Et dire que certains , une majorité ici , aurait préféré qu'on ne les fasse pas ces phases finales....plus par réflexe anti-Goze qu'autre chose.Ces phases finales fantastiques et inoubliables ont marqué l'entrée fracassante de l'USAP dans l'ère professionnelle !
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En voyant tous les jeunes supporters présents à Toulouse je me suis fait la remarque de l'effet fantastique de cette épopée 2018 sur ces nouveaux supporters qui allaient désormais s'attacher durablement à l'USAP. Quand on a goûté à ça, on a qu'une envie c'est d'y revenir !
C'est peut-être ce que l'on se disait à Perpignan, snobant les montpellierains (petite bourgade régionale... sacrés visionnaires). Mais je peux t'assurer qu'en 1998 déjà, à Montpellier il se disait qu'il n'y avait pas de place pour quatre clubs pros dans la région et que Montpellier devait en être le seul qui reste. C'était d'ailleurs plus le vœu de Frêche qu'autre chose, mais c'était bel est bien l'objectif annoncé et répété comme un leitmotiv. A tel point que je me suis demandé si le fils Nicollin n'avait pas repris Béziers pour les enfoncer plus vite, Frêche et Nicollin étant copains comme cochons. Toujours est il que 20 ans, Frêche est mort mais Montpellier règne sur la région, et ce malgré son extension cet l'inclusion de Toulouse ce qui est encore plus fort. Et pour les trois autres clubs concernés à l'époque, on pourrait presque dire que ça a pris le temps mais l'objectif est presque atteint. Presque, parce qu'il y a un petit club d'irréductibles à l'extrémité sud est de la région qui a trouvé la potion magique et qui en 2018 fait son grand retour pour continuer à jouer les grains de sable. Dommage que la finale ne se soit pas jouée à Montpellier, c'eut été plus savoureux.Première année du professionnalisme, en début de saison il se disait qu'il n'y aurait pas de place pour trois clubs dans la région , Béziers, Narbonne et nous (Montpellier n'existait pas). Narbonne avait les Gallois à ce moment là, Béziers Nicollin, et donc celui qui ne devait pas avoir d'avenir à l'époque c'était nous...
surtout l entrée fracassante du stade français en 1 iere division, n oublions pas que c'etait le promus !Ces phases finales fantastiques et inoubliables ont marqué l'entrée fracassante de l'USAP dans l'ère professionnelle !
La montée à Paris inoubliable (personnellement par un train couchette passant par Toulouse et Limoges)et l'avant match avait été extraordinaire.
Le match un désastre.
L'après match très festif malgré la fessée.
En voyant tous les jeunes supporters présents à Toulouse je me suis fait la remarque de l'effet fantastique de cette épopée 2018 sur ces nouveaux supporters qui allaient désormais s'attacher durablement à l'USAP. Quand on a goûté à ça, on a qu'une envie c'est d'y revenir !
Ce n'est que bien plus tard que Freche à décidé de soutenir le rugby à Montpellier. en 98, le club est ruiné, les joueurs acceptent de baisser leur salaire mais le club descend en 2° division.C'est peut-être ce que l'on se disait à Perpignan, snobant les montpellierains (petite bourgade régionale... sacrés visionnaires). Mais je peux t'assurer qu'en 1998 déjà, à Montpellier il se disait qu'il n'y avait pas de place pour quatre clubs pros dans la région et que Montpellier devait en être le seul qui reste. C'était d'ailleurs plus le vœu de Frêche qu'autre chose, mais c'était bel est bien l'objectif annoncé et répété comme un leitmotiv. A tel point que je me suis demandé si le fils Nicollin n'avait pas repris Béziers pour les enfoncer plus vite, Frêche et Nicollin étant copains comme cochons. Toujours est il que 20 ans, Frêche est mort mais Montpellier règne sur la région, et ce malgré son extension cet l'inclusion de Toulouse ce qui est encore plus fort. Et pour les trois autres clubs concernés à l'époque, on pourrait presque dire que ça a pris le temps mais l'objectif est presque atteint. Presque, parce qu'il y a un petit club d'irréductibles à l'extrémité sud est de la région qui a trouvé la potion magique et qui en 2018 fait son grand retour pour continuer à jouer les grains de sable. Dommage que la finale ne se soit pas jouée à Montpellier, c'eut été plus savoureux.
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