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USAP - centre de formation : pas de blanc-seing de Rivière - Lindependant.fr

Projet essentiel pour l’USAP, mais pas à n’importe quelles conditions : sans rentrer dans le détail, le président de l’USAP François Rivière livre son opinion sur le futur centre de formation auquel il veut greffer une école déjà existante.

« Si c’est pour faire du gribouillis, c’est pas la peine et ce sera sans moi. » Interrogé au sujet de l’accélération du projet de centre de formation, le président de l’USAP François Rivière semble poser une condition sine qua non à sa participation : placer la formation et l’IFSC (Institut de formation du sport catalan) au cœur du réacteur.


XV et XIII
« Il y a deux locomotives, l’USAP et les Dragons, ce doivent être les piliers de ce projet. Mais ça n’est absolument pas suffisant. » Le président Rivière prend bien soin de distinguer deux problématiques qui se rejoignent : ne pas opposer XV et XIII, mais ne pas non plus se limiter à ces deux sports. « Ce doit être une pépinière de formation de très haut vol, que ce soit sur un plan sportif ou universitaire, mais ouverte au foot, au basket et à toutes les disciplines. » Par ailleurs, le boss de l’USAP se déclare étranger aux querelles entre les deux rugbys : « Qu’on se réunisse enfin plutôt que d’entretenir des chicayas de clochemerle qui n’ont plus lieu d’être. »


Logement
À ce jour et depuis 2003, les jeunes du centre de formation de l’USAP logent à Clodion dans le quartier du Bas-Vernet. « Je pourrais vous citer X exemples de jeunes venus à Perpignan, quand les parents ont vu les moyens d’habitats qu’on proposait, ils se sont rétractés », assure Rivière, qui ne cite aucun emplacement en particulier pour la création du centre de formation.

Formation
L’USAP possède déjà son école, l’IFSC. Et ça, le président tient à le mettre en avant. « L’USAP est très en avance, voire en avant-garde. Notre école existe déjà et forme quasiment une centaine de gamins par an et pas seulement des jeunes du rugby à XV. » Si la structure du club, divisée entre association (jeunes) et SASP (professionnels), contraint Rivière à parler à l’unisson avec Axel Barrière, président de la première entité, il compte bien mettre l’école de l’USAP au cœur du projet. « On est prêt à mettre notre marque et notre expérience avec l’IFSC dans la corbeille commune. Mais la contrepartie, c’est bien un objectif de formation d’une élite sportive et pédagogique. » La place donnée à cet établissement sera au cœur des négociations.

Gouvernance
Qui dirige quoi ? Là encore, le président Rivière ne veut pas trop s’avancer. « Ça, ce sont des détails de l’Histoire si on est alignés sur une ambition », clame-t-il. Pourtant, les équilibres de pouvoir ne sont pas le moindre des enjeux de ce centre de formation. « Sur la forme, on peut faire en sorte que cet institut soit un organisme cogéré, mis à la disposition des plus grands clubs de sport qui chacun l’alimenteront. La structure juridique se définira avec les collectivités. » Il n’en dira pas plus, se bornant à marteler que « chacun doit être très précis sur ce qu’il souhaite voir émerger dans le cahier des charges. […] Oui, il faudra régler la gouvernance, faire en sorte que les places des uns et des autres soient bien délimitées. Mais c’est la démarche de la municipalité de donner le cap. »

Dagrenat
Le nom de Marcel Dagrenat, ancien président de l’USAP (2000-2007), a été avancé pour prendre les rênes du projet. « À titre personnel, ce n’est pas un problème, je n’ai même pas connu son époque, situe Rivière, président depuis 2013. La situation a parfois été compliquée dans le passé, il faut être prudent, parce qu’il y a des situations qui ne sont pas toujours simples et oubliées par certaines personnes. » Il n’en dira pas plus, même s’il confirme des discussions déjà engagées avec les collectivités et insiste sur le fait que « le sujet n’est pas encore de citer certaines personnes ».

Pierre Cribeillet
 
La situation a parfois été compliquée dans le passé, il faut être prudent, parce qu’il y a des situations qui ne sont pas toujours simples et oubliées par certaines personnes. »
:content::content::content:


Les groupies de l'épicier apprécieront ....... ce coup de pied dans les rotules
Je ne suis pas prêt à être hospitalisé comme certains le voulaient

 
Projet essentiel pour l’USAP, mais pas à n’importe quelles conditions : sans rentrer dans le détail, le président de l’USAP François Rivière livre son opinion sur le futur centre de formation auquel il veut greffer une école déjà existante.

« Si c’est pour faire du gribouillis, c’est pas la peine et ce sera sans moi. » Interrogé au sujet de l’accélération du projet de centre de formation, le président de l’USAP François Rivière semble poser une condition sine qua non à sa participation : placer la formation et l’IFSC (Institut de formation du sport catalan) au cœur du réacteur.


XV et XIII
« Il y a deux locomotives, l’USAP et les Dragons, ce doivent être les piliers de ce projet. Mais ça n’est absolument pas suffisant. » Le président Rivière prend bien soin de distinguer deux problématiques qui se rejoignent : ne pas opposer XV et XIII, mais ne pas non plus se limiter à ces deux sports. « Ce doit être une pépinière de formation de très haut vol, que ce soit sur un plan sportif ou universitaire, mais ouverte au foot, au basket et à toutes les disciplines. » Par ailleurs, le boss de l’USAP se déclare étranger aux querelles entre les deux rugbys : « Qu’on se réunisse enfin plutôt que d’entretenir des chicayas de clochemerle qui n’ont plus lieu d’être. »


Logement
À ce jour et depuis 2003, les jeunes du centre de formation de l’USAP logent à Clodion dans le quartier du Bas-Vernet. « Je pourrais vous citer X exemples de jeunes venus à Perpignan, quand les parents ont vu les moyens d’habitats qu’on proposait, ils se sont rétractés », assure Rivière, qui ne cite aucun emplacement en particulier pour la création du centre de formation.

Formation
L’USAP possède déjà son école, l’IFSC. Et ça, le président tient à le mettre en avant. « L’USAP est très en avance, voire en avant-garde. Notre école existe déjà et forme quasiment une centaine de gamins par an et pas seulement des jeunes du rugby à XV. » Si la structure du club, divisée entre association (jeunes) et SASP (professionnels), contraint Rivière à parler à l’unisson avec Axel Barrière, président de la première entité, il compte bien mettre l’école de l’USAP au cœur du projet. « On est prêt à mettre notre marque et notre expérience avec l’IFSC dans la corbeille commune. Mais la contrepartie, c’est bien un objectif de formation d’une élite sportive et pédagogique. » La place donnée à cet établissement sera au cœur des négociations.

Gouvernance
Qui dirige quoi ? Là encore, le président Rivière ne veut pas trop s’avancer. « Ça, ce sont des détails de l’Histoire si on est alignés sur une ambition », clame-t-il. Pourtant, les équilibres de pouvoir ne sont pas le moindre des enjeux de ce centre de formation. « Sur la forme, on peut faire en sorte que cet institut soit un organisme cogéré, mis à la disposition des plus grands clubs de sport qui chacun l’alimenteront. La structure juridique se définira avec les collectivités. » Il n’en dira pas plus, se bornant à marteler que « chacun doit être très précis sur ce qu’il souhaite voir émerger dans le cahier des charges. […] Oui, il faudra régler la gouvernance, faire en sorte que les places des uns et des autres soient bien délimitées. Mais c’est la démarche de la municipalité de donner le cap. »

Dagrenat
Le nom de Marcel Dagrenat, ancien président de l’USAP (2000-2007), a été avancé pour prendre les rênes du projet. « À titre personnel, ce n’est pas un problème, je n’ai même pas connu son époque, situe Rivière, président depuis 2013. La situation a parfois été compliquée dans le passé, il faut être prudent, parce qu’il y a des situations qui ne sont pas toujours simples et oubliées par certaines personnes. » Il n’en dira pas plus, même s’il confirme des discussions déjà engagées avec les collectivités et insiste sur le fait que « le sujet n’est pas encore de citer certaines personnes ».

Pierre Cribeillet
Projet essentiel pour l’USAP, mais pas à n’importe quelles conditions : sans rentrer dans le détail, le président de l’USAP François Rivière livre son opinion sur le futur centre de formation auquel il veut greffer une école déjà existante.

« Si c’est pour faire du gribouillis, c’est pas la peine et ce sera sans moi. » Interrogé au sujet de l’accélération du projet de centre de formation, le président de l’USAP François Rivière semble poser une condition sine qua non à sa participation : placer la formation et l’IFSC (Institut de formation du sport catalan) au cœur du réacteur.


XV et XIII
« Il y a deux locomotives, l’USAP et les Dragons, ce doivent être les piliers de ce projet. Mais ça n’est absolument pas suffisant. » Le président Rivière prend bien soin de distinguer deux problématiques qui se rejoignent : ne pas opposer XV et XIII, mais ne pas non plus se limiter à ces deux sports. « Ce doit être une pépinière de formation de très haut vol, que ce soit sur un plan sportif ou universitaire, mais ouverte au foot, au basket et à toutes les disciplines. » Par ailleurs, le boss de l’USAP se déclare étranger aux querelles entre les deux rugbys : « Qu’on se réunisse enfin plutôt que d’entretenir des chicayas de clochemerle qui n’ont plus lieu d’être. »


Logement
À ce jour et depuis 2003, les jeunes du centre de formation de l’USAP logent à Clodion dans le quartier du Bas-Vernet. « Je pourrais vous citer X exemples de jeunes venus à Perpignan, quand les parents ont vu les moyens d’habitats qu’on proposait, ils se sont rétractés », assure Rivière, qui ne cite aucun emplacement en particulier pour la création du centre de formation.

Formation
L’USAP possède déjà son école, l’IFSC. Et ça, le président tient à le mettre en avant. « L’USAP est très en avance, voire en avant-garde. Notre école existe déjà et forme quasiment une centaine de gamins par an et pas seulement des jeunes du rugby à XV. » Si la structure du club, divisée entre association (jeunes) et SASP (professionnels), contraint Rivière à parler à l’unisson avec Axel Barrière, président de la première entité, il compte bien mettre l’école de l’USAP au cœur du projet. « On est prêt à mettre notre marque et notre expérience avec l’IFSC dans la corbeille commune. Mais la contrepartie, c’est bien un objectif de formation d’une élite sportive et pédagogique. » La place donnée à cet établissement sera au cœur des négociations.

Gouvernance
Qui dirige quoi ? Là encore, le président Rivière ne veut pas trop s’avancer. « Ça, ce sont des détails de l’Histoire si on est alignés sur une ambition », clame-t-il. Pourtant, les équilibres de pouvoir ne sont pas le moindre des enjeux de ce centre de formation. « Sur la forme, on peut faire en sorte que cet institut soit un organisme cogéré, mis à la disposition des plus grands clubs de sport qui chacun l’alimenteront. La structure juridique se définira avec les collectivités. » Il n’en dira pas plus, se bornant à marteler que « chacun doit être très précis sur ce qu’il souhaite voir émerger dans le cahier des charges. […] Oui, il faudra régler la gouvernance, faire en sorte que les places des uns et des autres soient bien délimitées. Mais c’est la démarche de la municipalité de donner le cap. »

Dagrenat
Le nom de Marcel Dagrenat, ancien président de l’USAP (2000-2007), a été avancé pour prendre les rênes du projet. « À titre personnel, ce n’est pas un problème, je n’ai même pas connu son époque, situe Rivière, président depuis 2013. La situation a parfois été compliquée dans le passé, il faut être prudent, parce qu’il y a des situations qui ne sont pas toujours simples et oubliées par certaines personnes. » Il n’en dira pas plus, même s’il confirme des discussions déjà engagées avec les collectivités et insiste sur le fait que « le sujet n’est pas encore de citer certaines personnes ».

Pierre Cribeillet

Je me répète ....


J'attendrai la cérémonie d'inauguration .........
Et le projet USAP de Riri à 42M€, où ça en est?

Des projets , c'est bien , des réalisations c'est mieux.

lollollol
 
Logement
À ce jour et depuis 2003, les jeunes du centre de formation de l’USAP logent à Clodion dans le quartier du Bas-Vernet. « Je pourrais vous citer X exemples de jeunes venus à Perpignan, quand les parents ont vu les moyens d’habitats qu’on proposait, ils se sont rétractés », assure Rivière, qui ne cite aucun emplacement en particulier pour la création du centre de formation.
Et pourquoi Riri n'a pas essayé de les reloger ailleurs?

NB Qui les avez logé à Clodion ?:cogite::cogite::cogite:
 
Facile à comprendre c'est purement politique.
Ecole de l'Usap à Clodion comme l'IMFSI car secteur à problème, faut mélanger la population, et faire obstruction au ghetto.
Idem pour l'hôpital, AG, GB
CQFD
 
Projet essentiel pour l’USAP, mais pas à n’importe quelles conditions : sans rentrer dans le détail, le président de l’USAP François Rivière livre son opinion sur le futur centre de formation auquel il veut greffer une école déjà existante.

« Si c’est pour faire du gribouillis, c’est pas la peine et ce sera sans moi. » Interrogé au sujet de l’accélération du projet de centre de formation, le président de l’USAP François Rivière semble poser une condition sine qua non à sa participation : placer la formation et l’IFSC (Institut de formation du sport catalan) au cœur du réacteur.


XV et XIII
« Il y a deux locomotives, l’USAP et les Dragons, ce doivent être les piliers de ce projet. Mais ça n’est absolument pas suffisant. » Le président Rivière prend bien soin de distinguer deux problématiques qui se rejoignent : ne pas opposer XV et XIII, mais ne pas non plus se limiter à ces deux sports. « Ce doit être une pépinière de formation de très haut vol, que ce soit sur un plan sportif ou universitaire, mais ouverte au foot, au basket et à toutes les disciplines. » Par ailleurs, le boss de l’USAP se déclare étranger aux querelles entre les deux rugbys : « Qu’on se réunisse enfin plutôt que d’entretenir des chicayas de clochemerle qui n’ont plus lieu d’être. »


Logement
À ce jour et depuis 2003, les jeunes du centre de formation de l’USAP logent à Clodion dans le quartier du Bas-Vernet. « Je pourrais vous citer X exemples de jeunes venus à Perpignan, quand les parents ont vu les moyens d’habitats qu’on proposait, ils se sont rétractés », assure Rivière, qui ne cite aucun emplacement en particulier pour la création du centre de formation.

Formation
L’USAP possède déjà son école, l’IFSC. Et ça, le président tient à le mettre en avant. « L’USAP est très en avance, voire en avant-garde. Notre école existe déjà et forme quasiment une centaine de gamins par an et pas seulement des jeunes du rugby à XV. » Si la structure du club, divisée entre association (jeunes) et SASP (professionnels), contraint Rivière à parler à l’unisson avec Axel Barrière, président de la première entité, il compte bien mettre l’école de l’USAP au cœur du projet. « On est prêt à mettre notre marque et notre expérience avec l’IFSC dans la corbeille commune. Mais la contrepartie, c’est bien un objectif de formation d’une élite sportive et pédagogique. » La place donnée à cet établissement sera au cœur des négociations.

Gouvernance
Qui dirige quoi ? Là encore, le président Rivière ne veut pas trop s’avancer. « Ça, ce sont des détails de l’Histoire si on est alignés sur une ambition », clame-t-il. Pourtant, les équilibres de pouvoir ne sont pas le moindre des enjeux de ce centre de formation. « Sur la forme, on peut faire en sorte que cet institut soit un organisme cogéré, mis à la disposition des plus grands clubs de sport qui chacun l’alimenteront. La structure juridique se définira avec les collectivités. » Il n’en dira pas plus, se bornant à marteler que « chacun doit être très précis sur ce qu’il souhaite voir émerger dans le cahier des charges. […] Oui, il faudra régler la gouvernance, faire en sorte que les places des uns et des autres soient bien délimitées. Mais c’est la démarche de la municipalité de donner le cap. »

Dagrenat
Le nom de Marcel Dagrenat, ancien président de l’USAP (2000-2007), a été avancé pour prendre les rênes du projet. « À titre personnel, ce n’est pas un problème, je n’ai même pas connu son époque, situe Rivière, président depuis 2013. La situation a parfois été compliquée dans le passé, il faut être prudent, parce qu’il y a des situations qui ne sont pas toujours simples et oubliées par certaines personnes. » Il n’en dira pas plus, même s’il confirme des discussions déjà engagées avec les collectivités et insiste sur le fait que « le sujet n’est pas encore de citer certaines personnes ».

Pierre Cribeillet

On dirait que Riri n'a pas confiance ... En même temps , il ne faut jamais faire confiance à un maquignon . moi j'ajouterais , ni à un treiziste . Alors que dire d'un maquignon treiziste.hahahahahaha
 
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