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LA CHRONIQUE D'ELS DE P@RIS : L’USAP LAVE PLUS BLANC (USAP-Édimbourg, H Cup, 2e journée)

Els de P@ris

USAPiste bavard
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1 Août 2012
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Après la comme souvent pluvieuse et boueuse sortie anglaise de nos protégés, et après une défaite qui, pour être tout aussi habituelle, faisait tache sur le tableau de marche européen, l’USAP se devait de rendre une copie impeccable sous peine de voir ses espoirs lessivés avant même la fin du premier programme. Pour éviter cette issue qui ferait tache à l’échelle du rugby français, il fallait donc se débarrasser d’Édimbourg, Or, si les Écossais avaient passé leur début de saison à se faire repasser, leur victoire de samedi dernier contre le Munster avait rappelé à tout le monde qu’ils s’étaient il y a à peine deux ans hissés en demi-finales de la H Cup. D’ailleurs, si le rugby écossais est loin d’être le plus efficace d’Europe, il est néanmoins très intéressant, avec une capacité à produire un jeu très propre et à se lancer dans des programmes longs qui ne manquent pas de faire monter la température dans la défense adverse. Il ne manque d’ailleurs souvent qu’un peu de puissance aux enzymes écossais, malgré la présence d’un des plus redoutables finisseurs du rugby européen, le Hollandais volant Tim Visser.

L’heure était donc à la méfiance lors du pique-nique (sur nappes blanches ?) organisé par le club, d’autant que Marc Delpoux s’était décidé à faire tourner son effectif, laissant au repos nombre de cadres importants de la blanchisserie catalane. Blanchisserie car ce match était l’occasion pour nos joueurs d’inaugurer un nouveau maillot immaculé à quelques liserés près (et encore, on aurait pu avoir droit au scapulaire pour rendre hommage à la coupe du monde de XIII qui s’annonce). Un maillot pas désagréable mais étonnant, qui pouvait symboliser la volonté de l’USAP de ne pas faire une saison blanche en Europe, mais qui nous rappelait que le blanc est une couleur très salissante. Quoiqu’il en soit, seul le succès était envisageable pour ne pas avoir à vivre le reste de cette compétition dans l’ennui de celui qui regarde tourner une machine à la laverie.

Du côté de Gloucester, l’USAP était partie pied au plancher, mais son programme rapide avait fini par s’essouffler pour tomber en rade tout près de la fin du match. Face à des Écossais joueurs, mais manquant d’agents actifs pour attaquer notre défense au plus profond de ses fibres, on pouvait penser qu’une bonne séance de prélavage serait utile avant de lâcher les chevaux pour nettoyer, rincer puis essorer nos adversaires.
Or, en guise de programme catalan, on eut sur les dix premières minutes une démonstration du savoir-faire écossais en matière de nettoyage au sol et d’enchaînements : l’USAP ne voyait tout simplement pas la balle, et dès qu’elle la voyait, se trouvait mise à l’amende, soit du fait de cet arbitrage au sol si européen, soit du fait de fautes bêtes, comme cette obstruction sur notre première touche. Mais on l’a déjà dit, si l’Écossais, contrairement à un cliché répandu, n’est pas avare de ses efforts, il est souvent aussi efficace que de l’eau pour nettoyer une tache incrustée. D’ailleurs, ce sont nos joueurs qui inscrivaient les premiers points du match, malgré un léger doute, notre chevalier blanc gallois ayant visé un peu trop haut.
Malgré cet éclair, le pressing mis en place par nos joueurs, loin de mettre les choses à plat, ne parvenait pas à stopper le plan écossais : au contraire, la partie s’en allait sur un enchaînement d’actions à 4000 tours minute, un jeu désordonné qui ne faisait pas mal aux Écossais, bien au contraire. Et si on pouvait remercier Nick de Luca d’avoir entaché une magnifique action scot d’un oubli de ses partenaires puis d’un pied en touche, l’USAP ne maîtrisait rien, d’autant qu’elle perdait coup sur coup son capitaine (qui aura six semaines pour fixer son futur) et son feu-follet anglais. Du coup, loin de montrer une copie propre et bien repassée, les deux équipes, et l’USAP en particulier, enchaînaient les actions brouillonnes, avec de multiples fautes de main, des mauvais choix, et une incapacité à se sortir de un-contre-un stériles. Tout cela semblait manquer de conviction, hormis un Pedro Perez qui n’a jamais été aussi bon dans son rôle d’enzyme glouton qui s’accroche au porteur du ballon pour pourrir l’action adverse. Et ce qui devait arriver arrivait : dans une dernière action, les Écossais multipliaient les passes pour servir leur meilleur scoreur, qui donnait le tournis à un Joffrey Michel pris dans le tambour de la machine et allait s’étendre dans l’en-but. La mi-temps arrivait, et la perspective d’une saison en H Cup aussi blanche que notre maillot, d’ailleurs très peu sali dans ce premier acte, était plus présente que jamais.

On en était donc à se dire qu’on aurait du temps pour la lessive et le repassage sur certains week-ends de décembre et de janvier que le matche reprenait, presque sans qu’on s’en rende compte. C’est qu’on ne savait pas encore que, visiblement, Marc Delpoux avait passé à ses joueurs une soufflante digne des meilleurs sèche-linge du marché, et que nos joueurs allaient enfin enclencher la lessiveuse. Sur une chandelle assez peu éclairée de Laidlaw, la machine était enclenchée par Wandile Mjekevu, qui allait jouer le rôle de la tornade blanche tout au long du second acte : une réception parfaite, une percée lumineuse, un relais impeccable d’un Terrain toujours aussi précieux et clean, le jeu rebondissait pour permettre à Joffrey Michel de se venger en bout de ligne, ce qui fera du bien à ce joueur très (trop ?) propre un peu moins en confiance en ce moment. On respirait mieux, mais ce n’était que le début : conscients que pour un lavage de qualité, il faut frotter plusieurs fois sur la tache, nos joueurs décidaient immédiatement d’en remettre une dose : un magnifique enchaînement collectif, avec en particulier un Taumalolo contournant le ¾ centre argentin d’Édimbourg comme s’il s’agissait d’un simple linge attaché par des pinces et se fendant d’une passe de basketteur, était royalement conclu par un Mjekevu décidément insaisissable.
Le match s’était retourné, telle une chemise sur une table de repassage, et c’était au tour des Écossais de gâcher leurs actions par des maladresses, bien provoquées par un Pedro omniprésent et un Vaha réveillé. En outre, ils souffraient de plus en plus sur les bases, notamment en mêlée, montrant là qu’ils commençaient à être sérieusement lessivés. C’était le moment pour accélérer et passer à l’essorage final, en deux temps encore une fois. D’abord sur un maul qui, après un démarrage difficile, repassait les avants écossais et se trouvait conclu par Purll après un relais chanceux de Durand, aidé involontairement par son vis-à-vis. Juste récompense pour celui qui fut encore une fois un travailleur inlassable dans l’ombre, mais ce n’était rien par rapport à l’éclair qui suivait : Hook, sans doute titillé par les passes au pied de Camille Lopez, en servait une merveilleuse pour Watisoni Votu. Le Fidjien, même s’il n’a pas encore les jambes qui en ont fait un excellent joueur de 7, lançait la star du jour à la perfection, et notre tornade sud-africaine pliait le match d’une merveille de course, rendant le linge impeccable au point de ramener un point de bonus totalement inespéré à la mi-temps.
Les 10 dernières minutes se passaient de façon on ne peut plus détendue, l’USAP répétant ses gammes défensives face à des Écossais valeureux et qui finissaient sur une bonne note, le numéro 8 sud-africain trouvant là la récompense d’une prestation solide. Cela ne changeait rien, l’USAP terminait son match sur une ultime touche volée et un succès net et sans bavure.

Drôle de match que cette deuxième levée européenne, entre un premier acte brouillon et entaché de multiples erreurs, et un second acte aussi propre et lumineux qu’un drap immaculé en plein soleil d’été. Dès qu’elle s’est recentrée sur un plan de jeu plus ordonné et cohérent, notre équipe a produit un rugby d’une ampleur et d’une netteté digne des meilleures blanchisseries européennes. Alors bien sûr, l’adversaire s’y prêtait, avec un défaut de puissance qui va bien à notre équipe, dont c’est souvent le talon d’Achille. Mais il n’empêche que l’USAP a su produire un jeu d’une très grande qualité, avec nombre de titulaires au repos plus ou moins forcé.
Cela montre que cette équipe a un potentiel très important, qu’elle prend forme au fil des matches et qu’un véritable collectif se forme, non pas avec 15, mais avec 35 joueurs, ce qui est vital si on veut arriver au printemps sans avoir été trop délavé par trop de passages dans le tambour de la machine. Ainsi, la blessure de notre capitaine est très gênante, mais nettement moins que l’an dernier quand on voit les prestations impeccables de Romain Terrain.
Il va falloir maintenant revenir au championnat, avec un duel contre Bordeaux qui, outre la saveur particulière qu’il aura pour nombre de membres de l’équipe, prendra toutes les apparences du piège, les Bordelais ayant pu faire reposer leur beau linge pendant deux semaines. Avec le déplacement à Oyonnax, l’USAP a l’occasion de jouer sur du velours à la trêve internationale, ce qui serait une bonne chose quand on voit le programme infernal de novembre-décembre. Mais pour cela, il ne faudra pas oublier d’enclencher la lessiveuse avant la 40e minute, sous peine de désillusions aussi grande que le plaisir de cette seconde mi-temps !
 

braco66

Bannis
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5 Décembre 2012
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Après la comme souvent pluvieuse et boueuse sortie anglaise de nos protégés, et après une défaite qui, pour être tout aussi habituelle, faisait tache sur le tableau de marche européen, l’USAP se devait de rendre une copie impeccable sous peine de voir ses espoirs lessivés avant même la fin du premier programme. Pour éviter cette issue qui ferait tache à l’échelle du rugby français, il fallait donc se débarrasser d’Édimbourg, Or, si les Écossais avaient passé leur début de saison à se faire repasser, leur victoire de samedi dernier contre le Munster avait rappelé à tout le monde qu’ils s’étaient il y a à peine deux ans hissés en demi-finales de la H Cup. D’ailleurs, si le rugby écossais est loin d’être le plus efficace d’Europe, il est néanmoins très intéressant, avec une capacité à produire un jeu très propre et à se lancer dans des programmes longs qui ne manquent pas de faire monter la température dans la défense adverse. Il ne manque d’ailleurs souvent qu’un peu de puissance aux enzymes écossais, malgré la présence d’un des plus redoutables finisseurs du rugby européen, le Hollandais volant Tim Visser.

L’heure était donc à la méfiance lors du pique-nique (sur nappes blanches ?) organisé par le club, d’autant que Marc Delpoux s’était décidé à faire tourner son effectif, laissant au repos nombre de cadres importants de la blanchisserie catalane. Blanchisserie car ce match était l’occasion pour nos joueurs d’inaugurer un nouveau maillot immaculé à quelques liserés près (et encore, on aurait pu avoir droit au scapulaire pour rendre hommage à la coupe du monde de XIII qui s’annonce). Un maillot pas désagréable mais étonnant, qui pouvait symboliser la volonté de l’USAP de ne pas faire une saison blanche en Europe, mais qui nous rappelait que le blanc est une couleur très salissante. Quoiqu’il en soit, seul le succès était envisageable pour ne pas avoir à vivre le reste de cette compétition dans l’ennui de celui qui regarde tourner une machine à la laverie.

Du côté de Gloucester, l’USAP était partie pied au plancher, mais son programme rapide avait fini par s’essouffler pour tomber en rade tout près de la fin du match. Face à des Écossais joueurs, mais manquant d’agents actifs pour attaquer notre défense au plus profond de ses fibres, on pouvait penser qu’une bonne séance de prélavage serait utile avant de lâcher les chevaux pour nettoyer, rincer puis essorer nos adversaires.
Or, en guise de programme catalan, on eut sur les dix premières minutes une démonstration du savoir-faire écossais en matière de nettoyage au sol et d’enchaînements : l’USAP ne voyait tout simplement pas la balle, et dès qu’elle la voyait, se trouvait mise à l’amende, soit du fait de cet arbitrage au sol si européen, soit du fait de fautes bêtes, comme cette obstruction sur notre première touche. Mais on l’a déjà dit, si l’Écossais, contrairement à un cliché répandu, n’est pas avare de ses efforts, il est souvent aussi efficace que de l’eau pour nettoyer une tache incrustée. D’ailleurs, ce sont nos joueurs qui inscrivaient les premiers points du match, malgré un léger doute, notre chevalier blanc gallois ayant visé un peu trop haut.
Malgré cet éclair, le pressing mis en place par nos joueurs, loin de mettre les choses à plat, ne parvenait pas à stopper le plan écossais : au contraire, la partie s’en allait sur un enchaînement d’actions à 4000 tours minute, un jeu désordonné qui ne faisait pas mal aux Écossais, bien au contraire. Et si on pouvait remercier Nick de Luca d’avoir entaché une magnifique action scot d’un oubli de ses partenaires puis d’un pied en touche, l’USAP ne maîtrisait rien, d’autant qu’elle perdait coup sur coup son capitaine (qui aura six semaines pour fixer son futur) et son feu-follet anglais. Du coup, loin de montrer une copie propre et bien repassée, les deux équipes, et l’USAP en particulier, enchaînaient les actions brouillonnes, avec de multiples fautes de main, des mauvais choix, et une incapacité à se sortir de un-contre-un stériles. Tout cela semblait manquer de conviction, hormis un Pedro Perez qui n’a jamais été aussi bon dans son rôle d’enzyme glouton qui s’accroche au porteur du ballon pour pourrir l’action adverse. Et ce qui devait arriver arrivait : dans une dernière action, les Écossais multipliaient les passes pour servir leur meilleur scoreur, qui donnait le tournis à un Joffrey Michel pris dans le tambour de la machine et allait s’étendre dans l’en-but. La mi-temps arrivait, et la perspective d’une saison en H Cup aussi blanche que notre maillot, d’ailleurs très peu sali dans ce premier acte, était plus présente que jamais.

On en était donc à se dire qu’on aurait du temps pour la lessive et le repassage sur certains week-ends de décembre et de janvier que le matche reprenait, presque sans qu’on s’en rende compte. C’est qu’on ne savait pas encore que, visiblement, Marc Delpoux avait passé à ses joueurs une soufflante digne des meilleurs sèche-linge du marché, et que nos joueurs allaient enfin enclencher la lessiveuse. Sur une chandelle assez peu éclairée de Laidlaw, la machine était enclenchée par Wandile Mjekevu, qui allait jouer le rôle de la tornade blanche tout au long du second acte : une réception parfaite, une percée lumineuse, un relais impeccable d’un Terrain toujours aussi précieux et clean, le jeu rebondissait pour permettre à Joffrey Michel de se venger en bout de ligne, ce qui fera du bien à ce joueur très (trop ?) propre un peu moins en confiance en ce moment. On respirait mieux, mais ce n’était que le début : conscients que pour un lavage de qualité, il faut frotter plusieurs fois sur la tache, nos joueurs décidaient immédiatement d’en remettre une dose : un magnifique enchaînement collectif, avec en particulier un Taumalolo contournant le ¾ centre argentin d’Édimbourg comme s’il s’agissait d’un simple linge attaché par des pinces et se fendant d’une passe de basketteur, était royalement conclu par un Mjekevu décidément insaisissable.
Le match s’était retourné, telle une chemise sur une table de repassage, et c’était au tour des Écossais de gâcher leurs actions par des maladresses, bien provoquées par un Pedro omniprésent et un Vaha réveillé. En outre, ils souffraient de plus en plus sur les bases, notamment en mêlée, montrant là qu’ils commençaient à être sérieusement lessivés. C’était le moment pour accélérer et passer à l’essorage final, en deux temps encore une fois. D’abord sur un maul qui, après un démarrage difficile, repassait les avants écossais et se trouvait conclu par Purll après un relais chanceux de Durand, aidé involontairement par son vis-à-vis. Juste récompense pour celui qui fut encore une fois un travailleur inlassable dans l’ombre, mais ce n’était rien par rapport à l’éclair qui suivait : Hook, sans doute titillé par les passes au pied de Camille Lopez, en servait une merveilleuse pour Watisoni Votu. Le Fidjien, même s’il n’a pas encore les jambes qui en ont fait un excellent joueur de 7, lançait la star du jour à la perfection, et notre tornade sud-africaine pliait le match d’une merveille de course, rendant le linge impeccable au point de ramener un point de bonus totalement inespéré à la mi-temps.
Les 10 dernières minutes se passaient de façon on ne peut plus détendue, l’USAP répétant ses gammes défensives face à des Écossais valeureux et qui finissaient sur une bonne note, le numéro 8 sud-africain trouvant là la récompense d’une prestation solide. Cela ne changeait rien, l’USAP terminait son match sur une ultime touche volée et un succès net et sans bavure.

Drôle de match que cette deuxième levée européenne, entre un premier acte brouillon et entaché de multiples erreurs, et un second acte aussi propre et lumineux qu’un drap immaculé en plein soleil d’été. Dès qu’elle s’est recentrée sur un plan de jeu plus ordonné et cohérent, notre équipe a produit un rugby d’une ampleur et d’une netteté digne des meilleures blanchisseries européennes. Alors bien sûr, l’adversaire s’y prêtait, avec un défaut de puissance qui va bien à notre équipe, dont c’est souvent le talon d’Achille. Mais il n’empêche que l’USAP a su produire un jeu d’une très grande qualité, avec nombre de titulaires au repos plus ou moins forcé.
Cela montre que cette équipe a un potentiel très important, qu’elle prend forme au fil des matches et qu’un véritable collectif se forme, non pas avec 15, mais avec 35 joueurs, ce qui est vital si on veut arriver au printemps sans avoir été trop délavé par trop de passages dans le tambour de la machine. Ainsi, la blessure de notre capitaine est très gênante, mais nettement moins que l’an dernier quand on voit les prestations impeccables de Romain Terrain.
Il va falloir maintenant revenir au championnat, avec un duel contre Bordeaux qui, outre la saveur particulière qu’il aura pour nombre de membres de l’équipe, prendra toutes les apparences du piège, les Bordelais ayant pu faire reposer leur beau linge pendant deux semaines. Avec le déplacement à Oyonnax, l’USAP a l’occasion de jouer sur du velours à la trêve internationale, ce qui serait une bonne chose quand on voit le programme infernal de novembre-décembre. Mais pour cela, il ne faudra pas oublier d’enclencher la lessiveuse avant la 40e minute, sous peine de désillusions aussi grande que le plaisir de cette seconde mi-temps !

il etait temps que tu ecrives sinon tu aurais exploséLoL:drapeau::drapeau:
 
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