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Rugby : regarder vers le haut ou vers le bas ? Pour l'USAP tout peut encore arriver dans ce Top 14 incroyable - Lindependant.fr

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Rugby : regarder vers le haut ou vers le bas ? Pour l'USAP tout peut encore arriver dans ce Top 14 incroyable​

Gilles Navarro27/02/2024 à 19:20
L'USAP est à quatre points de La Rochelle, qui joue une qualification pour les phases finales. Mais n'a que deux points d'avance sur la zone de relégation.
L'USAP est à quatre points de La Rochelle, qui joue une qualification pour les phases finales. Mais n'a que deux points d'avance sur la zone de relégation.L'Indépendant - Nicolas Parent
Dans ce Top 14 très ouvert, où chaque victoire ou défaite chamboule les positions au classement, l'USAP pointe à neuf points de la place de barragiste, mais ne possède que neuf points d'avance sur Oyonnax, le relégable. Après seize journées, tout reste possible pour à peu près toutes les équipes.

Le Top 14 a joué près de deux tiers de sa saison, mais n'a livré aucun indice sur le dénouement de sa phase qualificative. Extrêmement ouvert, compétitif et homogène, le scénario du championnat français est un psychodrame permanent. Deux victoires de suite font rêver. Deux défaites en suivant provoquent la crise de nerfs ! L'USAP a déjà réussi le plus dur : quitter cette quatorzième place, synonyme de relégation qu'elle a occupé lors des six premières journées.

La période Coupe du monde a plombé le début de saison de l'équipe catalane : quatre défaites lors des quatre premières journées ont laissé imaginer le pire pour les joueurs de Franck Azéma. "L'USAPpaye son début de saison raté, analyse Bernard Goutta, l'ancien capitaine sang et or actuellement en vacances avec sa famille du côté de Font-Romeu. Mais il faut reprendre l'histoire par le début et ce début de championnat avec trois journées disputées, huit semaines de break à cause de la Coupe du monde, et puis un tunnel d'une quinzaine de matches en suivant ! Il fallait laisser le temps à Franck de travailler. Un nouveau staff se mettait en place, avec de nombreux joueurs étrangers absents pour cause de Coupe du monde. Pas évident de trouver le bon équilibre..."

Saison particulière​

En récupérant ses internationaux argentins, tongiens samoans ou italiens, l'équipe catalane a retrouvé de la compétitivité jusqu'à s'éloigner de la zone rouge. Mais viser les sommets paraît difficile à envisager pour Bernard Goutta. "L'USAP a perdu neuf matches sans prendre un seul point de bonus défensif,explique-t-il. C'est dommage car ils arrivent aujourd'hui à inscrire des bonus offensifs. Mais leurs concurrents directs, Montpellier, Bayonne ou Lyon reviennent de déplacement avec des points. Au final, ça va peser. Et puis des équipes ne sont pas à leur juste place, compte tenu de leurs budgets et de leurs effectifs, comme Montpellier ou Clermont. Toulon, lorsqu'ils auront récupéré Serin et Ollivon, ça ne va pas être la même équipe. Perpignan va continuer à se battre pour éviter la place de barragiste..."






L'USAP doit garder son identité
Pierre Berbizier, observateur attentif et pertinent des choses du rugby, estime que "le Top 14, je crois, est devenu plus équilibré." Grâce aux JIFF ? "Non, pas du tout, rétorque-t-il. Les JIFF on en reparlera en fin de saison, lorsqu'il faudra rétablir l'équilibre entre joueurs français et étrangers. Je constate que les clubs recrutent de plus en plus d'étrangers..." Il n'imaginait d'ailleurs pas que l'USAP en comptait autant dans son effectif. "Perpignan doit garder son identité, dit-il. C'est un club qui est l'illustration même des difficultés que rencontrent les villes petites ou moyennes dans notre championnat. Ces deux dernières saisons, l'USAP a bataillé dur pour le maintien. Ça crée un rapport particulier, tu t'habitues à jouer le maintien... Et les équipes qui craignaient le voyage à Perpignan par le passé, viennent aujourd'hui en se disant qu'elles peuvent gagner à Aimé-Giral. Les dernières journées ont montré du mieux. Perpignan doit s'appuyer sur les valeurs qui ont fait sa réputation, qu'elle a toujours montrée !"






Le Racing 92 et La Rochelle ont pu constater que ces valeurs étaient toujours d'actualité.

Le paradoxe du XV de France​

Ancien sélectionneur des Bleus (1991-1995) et de l'Italie (2005-2007), Pierre Berbizier a forcément regardé avec un œil très attentif la confrontation entre les deux nations dimanche lors du Tournoi des 6 Nations (13-13). Et il ne peut que constater, qu'en cette année post-Coupe du monde le XV de France "n'est pas sur les bonnes bases". "Sa conquête est fragile, sa défense encaisse trop de points, c'est une équipe qui manque d'efficacité et je ne parle pas de l'indiscipline..., analyse-t-il. Ça fait beaucoup pour une équipe qui ambitionnait de gagner le Tournoi... "
Est-ce que cette crise identitaire des Bleus a une influence sur le déroulement de ce Top 14 débridé ? "Je ne vois pas le lien, affirme-t-il. Ce qui est paradoxal, c'est de voir des joueurs à leur meilleur niveau en club qui perdent leurs moyens dès lors qu'ils sont en équipe de France. La charnière de l'UBB, Lucu-Jalibert, très efficace avec Bordeaux, l'est beaucoup moins en bleu..."
 

Christophe

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Perpignan et ses étrangers ? aujourd'hui ? C'est moins vrai que lorsque l'on a remporté le top 14 en 2009.
Les équipes craignaient le voyage et viennent aujourd'hui chercher des points ? Ah ouais ?
Ben non. C'était vrai en 2018/2019, et plus forcément aujourd'hui.

La vieillesse est un naufrage parait-il, et Berbizier a déjà coulé depuis longtemps.
 

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Perpignan et ses étrangers ? aujourd'hui ? C'est moins vrai que lorsque l'on a remporté le top 14 en 2009.
Les équipes craignaient le voyage et viennent aujourd'hui chercher des points ? Ah ouais ?
Ben non. C'était vrai en 2018/2019, et plus forcément aujourd'hui.

La vieillesse est un naufrage parait-il, et Berbizier a déjà coulé depuis longtemps.

Sans rentrer dans l analyse de berbizier, ça fait 2 ans qu on est 13eme, pau est venu nous défoncer, les équipes visent qd meme plus la victoire chez nous qu à toulon ou meme castres, elles y arrivent peu mais elles y croient plus qu au début des années 2000, ça dépend à quelle période il fait référence on est plus craint qu il y a 4 mois, plus qu en 2018 mais moins qu en 2010.
 

9catalan

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Aigri et surtout à côté de la plaque.
Perpignan et ses étrangers ? aujourd'hui ? C'est moins vrai que lorsque l'on a remporté le top 14 en 2009.
Les équipes craignaient le voyage et viennent aujourd'hui chercher des points ? Ah ouais ?
Ben non. C'était vrai en 2018/2019, et plus forcément aujourd'hui.

La vieillesse est un naufrage parait-il, et Berbizier a déjà coulé depuis longtemps.
Si franchement, moi j'aime l'USAP et je suis optimiste. Mais les équipes font pas tourner pour venir à Aimé Giral. Il y a un objectif. D'ailleurs les joueurs de la Rochelle ont dit explicitement vouloir gagner à Aimé Giral.
 
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