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Usap : Carbou, Promesses Tenues - Lindependant.fr
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Hakatalan
USAPiste sérieux
Ce jeudi, le club catalan a officialisé la prolongation pour deux saisons du talonneur Raphaël Carbou.
Le deal était clair : le staff de l’USAP lui donnait une saison pour faire ses preuves. Sa récompense ? Une prolongation de deux ans. Performant depuis le début de la saison, le talonneur Raphaël Carbou (25 ans, 1,85 m, 110 kg) a rempli sa part du contrat. Comme nous vous l’annoncions dans notre édition du 10 janvier, il a donc paraphé, hier après-midi, un bail de deux saisons supplémentaires avec l’USAP. Réaction.
Êtes-vous soulagé de cette prolongation ?
C’est une bonne journée, oui. Je suis content, très content de prolonger avec mon club, là où j’ai grandi au fil des années. Je suis passé par ce très bon centre de formation et j’ai passé toutes les étapes de ma formation ici.
Est-ce plus confortable de travailler sans la crainte d’une fin de contrat ?
J’aime bien comparer avec l’image d’un travail quelconque. D’un point de vue contractuel, lorsqu’on approche de la fin, avec tous les tracas de l’année d’après, évidemment c’est plus délicat psychologiquement.
« Voir quelque chose de beau »
Avez-vous songé à l’éventualité d’un départ ?
Bien sûr, on est obligé de penser à toutes les situations qui peuvent arriver. Mais je ne cache pas que je suis très content de rester dans ce club.
Vous avez éclos après la descente, en 2014...
Depuis cette descente, quelque chose se construit. J’ai envie d’être là pour voir quelque chose de beau. La montée, que ce soit cette année ou une autre, est un très bel objectif à réaliser.
Avec d’autres joueurs lancés dans le grand bain en Pro D2, vous semblez désormais maîtriser ce championnat.
Ce serait un peu présomptueux de dire qu’on le maîtrise. Ce qui est sûr c’est qu’on n’est pas les mêmes que la première année. On a coutume de dire que les week-ends se suivent et ne se ressemblent pas, mais les matches au couteau et certains schémas se reproduisent. On a vécu des bons moments et, surtout, des périodes difficiles qu’on n’a pas envie de revivre.
Prenez-vous davantage de responsabilités dans le groupe ?
J’aime bien quand les choses se font naturellement. Chaque joueur a plus de responsabilités selon les périodes, mais je n’aime pas qu’on mette de pression là-dessus.
En mettant une clause à votre prolongation l’an passé, les coaches ont-ils voulu vous fixer un challenge ?
À eux de répondre. J’ai essayé de donner le meilleur de moi-même. Je n’en aurais pas moins fait sans ce challenge. Je donne le maximum en travaillant le plus possible. Cela sourit plus cette année, mais signer un contrat n’est pas une finalité.
Le deal était clair : le staff de l’USAP lui donnait une saison pour faire ses preuves. Sa récompense ? Une prolongation de deux ans. Performant depuis le début de la saison, le talonneur Raphaël Carbou (25 ans, 1,85 m, 110 kg) a rempli sa part du contrat. Comme nous vous l’annoncions dans notre édition du 10 janvier, il a donc paraphé, hier après-midi, un bail de deux saisons supplémentaires avec l’USAP. Réaction.
Êtes-vous soulagé de cette prolongation ?
C’est une bonne journée, oui. Je suis content, très content de prolonger avec mon club, là où j’ai grandi au fil des années. Je suis passé par ce très bon centre de formation et j’ai passé toutes les étapes de ma formation ici.
Est-ce plus confortable de travailler sans la crainte d’une fin de contrat ?
J’aime bien comparer avec l’image d’un travail quelconque. D’un point de vue contractuel, lorsqu’on approche de la fin, avec tous les tracas de l’année d’après, évidemment c’est plus délicat psychologiquement.
« Voir quelque chose de beau »
Avez-vous songé à l’éventualité d’un départ ?
Bien sûr, on est obligé de penser à toutes les situations qui peuvent arriver. Mais je ne cache pas que je suis très content de rester dans ce club.
Vous avez éclos après la descente, en 2014...
Depuis cette descente, quelque chose se construit. J’ai envie d’être là pour voir quelque chose de beau. La montée, que ce soit cette année ou une autre, est un très bel objectif à réaliser.
Avec d’autres joueurs lancés dans le grand bain en Pro D2, vous semblez désormais maîtriser ce championnat.
Ce serait un peu présomptueux de dire qu’on le maîtrise. Ce qui est sûr c’est qu’on n’est pas les mêmes que la première année. On a coutume de dire que les week-ends se suivent et ne se ressemblent pas, mais les matches au couteau et certains schémas se reproduisent. On a vécu des bons moments et, surtout, des périodes difficiles qu’on n’a pas envie de revivre.
Prenez-vous davantage de responsabilités dans le groupe ?
J’aime bien quand les choses se font naturellement. Chaque joueur a plus de responsabilités selon les périodes, mais je n’aime pas qu’on mette de pression là-dessus.
En mettant une clause à votre prolongation l’an passé, les coaches ont-ils voulu vous fixer un challenge ?
À eux de répondre. J’ai essayé de donner le meilleur de moi-même. Je n’en aurais pas moins fait sans ce challenge. Je donne le maximum en travaillant le plus possible. Cela sourit plus cette année, mais signer un contrat n’est pas une finalité.