FAUST
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Article "du Monde" le 20 juin 2024
Nos consultants, Jean-Raoul Tarba et Alcide Raibleau rendent compte dans une tribune « au monde » d’une possibilité d’évolution colossale dans la protection des joueurs de rugby professionnels et amateurs. En effet, une startup française à procédé à des tests très concluants sur de nouveaux équipements ayant pour but de réduire considérablement la violence des chocs et, de ce fait, de faire baisser très sensiblement le nombre et la gravité des commotions cérébrales.
On le sait depuis longtemps, le physique et la masse musculaire sont en constante augmentation depuis plus de trente ans dans le rugby professionnel notamment. Les contacts et les chocs sont, par voie de conséquence, plus importants jusqu’à s’apparenter aux traumas constatés en accidentologie routière.
Prendre le problème à la racine.
C’est en pays Armoricain qu’un passionné de rugby, qui avoue n’avoir pratiquement jamais joué (à part une expérience malheureuse) et ne pas connaitre énormément ce jeu, a décidé d’orienter des recherches sur la protection de la boite crânienne. Son passé de cadre dirigeant et sa connaissance des entreprises et de tous les marchés existants ont certainement favorisé ce franchissement.
« Tout est parti d’une réflexion, d’une introspection profonde, suite à un accident du travail que j’ai subi. J’étais au cul de mes vaches (expression pittoresque locale du sous canton de Moucraine Sur Glaviouze), et quand j’m’es relevé, j’m’es cogné la tête contre la trayeuse . J’m’es dit immédiatement « c’est pas possible !! la vie de cs pauvres rugbymen, y doivent souffrir bien plus que moi »
C’est donc par altruisme de J... a donc travaillé au développement de sa société. Les rugbymen ont une dette éternelle envers ce « brave type »
Une structure composite ultra secrète
Nous comprenons aisément la discrétion dont fait preuve cet entrepreneur du 3ème millénaire pour nous parler de sa trouvaille. Avare de mots, il avoue quand même :
« C’est dans mon jardin que l’idée m’est venue ». Nous en restons là, il n’ira pas plus loin malgré nos suppliques.
Mais il se veut rassurant et nous promet une photo du prototype que lui-même va essayer dès le lendemain dans un laboratoire de la base navale de Brest où toute la technologie liée au développement des derniers sous-marins furtifs lanceur d’engins va être mise à l’épreuve pour la validation de l’échantillon initial.
J…. a la boule au ventre, il risque gros et il le sait, mais il se veut confiant.
« C’est moi-même qui va faire le test, si j’m’es trompé, tant pis. Comme on dit chez nous : Quand la girafe court dans la lande, c’est qu’il y avoir d’la merte sur le bigniou. (expression pour le moins imagée mais pleine de bon sens)
A la question « en quoi consiste le test », il est sans détour. « j’vais m’mettre en position de plaquage, comme ça (il mime et la ressemblance avec Antoine Dupont est frappante), pis on va me balancer dans la gueu…dans le casque une masse de 150kg lancée depuis la grue qui porte les sous-marin pour matérialiser un raffut de Tuisova. Impressionnant !!! L’histoire se créée devant nos yeux et nous en sommes les témoins
Le lendemain, joint par téléphone, il nous fait part de son retour de test.
- J…. comment s’est passé ce test et comment vous sentez vous ?
- Fa F’est paffé moyennement. F’ai bien réfifté mais là f’ai un peu fatigué. Fétait pas facile facile, f’ai un peu mal mais f’ais pas de féquelles. Bon j’vous laiffe, j’fais dormir un peu.
Héro anonyme
On comprend tout à fait la notion de fatigue après une longue étude d’un tel produit. D’aucun diront qu’en France, l’entreprenariat est une valeur sur le déclin, eh bien NON ! il reste encore des héros anonymes qui, au détriment, de leur vie, livre à la communauté ingrate, leurs savoirs insondables. Respect.
Jean-Raoul Tarba et Alcide Raibleau à Moucraine Sur Glaviouze
La dernière photo de J…. en position avant l’impact. On constate la technologie ébouriffante du casque qui devait changé le rugby moderne.
Nos consultants, Jean-Raoul Tarba et Alcide Raibleau rendent compte dans une tribune « au monde » d’une possibilité d’évolution colossale dans la protection des joueurs de rugby professionnels et amateurs. En effet, une startup française à procédé à des tests très concluants sur de nouveaux équipements ayant pour but de réduire considérablement la violence des chocs et, de ce fait, de faire baisser très sensiblement le nombre et la gravité des commotions cérébrales.
On le sait depuis longtemps, le physique et la masse musculaire sont en constante augmentation depuis plus de trente ans dans le rugby professionnel notamment. Les contacts et les chocs sont, par voie de conséquence, plus importants jusqu’à s’apparenter aux traumas constatés en accidentologie routière.
Prendre le problème à la racine.
C’est en pays Armoricain qu’un passionné de rugby, qui avoue n’avoir pratiquement jamais joué (à part une expérience malheureuse) et ne pas connaitre énormément ce jeu, a décidé d’orienter des recherches sur la protection de la boite crânienne. Son passé de cadre dirigeant et sa connaissance des entreprises et de tous les marchés existants ont certainement favorisé ce franchissement.
« Tout est parti d’une réflexion, d’une introspection profonde, suite à un accident du travail que j’ai subi. J’étais au cul de mes vaches (expression pittoresque locale du sous canton de Moucraine Sur Glaviouze), et quand j’m’es relevé, j’m’es cogné la tête contre la trayeuse . J’m’es dit immédiatement « c’est pas possible !! la vie de cs pauvres rugbymen, y doivent souffrir bien plus que moi »
C’est donc par altruisme de J... a donc travaillé au développement de sa société. Les rugbymen ont une dette éternelle envers ce « brave type »
Une structure composite ultra secrète
Nous comprenons aisément la discrétion dont fait preuve cet entrepreneur du 3ème millénaire pour nous parler de sa trouvaille. Avare de mots, il avoue quand même :
« C’est dans mon jardin que l’idée m’est venue ». Nous en restons là, il n’ira pas plus loin malgré nos suppliques.
Mais il se veut rassurant et nous promet une photo du prototype que lui-même va essayer dès le lendemain dans un laboratoire de la base navale de Brest où toute la technologie liée au développement des derniers sous-marins furtifs lanceur d’engins va être mise à l’épreuve pour la validation de l’échantillon initial.
J…. a la boule au ventre, il risque gros et il le sait, mais il se veut confiant.
« C’est moi-même qui va faire le test, si j’m’es trompé, tant pis. Comme on dit chez nous : Quand la girafe court dans la lande, c’est qu’il y avoir d’la merte sur le bigniou. (expression pour le moins imagée mais pleine de bon sens)
A la question « en quoi consiste le test », il est sans détour. « j’vais m’mettre en position de plaquage, comme ça (il mime et la ressemblance avec Antoine Dupont est frappante), pis on va me balancer dans la gueu…dans le casque une masse de 150kg lancée depuis la grue qui porte les sous-marin pour matérialiser un raffut de Tuisova. Impressionnant !!! L’histoire se créée devant nos yeux et nous en sommes les témoins
Le lendemain, joint par téléphone, il nous fait part de son retour de test.
- J…. comment s’est passé ce test et comment vous sentez vous ?
- Fa F’est paffé moyennement. F’ai bien réfifté mais là f’ai un peu fatigué. Fétait pas facile facile, f’ai un peu mal mais f’ais pas de féquelles. Bon j’vous laiffe, j’fais dormir un peu.
Héro anonyme
On comprend tout à fait la notion de fatigue après une longue étude d’un tel produit. D’aucun diront qu’en France, l’entreprenariat est une valeur sur le déclin, eh bien NON ! il reste encore des héros anonymes qui, au détriment, de leur vie, livre à la communauté ingrate, leurs savoirs insondables. Respect.
Jean-Raoul Tarba et Alcide Raibleau à Moucraine Sur Glaviouze
La dernière photo de J…. en position avant l’impact. On constate la technologie ébouriffante du casque qui devait changé le rugby moderne.
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