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Usap : La Victoire En Chantant (johnny) - Lindependant.fr

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Petite chambrée, match médiocre. Le pouls de la rencontre USAP-Massy n’est pas monté bien haut, hier soir à Aimé-Giral, sous les yeux d’un maigre public venu faire le job (7 438 spectateurs, vraiment ?) pour assister à un duel plié d’avance dans les consciences (41-13). Il faut dire que cette affiche invendable, coincée au... Lire la suite

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Petite chambrée, match médiocre. Le pouls de la rencontre USAP-Massy n’est pas monté bien haut, hier soir à Aimé-Giral, sous les yeux d’un maigre public venu faire le job (7 438 spectateurs, vraiment ?) pour assister à un duel plié d’avance dans les consciences (41-13).

Il faut dire que cette affiche invendable, coincée au milieu du bloc et démarrée sous une pluie fine, n’avait rien pour déchaîner les enthousiasmes. Le premier quart d’heure fut ainsi plus rythmé par la fanfare jouant à plein poumons les standards de Johnny Hallyday (« Que je t’aimeuuu »), décédé dans la nuit de mardi à mercredi, que par l’intensité d’une soirée déjà oubliée.


Pire, Massy cueillait les Catalans à froid en inscrivant par le flanker Ancely le premier essai de la partie (9e). Mais les banlieusards de Paris n’auront mené au score que cinq minutes, pas plus. En deux coups de cuillère à pot - essais d’Enzo Forletta sur pénaltouche (14e) et Alan Brazo dans le fermé (21e) - l’USAP se remit dans le sens de la marche, à défaut de planer sur les débats. Les largesses défensives des sang et or, montant inconsidérément en pointe, contribuèrent au sentiment latent d’assister à un pétard mouillé. Si les Catalans allumèrent sporadiquement le feu en deuxième mi-temps, à l’image du troisième essai plein de conviction de Shahn Eru (45e), l’ensemble restait brouillon, manquant de continuité et de gnaque.

Il y a des soirs comme ça où le bonus offensif se récolte même sans la manière. Ce grand écart, l’USAP le doit à sa réputation de tueuse à domicile Pas de panique. Dès la 50e minute, Adrea Cocagi s’infiltrait entre deux défenseurs afin d’infliger à l’adversaire le tarif habituel à Aimé-Giral. Sans surprise. Car hier soir, Massy avait fait tourner son effectif, perdit en chemin le malheureux Charlon (16e), Tofilau (24e) puis Mallet (70e) et n’avait franchement pas le talent ni la puissance pour inquiéter les Catalans.


Ce grand écart, l’USAP le doit à sa réputation de tueuse à domicile, une aura qu’elle s’est gagnée elle-même au fil des mois et des essais. Mais l’autosatisfaction n’avait pas sa place en ce morne vendredi, qui vit Massy camper dans les vingt-deux mètres plus que de raison au cœur du second acte. Il faudra d’ailleurs patienter la 72e minute pour respirer un bon coup grâce à l’incontournable Genesis Mamea Lemalu, auteur du cinquième essai de la saison. Voici donc l’USAP 4e du classement à mi-saison avec 45 points. Une place confortable au regard d’un calendrier défavorable, des infortunes tragiques ayant frappé Brice Mach, Sione Tau et Jacques-Louis Potgieter et d’un groupe prêt à se damner pour combler son manque d’effectif. C’était suffisant pour quitter le stade la banane aux lèvres, sifflotant un air de l’éternel Johnny.
 
7500 , c`est déjà pas mal
Pour le méme prix , ils auraient pu aller perdre leur soirée au ciné ou dans un quelconque fast food !:D
Je me demande comment ils arrivent à sortir un chiffre aussi précis ,7438 pectateurs, alors qu'au moins à une entrée , derrière la Desclaux , il n'y avait pas de lecteur de code barre?
 
Petite chambrée, match médiocre. Le pouls de la rencontre USAP-Massy n’est pas monté bien haut, hier soir à Aimé-Giral, sous les yeux d’un maigre public venu faire le job (7 438 spectateurs, vraiment ?) pour assister à un duel plié d’avance dans les consciences (41-13).

Il faut dire que cette affiche invendable, coincée au milieu du bloc et démarrée sous une pluie fine, n’avait rien pour déchaîner les enthousiasmes. Le premier quart d’heure fut ainsi plus rythmé par la fanfare jouant à plein poumons les standards de Johnny Hallyday (« Que je t’aimeuuu »), décédé dans la nuit de mardi à mercredi, que par l’intensité d’une soirée déjà oubliée.


Pire, Massy cueillait les Catalans à froid en inscrivant par le flanker Ancely le premier essai de la partie (9e). Mais les banlieusards de Paris n’auront mené au score que cinq minutes, pas plus. En deux coups de cuillère à pot - essais d’Enzo Forletta sur pénaltouche (14e) et Alan Brazo dans le fermé (21e) - l’USAP se remit dans le sens de la marche, à défaut de planer sur les débats. Les largesses défensives des sang et or, montant inconsidérément en pointe, contribuèrent au sentiment latent d’assister à un pétard mouillé. Si les Catalans allumèrent sporadiquement le feu en deuxième mi-temps, à l’image du troisième essai plein de conviction de Shahn Eru (45e), l’ensemble restait brouillon, manquant de continuité et de gnaque.

Il y a des soirs comme ça où le bonus offensif se récolte même sans la manière. Ce grand écart, l’USAP le doit à sa réputation de tueuse à domicile Pas de panique. Dès la 50e minute, Adrea Cocagi s’infiltrait entre deux défenseurs afin d’infliger à l’adversaire le tarif habituel à Aimé-Giral. Sans surprise. Car hier soir, Massy avait fait tourner son effectif, perdit en chemin le malheureux Charlon (16e), Tofilau (24e) puis Mallet (70e) et n’avait franchement pas le talent ni la puissance pour inquiéter les Catalans.


Ce grand écart, l’USAP le doit à sa réputation de tueuse à domicile, une aura qu’elle s’est gagnée elle-même au fil des mois et des essais. Mais l’autosatisfaction n’avait pas sa place en ce morne vendredi, qui vit Massy camper dans les vingt-deux mètres plus que de raison au cœur du second acte. Il faudra d’ailleurs patienter la 72e minute pour respirer un bon coup grâce à l’incontournable Genesis Mamea Lemalu, auteur du cinquième essai de la saison. Voici donc l’USAP 4e du classement à mi-saison avec 45 points. Une place confortable au regard d’un calendrier défavorable, des infortunes tragiques ayant frappé Brice Mach, Sione Tau et Jacques-Louis Potgieter et d’un groupe prêt à se damner pour combler son manque d’effectif. C’était suffisant pour quitter le stade la banane aux lèvres, sifflotant un air de l’éternel Johnny.
On a annoncé que tu étais rentré en remplacement de Charlon je crois. Tu confirmes ?
 
Je me demande comment ils arrivent à sortir un chiffre aussi précis ,7438 pectateurs, alors qu'au moins à une entrée , derrière la Desclaux , il n'y avait pas de lecteur de code barre?
Tu crois que les types savent pas compter :lunette: ?
 
Je confirme être rentré en seconde ligne et ce avec une taille de moins de 1m70 et je confirme aussi avec grande fierté être le joueur pro le "plus mûr";Top14 et Pro d2 réunis, avec mes 66 printemps. Catalan jusque dans l'âge!!!!!
Quelle consécration ! Chapeau l'artiste :content:
 
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