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Article L'indep => Usap, Qui Peut Te Battre ?

Hakatalan

USAPiste sérieux
http://www.lindependant.fr/2018/03/09/usap-qui-peut-te-battre,3906177.php

Hier soir, les Catalans ont atomisé Biarritz (56-3). Ils sont assurés de participer aux phases finales.

Jusqu’à quel point la polémique avait-elle parasité l’USAP ? 17e minute, Alex Brown quitte le terrain sur un protocole commotion. Tout Aimé-Giral déclenche le désormais célèbre compte à rebours (voir ci-dessus). Pas de panique ni de réclamation : le pilier anglais ne retrouvera pas le terrain.

Premier qualifié

Sans doute fallait-il quelques tampons de Cocagi, quelques déblayages de Botha (photo M. C.) ou chisteras de Mafi pour taire les angoisses des supporters. La dérouillée flanquée hier soir à Biarritz (56-3) a pourtant confirmé l’inébranlable foi que les Catalans ont en eux-mêmes. Et il a suffi de 80 minutes pour définitivement lancer l’USAP sur l’autoroute des phases finales.

Dernier talonneur disponible avant l’arrivée imminente d’un joker médical, Raphaël Carbou aimantait l’attention. Pour sa 25e apparition en 26 journées, le marathonien des rucks sort d’ailleurs le premier des vestiaires. Regard noir. Au diapason de ses coéquipiers. Il disputera 80 minutes sans broncher, permettant au pilier Forletta, son remplaçant d’un jour, de rester au chaud sous sa doudoune. À chaque obstacle l’USAP trouve sa parade. La vertu de la confiance.

La furia catalane s’est abattue sur le BO. Petit contentieux datant du match aller (défaite 37-11) ? Ou volonté de prendre un ascendant sur un futur adversaire en phase finale ? Car en l’emportant hier soir, l’USAP s’est assurée mathématiquement d’y participer. Avec, en prime, son record de points en Pro D2 d’ores et déjà battu, quatre journées avant la fin de la phase régulière.

Vieille comme le rugby, l’affiche d’hier soir n’a pas manqué de piquant. Le cube Cocagi donne le ton : première minute, première cartouche. Dans la foulée, somptueux essai de Bousquet (7-0). Le premier d’une ribambelle, sept au total. Biarritz n’a pas existé. L’USAP ne lui en a jamais donné l’occasion.

Un symbole ? Comme dans les plus beaux challenges Téléfoot, Pierre Bernard tape la transversale sur sa première pénalité (9e). Le début d’une très longue soirée pour Quesada et ses boys. Derrière un pack ultra-dominateur, notamment en mêlée, la charnière Ecochard-Selponi orchestre une magnifique partition. Mafi de retour au centre, cette USAP paraît de taille pour réaliser le plus grand des rêves catalans. À la mi-temps, elle menait déjà 27-3, bonus offensif en poche. Tout en activant une large rotation, elle rajoutera 29 points jusqu’au coup de sifflet final sans encaisser le moindre essai. Question de principe. Deux fausses notes, c’est peu. L’indiscipline en première mi-temps. Mais surtout les sifflets amnésiques qui ont accompagné la sortie de Bertrand Guiry, enfant du pays.

L’USAP a mis la pression sur la concurrence. Mont-de-Marsan, Montauban : rattrape-la si tu peux.

Pierre Cribeillet
 
Il sifflait pas guéri mais le geste… ensuite regret de la réforme de la prod2 , il fallait bien que cela soit l'année où tu risque de finir premier.
Dans tous les cas, il faut aller gagner à Massy et bonus off contre soyaux afin d'offrir ce fabuleux public une demi aimé giral de feu , et avec ce public on a 50% sur la finale avec meme un rattrapage possible, à fond derrière cette équipe qui sa place en top 14 (avec les 8 millions de droits TV ) une trois recrue de haut qualibre et enfin un vrai investissement dans un centre de formation !!! Allez l'usap , un plaisir votre jeu
 
Et puis qu’est ce qu’on s’en fout de Guiry...il a choisi un autre chemin quand le president lui a proposé de construire autour de lui, il a fait un choix, point barre. Au final, il a quitté le navire comme les autres en faisant trainer un peu plus, c’est tout.
Fallait lui faire une ovation à sa sortie? Thomas Lievremont a dit que le public Catalan avait la mémoire courte, lui visiblement l’a perdue complétement.
 
http://www.lindependant.fr/2018/03/09/usap-qui-peut-te-battre,3906177.php

Hier soir, les Catalans ont atomisé Biarritz (56-3). Ils sont assurés de participer aux phases finales.

Jusqu’à quel point la polémique avait-elle parasité l’USAP ? 17e minute, Alex Brown quitte le terrain sur un protocole commotion. Tout Aimé-Giral déclenche le désormais célèbre compte à rebours (voir ci-dessus). Pas de panique ni de réclamation : le pilier anglais ne retrouvera pas le terrain.

Premier qualifié

Sans doute fallait-il quelques tampons de Cocagi, quelques déblayages de Botha (photo M. C.) ou chisteras de Mafi pour taire les angoisses des supporters. La dérouillée flanquée hier soir à Biarritz (56-3) a pourtant confirmé l’inébranlable foi que les Catalans ont en eux-mêmes. Et il a suffi de 80 minutes pour définitivement lancer l’USAP sur l’autoroute des phases finales.

Dernier talonneur disponible avant l’arrivée imminente d’un joker médical, Raphaël Carbou aimantait l’attention. Pour sa 25e apparition en 26 journées, le marathonien des rucks sort d’ailleurs le premier des vestiaires. Regard noir. Au diapason de ses coéquipiers. Il disputera 80 minutes sans broncher, permettant au pilier Forletta, son remplaçant d’un jour, de rester au chaud sous sa doudoune. À chaque obstacle l’USAP trouve sa parade. La vertu de la confiance.

La furia catalane s’est abattue sur le BO. Petit contentieux datant du match aller (défaite 37-11) ? Ou volonté de prendre un ascendant sur un futur adversaire en phase finale ? Car en l’emportant hier soir, l’USAP s’est assurée mathématiquement d’y participer. Avec, en prime, son record de points en Pro D2 d’ores et déjà battu, quatre journées avant la fin de la phase régulière.

Vieille comme le rugby, l’affiche d’hier soir n’a pas manqué de piquant. Le cube Cocagi donne le ton : première minute, première cartouche. Dans la foulée, somptueux essai de Bousquet (7-0). Le premier d’une ribambelle, sept au total. Biarritz n’a pas existé. L’USAP ne lui en a jamais donné l’occasion.

Un symbole ? Comme dans les plus beaux challenges Téléfoot, Pierre Bernard tape la transversale sur sa première pénalité (9e). Le début d’une très longue soirée pour Quesada et ses boys. Derrière un pack ultra-dominateur, notamment en mêlée, la charnière Ecochard-Selponi orchestre une magnifique partition. Mafi de retour au centre, cette USAP paraît de taille pour réaliser le plus grand des rêves catalans. À la mi-temps, elle menait déjà 27-3, bonus offensif en poche. Tout en activant une large rotation, elle rajoutera 29 points jusqu’au coup de sifflet final sans encaisser le moindre essai. Question de principe. Deux fausses notes, c’est peu. L’indiscipline en première mi-temps. Mais surtout les sifflets amnésiques qui ont accompagné la sortie de Bertrand Guiry, enfant du pays.

L’USAP a mis la pression sur la concurrence. Mont-de-Marsan, Montauban : rattrape-la si tu peux.

Pierre Cribeillet
L'Usap , ton point faible ... toi même , mais cette année tu as grandit et laisser aux vestiaires tes erreurs de jeunesse .
 
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