Rugby : Thibauld Suchier se confie sur son départ à l'Usap et le déplacement à Aurillac
Le demi d'ouverture qui était blessé, signe son retour avec Béziers, dimanche, à Aurillac. L'occasion de revenir sur son départ futur à l'Usap et de faire le point sur ce match.
Vous allez quitter Béziers à la fin de la saison pour rejoindre Perpignan. Pourquoi avoir pris cette décision ?
Parce que j’ai trouvé une proposition et un projet plus intéressant à Perpignan.
Qu’est-ce que l’Usap a de plus que Béziers ?
Bien que le club redescende en Pro D2, il a fait signer à nouveau la plupart de ses joueurs. Il y a des signes qui me font penser qu’il y a peut-être un peu plus de stabilité à Perpignan. Une carrière de rugbyman est courte. Là-bas, ils m’offrent trois ans et j’en avais deux à Béziers.
Vous n’aviez pas de propositions de clubs du Top 14 ?
J’avais été approché, mais je n'ai pas eu de propositions concrètes sur papier.
Quel est l’objectif de l’Usap la saison prochaine, le Top 14 ?
Ils aimeraient bien, dans les années à venir, remonter et s’installer dans le Top 14. Ils estiment y être montés un an trop tôt. Ils avouent qu’ils n’avaient pas effectué le recrutement adéquat, qu’il leur a manqué des cadres. Ils m’ont dit, bien entendu, vouloir remonter immédiatement. Mais ils sont, aussi, prêts à attendre un an ou deux avant d’y accéder à nouveau. C’est ce que j’ai apprécié dans leur discours. Ils veulent essayer de faire les choses correctement. Même si cela doit prendre du temps.
En attendant, dimanche, vous allez à Aurillac avec Béziers. Que faudra-t-il faire pour prendre le dessus ?
En les prenant bien devant, je pense qu’il y aura, ensuite, la place pour mettre en place notre jeu. Si nous les perturbons physiquement, ce sera compliqué pour eux. C’est l’état d’esprit qui donnera le ton du match.
LAURENT FRANÇOIS
Le demi d'ouverture qui était blessé, signe son retour avec Béziers, dimanche, à Aurillac. L'occasion de revenir sur son départ futur à l'Usap et de faire le point sur ce match.
Vous allez quitter Béziers à la fin de la saison pour rejoindre Perpignan. Pourquoi avoir pris cette décision ?
Parce que j’ai trouvé une proposition et un projet plus intéressant à Perpignan.
Qu’est-ce que l’Usap a de plus que Béziers ?
Bien que le club redescende en Pro D2, il a fait signer à nouveau la plupart de ses joueurs. Il y a des signes qui me font penser qu’il y a peut-être un peu plus de stabilité à Perpignan. Une carrière de rugbyman est courte. Là-bas, ils m’offrent trois ans et j’en avais deux à Béziers.
Vous n’aviez pas de propositions de clubs du Top 14 ?
J’avais été approché, mais je n'ai pas eu de propositions concrètes sur papier.
Quel est l’objectif de l’Usap la saison prochaine, le Top 14 ?
Ils aimeraient bien, dans les années à venir, remonter et s’installer dans le Top 14. Ils estiment y être montés un an trop tôt. Ils avouent qu’ils n’avaient pas effectué le recrutement adéquat, qu’il leur a manqué des cadres. Ils m’ont dit, bien entendu, vouloir remonter immédiatement. Mais ils sont, aussi, prêts à attendre un an ou deux avant d’y accéder à nouveau. C’est ce que j’ai apprécié dans leur discours. Ils veulent essayer de faire les choses correctement. Même si cela doit prendre du temps.
En attendant, dimanche, vous allez à Aurillac avec Béziers. Que faudra-t-il faire pour prendre le dessus ?
En les prenant bien devant, je pense qu’il y aura, ensuite, la place pour mettre en place notre jeu. Si nous les perturbons physiquement, ce sera compliqué pour eux. C’est l’état d’esprit qui donnera le ton du match.
LAURENT FRANÇOIS
