La crise met plus que jamais à l’honneur la métaphore médicale. On en use et en abuse : partant de la « santé » de l’économie on finit par des « remèdes » de cheval afin de traiter la « souffrance » sociale. Les instruments de mesure sont autant de « thermomètres » et les économistes, qu’ils soient distingués ou atterrés, jouissent à peu près de la même estime que le docteur Diafoirus de Molière. Il en résulte que des traits propres à la complexité de la santé humaine se trouvent sans trop de justification transportés dans un autre genre de complexité d’ordre économique, social ou politique. C’est ainsi qu’on a vu fleurir après le « trauma » sarkozyen quantité de médecines de gauche à base principalement de « valeurs républicaines ». Une sorte de retour vers les « simples » des herboristes. Pourquoi alors ne pas évoquer les cataplasmes de nos grand-mères ? Devenus républicains, donc universels, seraient-ils devenus des « panacées » tout autant universelles contre la crise ? Quand on ne peut rien faire, on peut toujours proposer un cataplasme. Florilège critique …
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http://robertmarty.unblog.fr/2012/09/01/les-cataplasmes-republicains/#more-192
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