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Usap-us Carcassonne / Joël Koffi : « pourquoi Ne Pas Y Croire ? » - Lindependant.fr
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USAP-US Carcassonne / Joël Koffi : « Pourquoi ne pas y croire ? »
Le 27 janvier à 06h00 par Recueilli par Ch. Parra
Au match aller, l’USCde Koffi avait étouffé l’USAP. PHOTO/BOYER Claude
USC. Le troisième ligne, qui a prolongé à Carcassonne, espère prolonger la dynamique.
C’est un symbole fort qui tombe à point. En négociations depuis décembre, Joël Koffi (32 ans, 1, 89 m, 105 kg), et l’USC sont tombés d’accord pour continuer l’aventure ensemble trois saisons supplémentaires. « Nous avons la chance d’avoir ce joueur avec nous. On avait demandé à Joël de continuer. C’est une pièce essentielle, il est important dans le vestiaire et sur le terrain. Quoi qu’il arrive, il est là. C’est 30 matchs par saison », se félicite Nicolas Nadau, l’entraîneur des trois-quarts carcassonnais. La bonne dynamique enclenchée à l’USC, depuis le début de la saison, n’est pas étrangère à la décision du flanker, arrivé sur les berges de l’Aude en 2010.
Qu’est ce qui a motivé votre choix de rester ?
Il me reste encore trois ou quatre saisons dans le rugby professionnel. J’avais d’autres contacts mais j’ai fait le choix de la stabilité. Nous réalisons une bonne saison et je veux aider le club à grandir, à travailler dans la continuité. Cette saison était charnière. On voit que l’on s’est bien approprié le rugby prôné par les coachs. On a un fond de jeu et on voit que ça marche. J’espère que c’est parti pour un moment et que l’on va pouvoir avoir des objectifs à moyen terme pour viser autre chose que le maintien. Depuis 7 ans que je suis au club, il y avait des changements tous les deux ans. La stabilité, c’est important, dans toutes les strates du club de l’équipe fanion aux jeunes.
Craignez-vous ce déplacement en terre catalane ?
On va se mettre la pression qu’il faut car on a vu qu’à Aimé-Giral, on peut vite revenir les valises pleines. On va aborder cette rencontre comme un match à gagner tout simplement. Après trois victoires consécutives, si on n’y croit pas là, on n’y croira jamais. Mais Perpignan a deux visages. À l’extérieur ce n’est pas encore ça, en revanche à domicile, elle cartonne. On sait que le premier quart d’heure sera important comme souvent à l’extérieur. À nous de répondre présent dans le combat. D’autant plus que les conditions risquent d’être délicates, avec de la pluie en prévision.
Avant la 19e journée, vous êtes 7es au classement. Avez-vous revu vos ambitions à la hausse ?
Il ne faut pas se prendre pour ce que l’on n’est pas. On fait avec notre effectif. Mais pourquoi ne pas y croire ? Ce championnat est serré à tous les niveaux.
Le 27 janvier à 06h00 par Recueilli par Ch. Parra
Au match aller, l’USCde Koffi avait étouffé l’USAP. PHOTO/BOYER Claude
USC. Le troisième ligne, qui a prolongé à Carcassonne, espère prolonger la dynamique.
C’est un symbole fort qui tombe à point. En négociations depuis décembre, Joël Koffi (32 ans, 1, 89 m, 105 kg), et l’USC sont tombés d’accord pour continuer l’aventure ensemble trois saisons supplémentaires. « Nous avons la chance d’avoir ce joueur avec nous. On avait demandé à Joël de continuer. C’est une pièce essentielle, il est important dans le vestiaire et sur le terrain. Quoi qu’il arrive, il est là. C’est 30 matchs par saison », se félicite Nicolas Nadau, l’entraîneur des trois-quarts carcassonnais. La bonne dynamique enclenchée à l’USC, depuis le début de la saison, n’est pas étrangère à la décision du flanker, arrivé sur les berges de l’Aude en 2010.
Qu’est ce qui a motivé votre choix de rester ?
Il me reste encore trois ou quatre saisons dans le rugby professionnel. J’avais d’autres contacts mais j’ai fait le choix de la stabilité. Nous réalisons une bonne saison et je veux aider le club à grandir, à travailler dans la continuité. Cette saison était charnière. On voit que l’on s’est bien approprié le rugby prôné par les coachs. On a un fond de jeu et on voit que ça marche. J’espère que c’est parti pour un moment et que l’on va pouvoir avoir des objectifs à moyen terme pour viser autre chose que le maintien. Depuis 7 ans que je suis au club, il y avait des changements tous les deux ans. La stabilité, c’est important, dans toutes les strates du club de l’équipe fanion aux jeunes.
Craignez-vous ce déplacement en terre catalane ?
On va se mettre la pression qu’il faut car on a vu qu’à Aimé-Giral, on peut vite revenir les valises pleines. On va aborder cette rencontre comme un match à gagner tout simplement. Après trois victoires consécutives, si on n’y croit pas là, on n’y croira jamais. Mais Perpignan a deux visages. À l’extérieur ce n’est pas encore ça, en revanche à domicile, elle cartonne. On sait que le premier quart d’heure sera important comme souvent à l’extérieur. À nous de répondre présent dans le combat. D’autant plus que les conditions risquent d’être délicates, avec de la pluie en prévision.
Avant la 19e journée, vous êtes 7es au classement. Avez-vous revu vos ambitions à la hausse ?
Il ne faut pas se prendre pour ce que l’on n’est pas. On fait avec notre effectif. Mais pourquoi ne pas y croire ? Ce championnat est serré à tous les niveaux.