racing 92-USAP. Une raclée, une vraie. Les Catalans l’ont reconnu : Pour la première fois de la saison, ils n’ont pas existé à l’extérieur.
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Racing 92-USAP : Arlettaz : « On n’est pas invité » - Lindependant.fr
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Racing 92-USAP : Arlettaz : « On n’est pas invité »
racing 92-USAP. Une raclée, une vraie. Les Catalans l’ont reconnu : Pour la première fois de la saison, ils n’ont pas existé à l’extérieur.
On n’était pas si loin », « on aurait pu, on aurait dû », « si on marque là, ça change tout » et blablabla… Oubliez tout ce que vous avez déjà entendu cette saison. La rengaine des Catalans en a pris un sacré coup, samedi soir à l’Arena, après que le Racing 92 lui a marché sur la tête (64-28). Sans suspense, sans surprise et sans discussion. Une supériorité qui symbolise l’immense écart séparant aujourd’hui l’USAP du haut niveau, même si samedi, le club francilien était intouchable. « Je n’ai pas de regret. J’ai préféré ce match à celui de Castres (défaite 12-16) à la maison. Quand tu espères gagner, voilà… Là, on n’est juste pas invité », a spontanément déclaré l’entraîneur de l’USAP, Patrick Arlettaz, avant de répondre aux médias, armés des mêmes questions. Comme toujours.
Quels enseignements pouvez-vous tirer d’une si large défaite ?
On est dans notre profil actuel : offensivement on est invité, défensivement pas du tout. À chaque fois que le Racing a eu le ballon en continuité, on a été en retard sur tout, les déplacements, les placages… Offensivement, on a créé des choses intéressantes mais ça ne suffit pas pour gagner des matches. Aujourd’hui (hier), il y avait tout simplement deux niveaux d’écart entre l’USAP et le Racing. On avait toujours deux mètres de retard et, deux mètres de retard face à des mecs qui courent deux fois plus vite, ça fait des désastres. On n’est tout simplement pas invité, il faut savoir se le dire pour une fois. Le meilleur a gagné largement.
Avoir de l’espoir au regard du calendrier, ce n’est pas ******
Ce nouveau revers – le 12e consécutif en Top 14 - pourrait vous mettre la tête sous l’eau…
Nos détracteurs s’en serviront pour balancer un peu plus mais ça n’est pas très grave. Sincèrement, ce n’est pas ce genre de match qui fait le plus mal. Nos défaites à Agen, à Pau, contre Lyon et Bordeaux à la maison et j’en passe, celles-là nous ont fait plus mal, car on en avait fait des objectifs.
Il s’agit de votre première raclée à l’extérieur cette saison mais elle est historique. Y a-t-il une forme de découragement ?
Non, je ne crois pas. Ni dans la préparation, ni pendant le match. Je n’ai pas vu de démission. Jusqu’à la fin, on a joué, on a essayé, on a lutté, on a plaqué. Il faut se dire les choses : on est beaucoup moins bon. Nos concurrents directs ont pris une raclée ici aussi. On ne va rien lâcher.
Gardez-vous espoir de vous maintenir ou jouez-vous pour l’honneur désormais ?
(Interloqué) Ah non, non… Il va falloir prendre des points lors des réceptions de Pau, d’Agen, de Grenoble, pendant que nos concurrents directs vont accueillir les gros qu’on a déjà reçus. S’ils les gagnent, tant mieux pour eux ; s’ils les perdent, on sera relancés. Agen a reçu le Stade Français et ils ont pris zéro point (défaite 6-19), comme nous. Sinon, ils ont fait match nul contre Grenoble et ont battu Pau. Donc s’il y en a un qui trouve que c’est idiot d’avoir de l’espoir, je veux bien lui parler en direct tout de suite. Je comprends qu’on nous enterre, je ne suis pas ******. Mais on ne peut pas nous reprocher d’avoir de l’espoir au regard du calendrier.
À Nanterre, Vincent Couture
racing 92-USAP. Une raclée, une vraie. Les Catalans l’ont reconnu : Pour la première fois de la saison, ils n’ont pas existé à l’extérieur.
On n’était pas si loin », « on aurait pu, on aurait dû », « si on marque là, ça change tout » et blablabla… Oubliez tout ce que vous avez déjà entendu cette saison. La rengaine des Catalans en a pris un sacré coup, samedi soir à l’Arena, après que le Racing 92 lui a marché sur la tête (64-28). Sans suspense, sans surprise et sans discussion. Une supériorité qui symbolise l’immense écart séparant aujourd’hui l’USAP du haut niveau, même si samedi, le club francilien était intouchable. « Je n’ai pas de regret. J’ai préféré ce match à celui de Castres (défaite 12-16) à la maison. Quand tu espères gagner, voilà… Là, on n’est juste pas invité », a spontanément déclaré l’entraîneur de l’USAP, Patrick Arlettaz, avant de répondre aux médias, armés des mêmes questions. Comme toujours.
Quels enseignements pouvez-vous tirer d’une si large défaite ?
On est dans notre profil actuel : offensivement on est invité, défensivement pas du tout. À chaque fois que le Racing a eu le ballon en continuité, on a été en retard sur tout, les déplacements, les placages… Offensivement, on a créé des choses intéressantes mais ça ne suffit pas pour gagner des matches. Aujourd’hui (hier), il y avait tout simplement deux niveaux d’écart entre l’USAP et le Racing. On avait toujours deux mètres de retard et, deux mètres de retard face à des mecs qui courent deux fois plus vite, ça fait des désastres. On n’est tout simplement pas invité, il faut savoir se le dire pour une fois. Le meilleur a gagné largement.
Avoir de l’espoir au regard du calendrier, ce n’est pas ******
Ce nouveau revers – le 12e consécutif en Top 14 - pourrait vous mettre la tête sous l’eau…
Nos détracteurs s’en serviront pour balancer un peu plus mais ça n’est pas très grave. Sincèrement, ce n’est pas ce genre de match qui fait le plus mal. Nos défaites à Agen, à Pau, contre Lyon et Bordeaux à la maison et j’en passe, celles-là nous ont fait plus mal, car on en avait fait des objectifs.
Il s’agit de votre première raclée à l’extérieur cette saison mais elle est historique. Y a-t-il une forme de découragement ?
Non, je ne crois pas. Ni dans la préparation, ni pendant le match. Je n’ai pas vu de démission. Jusqu’à la fin, on a joué, on a essayé, on a lutté, on a plaqué. Il faut se dire les choses : on est beaucoup moins bon. Nos concurrents directs ont pris une raclée ici aussi. On ne va rien lâcher.
Gardez-vous espoir de vous maintenir ou jouez-vous pour l’honneur désormais ?
(Interloqué) Ah non, non… Il va falloir prendre des points lors des réceptions de Pau, d’Agen, de Grenoble, pendant que nos concurrents directs vont accueillir les gros qu’on a déjà reçus. S’ils les gagnent, tant mieux pour eux ; s’ils les perdent, on sera relancés. Agen a reçu le Stade Français et ils ont pris zéro point (défaite 6-19), comme nous. Sinon, ils ont fait match nul contre Grenoble et ont battu Pau. Donc s’il y en a un qui trouve que c’est idiot d’avoir de l’espoir, je veux bien lui parler en direct tout de suite. Je comprends qu’on nous enterre, je ne suis pas ******. Mais on ne peut pas nous reprocher d’avoir de l’espoir au regard du calendrier.
À Nanterre, Vincent Couture
Ce type et fou ou il veux nous faire croire qu'il y a encore de l'espoir. Arlettaz achete des lunettes pour noël.
Mouais... bah c'est à la fin de la foire qu'on compte les bouses....
Hier clairement on en a prit une belle, mais en même temps, c'est pas la surprise de l'année.
Je suis assez d'accord avec lui sur le fait qu'au final elle ne fait pas plus mal que celles où on aurait pu gagner, là on savait qu'on aurait rien.
Maintenant il garde l'espoir et heureusement sinon on va pas aux matchs et on retourne direct en Pro D2, ça nous évitera les bléssés.
Hier clairement on en a prit une belle, mais en même temps, c'est pas la surprise de l'année.
Je suis assez d'accord avec lui sur le fait qu'au final elle ne fait pas plus mal que celles où on aurait pu gagner, là on savait qu'on aurait rien.
Maintenant il garde l'espoir et heureusement sinon on va pas aux matchs et on retourne direct en Pro D2, ça nous évitera les bléssés.
Nous voulons bien avoir de l'espoir. Mais pour quelle finalité ? Revivre la saison prochaine en Top 14 la même galère, pour que les gros plein aux as puissent continuer à faire joujou avec le caniche USAP ... 
.
Il y a une énorme course aux armements parmi la dizaine de clubs riches, les deux ou trois autres ne sont là que pour servir de "sparring partners".
Si la LNR et la Fédé veulent un championnat de France digne de ce nom, il faut revoir le financement des clubs et ne pas permettre que de l'argent venu d'on ne sait où, dicte sa loi. Le rugby de l'élite est pro, mais le poids de l'argent doit avoir une limite.
La solution : une Ligue fermée à 10 clubs, et on n'en parle plus ... Mais sans intérêt pour ce qui me concerne .
. Il y a une énorme course aux armements parmi la dizaine de clubs riches, les deux ou trois autres ne sont là que pour servir de "sparring partners".
Si la LNR et la Fédé veulent un championnat de France digne de ce nom, il faut revoir le financement des clubs et ne pas permettre que de l'argent venu d'on ne sait où, dicte sa loi. Le rugby de l'élite est pro, mais le poids de l'argent doit avoir une limite.
La solution : une Ligue fermée à 10 clubs, et on n'en parle plus ... Mais sans intérêt pour ce qui me concerne .
Nos anciens de l'époque de Georges Gauby doivent se retourner dans leur tombe ! Mais c'est quoi cette équipe de palatrecus !!!
Jamais de ma vie et j'ai 73 ans je n'ai vu une équipe de bras cassés comme notre l'USAP. J'ai bien dis NOTRE USAP!!!
La troisiéme ligne est ABSENTE, second rideau ils ne savent pas que cela existe. Il est temps qu'un HOMME de poigne prenne tout ça en main ! Mr RIVIERE je vous respecte en tant qu'homme mais le rugby n'est pas votre éducation. Vous vous faites manipuler !!!
Moi qui suis Catalan et fier de l'être j'ai mal à mon rugby !!!
Cela me fait souvenir des histoires comme d'un peu plus, on aurait pu gagner, si on avait été meilleur on gagnait.
Historis !!
On jour peut être nous sortirons de ce fourat !! Mais quand ?? Ferons nous comme NARBONNE ou BEZIERS ,,?? Messieurs les joueurs un peu de fierté. Vous êtes bine content à la fin du mois de recevoir votre argent ?? Nous nous voulons de vrai travailleurs !
Jamais de ma vie et j'ai 73 ans je n'ai vu une équipe de bras cassés comme notre l'USAP. J'ai bien dis NOTRE USAP!!!
La troisiéme ligne est ABSENTE, second rideau ils ne savent pas que cela existe. Il est temps qu'un HOMME de poigne prenne tout ça en main ! Mr RIVIERE je vous respecte en tant qu'homme mais le rugby n'est pas votre éducation. Vous vous faites manipuler !!!
Moi qui suis Catalan et fier de l'être j'ai mal à mon rugby !!!
Cela me fait souvenir des histoires comme d'un peu plus, on aurait pu gagner, si on avait été meilleur on gagnait.
Historis !!
On jour peut être nous sortirons de ce fourat !! Mais quand ?? Ferons nous comme NARBONNE ou BEZIERS ,,?? Messieurs les joueurs un peu de fierté. Vous êtes bine content à la fin du mois de recevoir votre argent ?? Nous nous voulons de vrai travailleurs !
Il fume quoi Arlettaz ... ?
Ne démarquez pas, c' est un enfant !
