
mais après tout ils font comme ils veulent par contre si le club met la clef sous la porte a cause de ca et bien ils n auront plus qu a rechercher un autre club et la je leur souhaite bien du courage
pour exemple en super league tous les joueurs ont actés une baisse de revenu allant de 15 a 50% en moins selon les clubs même chose pour les joueurs australiens a 15 et les all black
 
CORONAVIRUS - TOP 14 - PRO D2 - La réunion paritaire qui sʼest tenue ce jeudi a donné lieu à des débats houleux au sujet de la baisse de 31 % de leurs salaires proposée aux joueurs de Top 14.
Initialement prévue mardi, la réunion paritaire entre Provale (le syndicat des joueurs), l'UPCR (les clubs pro) et Tech XV (le syndicat des entraîneurs) avait été repoussée à ce jeudi en raison des annonces du Premier ministre Édouard Philippe sur le déconfinement du 11 mai, qui ont douché les espoirs de reprendre les compétitions avant le mois d'août. Son objet ? Un sujet sensible sʼil en est, à savoir la baisse des salaires, présentée comme vital pour faire face aux conséquences économiques de la crise sanitaire, qui toucheront l'intégralité des clubs. Laquelle doit sʼavérer d'autant plus complexe que les éventuelles baisses de salaire devront se négocier de gré à gré avec chaque joueur...

Si tous les clubs sont passés au chômage partiel depuis le début du confinementt, à la mi-mars, seul Montpellier, avait jusquʼalors entamé des négociations officielles avec son effectif. Début avril, la première approche du président Mohed Altrad, demandant une baisse de salaire de 26 % à ses joueurs, avait été froidement accueillie. Et le moins que lʼon puisse dire est que, durant cette réunion paritaire, les joueurs ont joué tout aussi groupé…

31 % de baisse demandés en Top 14, 27 % en Pro D2
Cet après-midi, cʼétaient ainsi les trente représentants de Provale qui sʼétaient attablés autour de la table virtuelle des négociations, en plus du président du syndicat Robins Tchalé-Watchou. Si ce dernier sʼétait montré plutôt compréhensif vis à vis des problématiques des présidents de club depuis le début de la crise, le joueurs ne lʼont pas été autant, qui plus est au vu des baisses drastiques. En effet, les recommandations de la DNACG ont été reçues glacialement par les joueurs, lʼorgane de contrôle préconisant une baisse des salaires de 31 % pour les joueurs de Top 14 et de 27 % pour le Pro D2. Des chiffres qui ont soulevé une volée de boucliers chez les représentants de Provale, lesquels arguent à juste titre quʼils ne sont pas les premiers responsables de la flambée des salaires connue par le rugby ces derniers mois (quand bien même ils ne sont pas les derniers à en avoir profité) et ne sauraient porter à eux seuls les conséquences de la crise du coronavirus.

Alors, si pratiquement tous les directeurs sportifs des clubs professionnels ont déjà consenti à une baisse de leurs émoluments depuis le début de la crise sanitaire, nul doute quʼen ce qui concerne leurs joueurs, le combat est encore loin dʼêtre gagné. Car même si les joueurs sont bien conscients que la survie du rugby des clubs professionnels passera par cette négociation, ces derniers ne sont pas décidés à ce quʼelle se fasse à nʼimporte quel prix.
A quoi sert un contrat de travail?
 
Pas de baisse de salaire pour les joueurs du RCT.
Je ne vois pas pourquoi, les joueurs ayant des contrats en cours devraient l'accepter.
Ce n'est pas à eux d'écoper le rafiot, ils ont profité d'un marché totalement dérégulé tant mieux pour eux.
Le risk business c'est aux dirigeants à l'assumer ou dégager, il y aura toujours quelqu'un pour vouloir être calife à la place du calife.

Si leur salaire est constitué par un haut % de primes, il n'y a pas de débat, c'est leur problème et ce sera bien fait pour leur g..,, comme quoi un salaire brut hors prime élevée c'est pas mal aussi. Les montages financiers pour économiser quelques k€ c'est cool quand tout va bien.

Une idée pour Bercy, demander des réserves énormes aux clubs pro, comme il le fait dans d'autres secteur d'activité, cela amorti méchamment les secousses, même si c'est très dur à constituer.
Ouais moi je me demande si tous ceux qui trouvent ça normal et qui sont salariés accepteraient que leur patron leur proposent une baisse de salaire de 30 pour cent?Et le niveau de la rémunération n'a rien à voir dans l'affaire.Sinon autant supprimer les contrats écrits,moins de papiers soulagera la planéte,et revenir au Tope la comme chez les maquignons...bééé bée,hii hii,hi han hi hanhaha
 
Le jour ou la boite est en liquidation tu est prioritaire pour toucher les salaires dus et les indemnités de licenciment
Ouais et alors? Les clubs de rugby pro sont en liquidation?
 
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