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L’usap S’est Sabordée - Lindependant.fr

Articles de presse

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Inexistants en 1re période puis incapables de gérer leur avance après leur belle réaction en deuxième mi-temps, les sang et or ont perdu gros à Albi (26-24). Même s’ils assurent croire encore à la qualification. L’USAP a perdu plus qu’un match, hier dimanche, à Albi (26-24). Elle a laissé filer une grande partie de ses... Lire la suite

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A la limite , il vaut mieux perdre a Albi et étre définitivement éliminé que sombrer lamentablement en phases finales
La déception est moins importante , merci a cette équipe donc de nous épargner un choc émotionnel plus important
Avec l`usap tout ce passe en douceur !:D
 
l'indépendant se trompe c'est la faute de l'arbitre !!!! C'est la version des spécialistes du forum non ?
 
L article en entier svp?? Merciiiii
Le voici :
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Inexistants en 1re période puis incapables de gérer leur avance après leur belle réaction en deuxième mi-temps, les sang et or ont perdu gros à Albi (26-24). Même s’ils assurent croire encore à la qualification.

L’USAP a perdu plus qu’un match, hier dimanche, à Albi (26-24). Elle a laissé filer une grande partie de ses espoirs de qualification pour les phases finales au terme d’une rencontre qui résume assez bien ses forces et ses limites. Une formation sang et or suffisamment talentueuse pour se hisser au niveau des cadors du championnat par séquences et qui a acquis de vraies certitudes en conquête où elle a dominé hier.

Mais aussi coupable d’une inconstance incompatible avec l’idée qu’on se fait d’un candidat aux phases finales. À l’image d’une première mi-temps où l’apathie des Catalans n’a eu d’égal que leur manque d’idées. «On ne fait pas une première mi-temps exceptionnelle, c’est le moins que l’on puisse dire, constate Christian Lanta, dont l’équipe était menée 12-3 au terme des quarante premières minutes. On joue un petit peu faux, on n’est pas tout à fait dans l’engagement.»

Albi back

Tout le contraire d’une formation albigeoise pas franchement emballante, mais qui a laissé ses tripes sur le terrain. Du courage, de l’abnégation, la précision de l’ouvreur Daniel Kirkpatrick, auteur de 16 points et d’un 100% au pied, quelques éclairs du centre fidjien Nasoni Naqiri et le SCA est allé chercher à l’énergie une victoire qui lui permet de sortir de la zone de relégation. En même temps qu’elle légitime un peu plus le choix des Tarnais de passer en autogestion, même si le chemin est encore long. En attendant, ces derniers comptent deux victoires en trois matches depuis qu’ils ont décidé de se passer des services de leur staff (Serge Milhas, Philippe Bérot et Jean-Christophe Bacca).

L’USAP, elle, a vu sa série de quatre victoires consécutives s’interrompre malgré un début de deuxième mi-temps quasiment parfait. À 15 contre 14, puis 13 (jaunes pour Roelofse, 47e, et Quercy, 51e), les Catalans ont inscrit deux essais par Acebes (48e) puis Farnoux (53e). Suffisant pour prendre les commandes du match (17-12), pas pour porter l’estocade à un moment où il n’en aurait pas fallu beaucoup plus pour pousser les Albigeois à la résignation.

«On n’a pas su se mettre à l’abri assez tôt dans cette deuxième période» regrette le troisième ligne Karl Chateau. Par deux fois, réduits à quatorze (jaunes pour Ratini, 56e, et Charlon, 77e), les Catalans ont laissé Albi repasser devant. Sur un essai de filou de Bisman (57e), d’abord, puis sur une réalisation improbable du pilier gauche Max Curie (77e), qui a aplati sur le poteau pour répondre à un exploit personnel de Sione Piukala, auteur de son neuvième essai de la saison (63e). «C’est la règle, lorsque le ballon touche le poteau et que quelqu’un aplati au poteau c’est essai, reprend Chateau. C’est comme ça. Donc il y a essai, ils l’ont joué au tout pour le tout et ça a marché. Tant mieux pour eux.»

Chateau: «Il nous reste encore des chances»

Et tant pis pour l’USAP, qui a eu une dernière possession en fin de match dans le camp tarnais, mais n’est pas parvenue à forcer la décision, par un drop, par exemple. «C’est rageant, peste le talonneur Raphaël Carbou. Le résultat est très difficile, vu la tournure du match.»

Il n’aide pas non plus les Catalans à croire encore à une qualification qui paraît franchement chimérique. Sauf écroulement surprise parmi les qualifiables, l’USAP a besoin de deux victoires à l’extérieur en plus d’un sans-faute à la maison. «Il va falloir se dépêcher parce qu’on va commencer à compter les matches», constate Carbou. Il ne reste en effet que trois déplacements à l’USAP, à Dax, Narbonne et Oyonnax, pour faire aussi bien que ce qu’elle a fait sur les douze premiers (deux victoires). «Il nous reste encore des chances, assure Chateau, interrogé sur les chances de l’USAP de se qualifier. Je sais que c’est dur à croire, dur à imaginer. Maintenant, si on n’y croit pas un petit peu, autant déclarer forfait jusqu’à la fin de la saison.»
 
Le voici :
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Inexistants en 1re période puis incapables de gérer leur avance après leur belle réaction en deuxième mi-temps, les sang et or ont perdu gros à Albi (26-24). Même s’ils assurent croire encore à la qualification.

L’USAP a perdu plus qu’un match, hier dimanche, à Albi (26-24). Elle a laissé filer une grande partie de ses espoirs de qualification pour les phases finales au terme d’une rencontre qui résume assez bien ses forces et ses limites. Une formation sang et or suffisamment talentueuse pour se hisser au niveau des cadors du championnat par séquences et qui a acquis de vraies certitudes en conquête où elle a dominé hier.

Mais aussi coupable d’une inconstance incompatible avec l’idée qu’on se fait d’un candidat aux phases finales. À l’image d’une première mi-temps où l’apathie des Catalans n’a eu d’égal que leur manque d’idées. «On ne fait pas une première mi-temps exceptionnelle, c’est le moins que l’on puisse dire, constate Christian Lanta, dont l’équipe était menée 12-3 au terme des quarante premières minutes. On joue un petit peu faux, on n’est pas tout à fait dans l’engagement.»

Albi back

Tout le contraire d’une formation albigeoise pas franchement emballante, mais qui a laissé ses tripes sur le terrain. Du courage, de l’abnégation, la précision de l’ouvreur Daniel Kirkpatrick, auteur de 16 points et d’un 100% au pied, quelques éclairs du centre fidjien Nasoni Naqiri et le SCA est allé chercher à l’énergie une victoire qui lui permet de sortir de la zone de relégation. En même temps qu’elle légitime un peu plus le choix des Tarnais de passer en autogestion, même si le chemin est encore long. En attendant, ces derniers comptent deux victoires en trois matches depuis qu’ils ont décidé de se passer des services de leur staff (Serge Milhas, Philippe Bérot et Jean-Christophe Bacca).

L’USAP, elle, a vu sa série de quatre victoires consécutives s’interrompre malgré un début de deuxième mi-temps quasiment parfait. À 15 contre 14, puis 13 (jaunes pour Roelofse, 47e, et Quercy, 51e), les Catalans ont inscrit deux essais par Acebes (48e) puis Farnoux (53e). Suffisant pour prendre les commandes du match (17-12), pas pour porter l’estocade à un moment où il n’en aurait pas fallu beaucoup plus pour pousser les Albigeois à la résignation.

«On n’a pas su se mettre à l’abri assez tôt dans cette deuxième période» regrette le troisième ligne Karl Chateau. Par deux fois, réduits à quatorze (jaunes pour Ratini, 56e, et Charlon, 77e), les Catalans ont laissé Albi repasser devant. Sur un essai de filou de Bisman (57e), d’abord, puis sur une réalisation improbable du pilier gauche Max Curie (77e), qui a aplati sur le poteau pour répondre à un exploit personnel de Sione Piukala, auteur de son neuvième essai de la saison (63e). «C’est la règle, lorsque le ballon touche le poteau et que quelqu’un aplati au poteau c’est essai, reprend Chateau. C’est comme ça. Donc il y a essai, ils l’ont joué au tout pour le tout et ça a marché. Tant mieux pour eux.»

Chateau: «Il nous reste encore des chances»

Et tant pis pour l’USAP, qui a eu une dernière possession en fin de match dans le camp tarnais, mais n’est pas parvenue à forcer la décision, par un drop, par exemple. «C’est rageant, peste le talonneur Raphaël Carbou. Le résultat est très difficile, vu la tournure du match.»

Il n’aide pas non plus les Catalans à croire encore à une qualification qui paraît franchement chimérique. Sauf écroulement surprise parmi les qualifiables, l’USAP a besoin de deux victoires à l’extérieur en plus d’un sans-faute à la maison. «Il va falloir se dépêcher parce qu’on va commencer à compter les matches», constate Carbou. Il ne reste en effet que trois déplacements à l’USAP, à Dax, Narbonne et Oyonnax, pour faire aussi bien que ce qu’elle a fait sur les douze premiers (deux victoires). «Il nous reste encore des chances, assure Chateau, interrogé sur les chances de l’USAP de se qualifier. Je sais que c’est dur à croire, dur à imaginer. Maintenant, si on n’y croit pas un petit peu, autant déclarer forfait jusqu’à la fin de la saison.»
Merci !!!
 
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