Cargol66
Passe du temps sur le forum
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Jérôme, quelle est votre sensation après avoir éliminé l'USAP dans ce stade d'Aimé-Giral que vous connaissez parfaitement ?
Ces barres, je les connaissais. Je me suis souvent entraîné sur ce terrain. J’y ai souvent joué. En deuxième période, le vent nous a permis de prendre des pénalités de loin. Ça m’a plutôt bien réussi.
Comment ce retour sur vos terres s'est-il passé ?
La préparation est différente, c’est sûr. C’est ma famille, mon club de cœur, mon club formateur. Evidemment, au niveau des émotions, c’est particulier. J’avais une grosse boule au ventre toute la semaine. Une fois qu’on est sur le pré, on oublie tout et on joue.
Est-ce une revanche pour vous ?
Je ne sais pas. Mais j’ai l’impression qu’il y a un petit signe du destin. Je ne devais pas la jouer, cette demi-finale. C’est l’équipe de base qui était prévue. Il y a deux ailiers qui se sont blessés. Et j’ai joué.
Vous avez été chahuté par le public, mais vous avez tenu à ne pas célébrer la victoire à la fin...
Beaucoup de gens m’aiment ici, j’en suis conscient. On a entendu les sifflets, mais beaucoup de gens m’ont applaudi. Il y avait eu un sondage après le premier match (en Top 14, ndlr). Il y avait 80% d’Usapistes qui me soutenaient. Donc je tenais à les remercier.
Comment vivez-vous cette victoire ?
C’est un sentiment très particulier. C’est joyeux, parce qu’on va jouer la finale et que ça n’arrive pas souvent dans une carrière. Après, certains mecs méritaient une autre sortie. Des amis, avec lesquels j’ai grandi, avec lesquels j’ai passé d’énormes moments dans ce club. Mais je ne vais pas cacher que je suis heureux d’être en finale.
Il y a eu une incompréhension avec Sergio Parisse sur l'avant-dernière pénalité...
Moi, je dis tout de suite à l’arbitre que j’ai envie de la prendre. Il indique les poteaux. Sergio, lui, voulait prendre la touche parce qu’en cas d’égalité, c’est le nombre d’essais qui compte. Sauf que c’est après la prolongation. Et lui, il pensait que c’était à la fin du temps réglementaire. Au final, il est venu s’excuser !
Ces barres, je les connaissais. Je me suis souvent entraîné sur ce terrain. J’y ai souvent joué. En deuxième période, le vent nous a permis de prendre des pénalités de loin. Ça m’a plutôt bien réussi.
Comment ce retour sur vos terres s'est-il passé ?
La préparation est différente, c’est sûr. C’est ma famille, mon club de cœur, mon club formateur. Evidemment, au niveau des émotions, c’est particulier. J’avais une grosse boule au ventre toute la semaine. Une fois qu’on est sur le pré, on oublie tout et on joue.
Est-ce une revanche pour vous ?
Je ne sais pas. Mais j’ai l’impression qu’il y a un petit signe du destin. Je ne devais pas la jouer, cette demi-finale. C’est l’équipe de base qui était prévue. Il y a deux ailiers qui se sont blessés. Et j’ai joué.
Vous avez été chahuté par le public, mais vous avez tenu à ne pas célébrer la victoire à la fin...
Beaucoup de gens m’aiment ici, j’en suis conscient. On a entendu les sifflets, mais beaucoup de gens m’ont applaudi. Il y avait eu un sondage après le premier match (en Top 14, ndlr). Il y avait 80% d’Usapistes qui me soutenaient. Donc je tenais à les remercier.
Comment vivez-vous cette victoire ?
C’est un sentiment très particulier. C’est joyeux, parce qu’on va jouer la finale et que ça n’arrive pas souvent dans une carrière. Après, certains mecs méritaient une autre sortie. Des amis, avec lesquels j’ai grandi, avec lesquels j’ai passé d’énormes moments dans ce club. Mais je ne vais pas cacher que je suis heureux d’être en finale.
Il y a eu une incompréhension avec Sergio Parisse sur l'avant-dernière pénalité...
Moi, je dis tout de suite à l’arbitre que j’ai envie de la prendre. Il indique les poteaux. Sergio, lui, voulait prendre la touche parce qu’en cas d’égalité, c’est le nombre d’essais qui compte. Sauf que c’est après la prolongation. Et lui, il pensait que c’était à la fin du temps réglementaire. Au final, il est venu s’excuser !