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UN TOP 16

Pour les arrêts maladie, les clubs ont une assurance en plus de la sécu ( AXA a beaucoup payé Carter). Pour le chômage partiel je ne pense pas que les clubs aient cette assurance.
 
Pour le président de l'ASM, un Top 16 ("sous la forme de poule unique") lui paraît "injouable".

« Un Top 15, c'est acceptable sur un an, a-t-il déclaré. Un Top 16 ? Cela me paraît injouable sous la forme de poule unique. Vis-à-vis des joueurs, jouer plus de matches encore n'est pas acceptable. Et puis, un Top 16 signifie 3 descentes la saison prochaine... »
 
@clement6628 , OK , pour l'ASM ....son club devra peut être , pourtant , tenir compte d'autres facteurs pour remplir son stade si les compétitions européennes devaient subir de grosses défaillances de clubs fragiles (GALLES/ECOSSE/ITALIE ) qui chambouleraient tout ça !
IL FAUDRA BIEN QUE LES EGOISMES DES PRETENDUS GROS SE CALMENT ...
 
Et puis en même temps, c'est pas le patron de l'ASM qui décide. C'est un ensemble de personnes qui vont décider quelle est la meilleure solution à prendre.
 
Coronavirus : Laporte s’opposera aux relégations
CORONAVIRUS - Les dernières réunions n’ont pas encore permis de réelles avancées. En marge, le président de la FFR, Bernard Laporte, va s’opposer à toutes relégations en Top 14 et Pro D2, dans l’hypothèse où tous les matchs ne pourraient pas se jouer.

Les travaux de la Ligue nationale de rugby, pour trouver une issue à cette crise créée par la pandémie de Covid-19, se poursuivent. Vendredi dernier, le troisième groupe, chargé de réfléchir sur les "dispositifs de régulation LNR", avait rendez-vous à 15 heures. Une réunion de deux heures et demie de laquelle aucune avancée significative n’est réellement sortie. "Nous sommes trop dépendants des décisions qui seront prises sur la suite ou non de la saison", juge un président de cette commission. "Comment voulez-vous que l’on travaille sur les outils de régulation tant que nous savons pas quelle sera l’issue de la saison ?" Une interrogation qui a forcément fait glisser les débats sur les différents scénarii qui sont étudiés par le groupe un. Selon plusieurs protagonistes, le président de Brive, Simon Gillham, a répété à plusieurs reprises son souhait de voir annuler purement et simplement la saison en cours, les deux représentants de l’Aviron bayonnais (Philippe Taieb et Pierre-Olivier Thoumieu) apportant leur soutien à cette proposition. En creux, ces dirigeants ont milité pour que la LNR leur assure qu’aucune relégation n’aura lieu, ce qui a passablement agacé le président Paul Goze.

Fin de contrats au 30 juin et matchs en juillet ?
à ce sujet, le président de la Fédération française, Bernard Laporte, avait clairement donné son avis en milieu de semaine dernière, lors du comité d’orientation stratégique réunissant les différentes institutions. Selon nos informations, il va se fendre d’un courrier en début de semaine en direction de l’ensemble des présidents des clubs professionnels pour confirmer son engagement. En creux, il s’opposera à toute relégation, si d’aventure l’intégralité des rencontres à disputer ne sont pas jouées. Cette position fédérale risque de venir contrarier la volonté affichée par le président, Paul Goze, de maintenir les montées et les descentes. Le président a également mis sur la table deux options pour la finale du Top 14 : le 26 juin ou le 18 juillet.

Ce changement de calendrier, justement, parlons-en. C’était au troisième groupe de travail de réfléchir à d’éventuels aménagements réglementaires. En premier lieu : la gestion des contrats de travail et la période des mutations. Un véritable casse-tête chinois. Sous le contrôle de Sandrine Jallet-Pillot, directrice juridique de la LNR, qui a longuement présenté le document de travail remis à chacun des participants, les débats ont été vifs. Et rien n’a été acté. Seuls quelques axes de travail ont été développés. En cas de reprise du championnat, la date butoir des contrats de travail des joueurs pourrait naturellement être modifiée. En effet, qu’adviendrait-il des joueurs en fin de contrat au 30 juin et dont les clubs seraient concernés par d’éventuels matchs au mois de juillet ? Une solution envisagée consisterait à prolonger, d’un accord commun entre chaque joueur et son club, le bail pour quelques jours ou semaines supplémentaires. "C’est à dire que nous allons devoir entrer en négociation avec quarante joueurs", souffle un président de club. Le chantier est titanesque. Et une analyse juridique sur les différentes possibilités est en cours.

La période des mutations pourrait également être modifiée. Pour rappel, celle-ci s’étend aujourd’hui du 1er mai 2020 au 30 juin 2020 pour les clubs de Pro D2 et Top 14. Les promus des deux divisions et les clubs relégués en Pro D2 ont, quant à eux, la possibilité de recruter jusqu’au 10 juillet. Que se passerait-il en cas de reprise du championnat avec une finale de Top 14 au 18 juillet ? Le sujet a été évoqué : une prolongation de la période des mutations, allant de dix à quinze jours après la finale, si elle a lieu, pourrait être envisagée.

Dernière problématique, est-ce que l’état va autoriser, d’ici la fin juin, les rassemblements de plus de mille personnes. Dans d’autres sports, comme la course hors stade, les réponses des préfectures sont négatives. Or, s’ils restent des défenseurs chez les présidents de Top 14 et Pro D2 à une reprise des championnats, ce n’est pas pour jouer devant un public limité !

Arnaud Beurdeley avec Pierre-Laurent Gou et Pablo Ordas
Sur le MidiOlympique en ligne :
 
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