François Rivière nous a reçu jeudi matin dans ses bureaux d'Aimé-Giral. D'humeur optimiste et décontractée, le président des sang et or a balayé sans tabous tous les sujets de sa gouvernance, du recrutement aux finances, de ses regrets à ses rêves de montée en Top 14, de sa vie personnelle aussi... Extraits.
"L'an prochain, à l'aile, il y aura Pujol ou Pujol et un autre, qui peut être Ratini. L’option N.1, c’est Pujol."
"Je ne me prends pas pour Don Quichotte mais, quand on s’appelle l’USAP, il faut afficher une ambition."
"Y’avait-il un plan B ? Avec le temps, on se rend compte que l’année de notre descente (en 2014), où on a eu quinze jours pour recruter, on a fait des choix de joueurs qu’on aurait pu éviter. Ce qui est vrai, c’est qu’il fallait cohérence sportive, laquelle ne s’improvise pas."
"On a la place pour être en Top 14. On a l’histoire, l’ADN, on a tout. Mais attention : il faut monter pour se maintenir. Ici, le rugby est anxiogène, on a toujours peur de perdre, parce qu’on a la culture du résultat."
"Depuis un an, il ne se passe pas une seconde sans que je nai pas mal à mes 25 ou 30 fractures. Il y a aussi les douleurs morales et personnelles qui sont très importantes. Si vous saviez toutes les marques daffection que jai recues...ça crée des obligations vis-à-vis des supporteurs."
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