catalan
USAPiste bavard
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Voici un extrait de l'article "PERPIGNAN, LA SURVIE PAR LE JEU. Paru dans LE FIGARO du 23-24 mars 2013.
......"Si tous les voyants sportifs sont au vert, les finances patinent dans le rouge. Par rapport à son budget prévisionnel de 14.30 M€, le club présentera un déficit estimé entre 200 000 et 500 000 euros à la fin de l'exercice en cours. La menace d'une relégation en Fédérale 1 planerait sur la catalogne. Car l'Usap est désormais l'un des rares clubs français à ne pas pouvoir compter sur un mécène pour éponger ses dettes. Depuis deux saisons, la vingtaine d'actionnaires du club met régulièrement la main à la poche. En décembre, la mairie de Perpignan a accordé une rallonge de 300 000 € pour que le club passe sous les fourches caudines de la DNACG, le gendarme financier du sport professionnel. Une ouverture du capital auprès du grand public est prévue. La Brasserie du club en centre-ville? En vente. Face à la hausse du prix des places, la fréquentation au stade Aimé Giral est en baisse. Le quart de finale du Challenge européen contre Toulouse devrait rapporter environ 350 000 €. Mais Jacques Delmas, entraîneur arrivé en juin 2011 et licencié en novembre, demande 300 000 € aux pud'hommes. La manne d'une qualification pour la prochaine H Cup est donc vitale. "Pas une obligation mais une nécessité si on veut rester compétitif sur le marché des transferts" reconnaît Sylvain Deroeux. Pour se remettre à l'équilibre, l'Usap pourrait être obligée de se séparer d'un joueur emblématique, l'ouvreur gallois James Hook, alors qu'elle a déjà réduit d'un million d'euros sa masse salariale lors de la dernière intersaison.
Un leadership régional contesté
Quand Perpignan rentrait dans le rang, le Montpellier de Mohed Altrad et de Fabien Galthié a joué les premiers rôles (finale 2011, barrages 2012). Le leadership régional a migré vers le nord du Languedoc-Roussillon. Comme un symbole, le totémique Nicolas Mas rejoindra le MHR l'an prochain. Lors du sprint final, "nous avons le désavantage de nous déplacer chez nos concurrents directs", insiste Sylvain Deroeux. Car lors de la dernière journée, l'Usap ira dans l'Hérault pour un choc sûrement décisif. "La concurrence nous oblige à l'excellence, Mais le leadership dans la région a souvent bougé par le passé, poursuit le directeur général, évoquant Beziers ou Narbonne. "On connaît notre histoire et notre patrimoine, on ne se laissera pas abattre comme ça..."
Ah si je pouvais gagner au Loto !!!!!!!
......"Si tous les voyants sportifs sont au vert, les finances patinent dans le rouge. Par rapport à son budget prévisionnel de 14.30 M€, le club présentera un déficit estimé entre 200 000 et 500 000 euros à la fin de l'exercice en cours. La menace d'une relégation en Fédérale 1 planerait sur la catalogne. Car l'Usap est désormais l'un des rares clubs français à ne pas pouvoir compter sur un mécène pour éponger ses dettes. Depuis deux saisons, la vingtaine d'actionnaires du club met régulièrement la main à la poche. En décembre, la mairie de Perpignan a accordé une rallonge de 300 000 € pour que le club passe sous les fourches caudines de la DNACG, le gendarme financier du sport professionnel. Une ouverture du capital auprès du grand public est prévue. La Brasserie du club en centre-ville? En vente. Face à la hausse du prix des places, la fréquentation au stade Aimé Giral est en baisse. Le quart de finale du Challenge européen contre Toulouse devrait rapporter environ 350 000 €. Mais Jacques Delmas, entraîneur arrivé en juin 2011 et licencié en novembre, demande 300 000 € aux pud'hommes. La manne d'une qualification pour la prochaine H Cup est donc vitale. "Pas une obligation mais une nécessité si on veut rester compétitif sur le marché des transferts" reconnaît Sylvain Deroeux. Pour se remettre à l'équilibre, l'Usap pourrait être obligée de se séparer d'un joueur emblématique, l'ouvreur gallois James Hook, alors qu'elle a déjà réduit d'un million d'euros sa masse salariale lors de la dernière intersaison.
Un leadership régional contesté
Quand Perpignan rentrait dans le rang, le Montpellier de Mohed Altrad et de Fabien Galthié a joué les premiers rôles (finale 2011, barrages 2012). Le leadership régional a migré vers le nord du Languedoc-Roussillon. Comme un symbole, le totémique Nicolas Mas rejoindra le MHR l'an prochain. Lors du sprint final, "nous avons le désavantage de nous déplacer chez nos concurrents directs", insiste Sylvain Deroeux. Car lors de la dernière journée, l'Usap ira dans l'Hérault pour un choc sûrement décisif. "La concurrence nous oblige à l'excellence, Mais le leadership dans la région a souvent bougé par le passé, poursuit le directeur général, évoquant Beziers ou Narbonne. "On connaît notre histoire et notre patrimoine, on ne se laissera pas abattre comme ça..."
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