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Scott robertson

En quoi il adule dagrenat ? C'est juste ****** ou tout simplement de mauvaise foi de dénoncer les mauvais recrutement en oubliant les tincu, fresh, rak, Hume, freshwater et Cie. De fait l'équipe du titre a été construite sous le mandat de dagrenat (sans oublier brunel).
Pour Herbert c était un top joueur qui arrive blessé, carter c'était le top joueur qui arrive blessé, mais un peu moins, 3 matchs et crac...
Après l influence de carter ça restera la part d indéfinissable mais bon qd, entre autre, t as une première ligne fresh tincu guirado mas tu peux qd même voyager avec ou sans influence
Peut-être que l'épicier a recruté l'équipe mais il n'aurait pas reçu le pied au cul ,jamais on n'aurait été champion . Lui et son acolyte Genis aurait essayait de manager avec Brunel et le caca aurait continué.
D'ailleur les débuts de Brunel n'était pas florissant jusqu'à l'opération Matemale. On connait la suite.

Je ne saurais pas dire l'influence de Carter sur l'équipe (certains disent qu'elle a été prépondérante). Mais je suis certain de l'influence de l'international NZ sur Jérôme Porical artisan majeur du titre au Stade France. La preuve : l'année suivante.
 
Donc tu n'as pas lu ce que j'ai marque. Tu compares les pur-sang des crustaders au cheveux de l'usap. J'ai bien dit que si on avait une équipe de haute niveau robertson aurait peut être plus de billes.. mais qui dit qu'avec une équipe de folie arlettaz aurait pas un pedigree. Me problème de arlettaz c'est qu'il est français. Et si il était neo zed ou australien on le baderait. Donc avec une équipe moyenasse comme la notre en top14 robertson ferait aussi bien ou guère mieux que arlettazson


J'aime bien Arlettaz mais honnêtement c'est être de mauvaise foi que de dire que ça ne changerait rien que ce soit Arlettaz ou Robertson.
Arlettaz est un très bon coach de D2 qui a remporté le championnat et qui a de super résultats dans ce championnat, mais qui en trois saisons de Top 14 a été relégué deux fois.
De l'autre côté, Robertson : assistant à Canterbury de 2008 à 2012 champions en 2008, 2009, 2010, 2011 et 2012, coach de Canterbury de 2013 à 2016 champions en 2013, 2015, 2016 (depuis Canterbuy c'est un titre - en 2017 - en quatre saisons), coach des Baby Blacks un an pour un titre de champion du monde en 2015 (ils n'avaient pas gagné depuis 2011 et n'ont gagné qu'un seul titre depuis en quatre éditions) et coach des Crusaders depuis 2017 avec des titres en 2017, 2018, 2019 et 2020 (ils n'avaient pas gagné depuis 9 ans).
Le mec est juste une machine à titres !

De toute façon, on parle du futur entraîneur des Blacks, le voir revenir ici, ça tient juste du fantasme.
 
Je signale au passage que Robertson n'a pas dit qu'il voulait entraîner toutes les équipes pour lesquelles il a joué mais "entraîner et gagner dans toutes les compétitions ou championnats auxquels il a participé". Ce qui signifie que s'il va entraîner à Toulon ou en Occitanie (par exemple), il aura réalisé une partie de son souhait.
 
Donc tu n'as pas lu ce que j'ai marque. Tu compares les pur-sang des crustaders au cheveux de l'usap. J'ai bien dit que si on avait une équipe de haute niveau robertson aurait peut être plus de billes.. mais qui dit qu'avec une équipe de folie arlettaz aurait pas un pedigree. Me problème de arlettaz c'est qu'il est français. Et si il était neo zed ou australien on le baderait. Donc avec une équipe moyenasse comme la notre en top14 robertson ferait aussi bien ou guère mieux que arlettazson
Et toi tu n'as pas lu mes parenthèses où justement je précise certains éléments. Les Crusaders, par exemple, n'avaient pas gagné le Super Rugby depuis neuf ans et depuis qu'il est là c'est trois succès d'affilée (quatre avec le Super Rugby NZ de cette année).
Bon je ne vais pas insister mais d'après moi je persiste à dire que le coach du meilleur "club" au monde annoncé pour prendre prochainement la tête de la meilleure sélection du monde apporterait une plus-value par rapport à Arlettaz.

De toute façon, on est en plein Rugby Manager. Robertson n'a aucun intérêt à venir ici et est inabordable pour un club comme nous. Surtout, il n'y a aucune raison de se séparer d'Arlettaz.
Et si demain, on a envie d'améliorer notre staff, ce n'est pas sur Arlettaz que je me pencherai en priorité...
 
Un petit interview du Razor ... (dans ActuRugby)



Actu : Avec le recul, quel bilan faites-vous de la saison des Crusaders dans le Super Rugby Aotearoa et le Super Rugby Trans-Tasman ?

Scott Robertson : Le Super Rugby Aotearoa a juste été aussi dur que l’an dernier. Jouer les équipes néo-zélandaises, les unes après les autres, chaque semaine, requière une profondeur d’équipe et du caractère dans la consistance du jeu. Nous avons gagné et perdu des matchs avec peu d’écart au score. Évidemment, on aurait pu gagner certaines rencontres, si on n’avait pas pris de carton jaune. Depuis cinq ans maintenant, j’ai une équipe solide à domicile. Concernant le Super Rugby Trans-Tasman, c’était une course aux points que nous n’avons pas été capables de remporter. Nous avons inscrit suffisamment de points au classement, mais pas suffisamment au niveau du score face aux différentes équipes que nous avons affrontées, pour l’emporter au goal-average. C’était spécial.

Vous avez remporté 5 titres en 5 ans avec les Crusaders. Comment expliquez-vous une telle performance ?

S.R : Cinq titres consécutifs, c’est vraiment extraordinaire parce que vous avez besoin d’une équipe entière tout le temps. Vous savez, nous avons eu des joueurs qui sont partis à la retraite et des changements dans le staff. Nous avons eu beaucoup d’épreuves sur et en dehors du terrain, Pour accomplir cela et être compétitif chaque année, nous avons des gars pour qui, devenir un All Black, est aussi important que de gagner le championnat. Pour nous, c’est incroyable. Pour gagner le championnat, nous avons une organisation globale et complète. C’est quelque chose dont nous sommes extrêmement fiers et c’est ce qui explique notre performance.

Ce qui est important, c'est la capacité à toujours refaire les petites choses à haut niveau et avec une grande constance.

Quelle est la clé de cette domination des Crusaders sur le terrain ?

S.R : Comme toute bonne équipe, vous devez évoluer et être meilleur dans plusieurs secteurs. En défense, sans le ballon, les gars sont vraiment solides, car nous sommes attentifs les uns aux autres. C’est le succès original de nos trois-quarts, que nous avons construit en 1998, 1999 et 2000. Nous avons une ligne arrière impressionnante et reconnaissante de notre pack. Nos trois-quarts nous créent énormément d’opportunités. Nous avons une ligne arrière vraiment puissante et technique, de Richie Mo’unga aux ailiers Seevu Reece et George Bridge en passant par Will Jordan, David Havili, Leicester Fainga'anuku ou Jack Goodhue, et vous pouvez ajouter des jeunes talentueux qui arrivent. Cela rend l'équipe incroyablement dure à composer, mais cette profondeur d'équipe est aussi l'une des raisons de notre consistance.

Reste-t-il encore des points d’amélioration chez les Crusaders ?

S.R : Les tendances et la stratégie de jeu sont toujours des éléments d’amélioration vraiment importants. Nous constatons que si nous ne sommes pas disciplinés, nous avons plus de difficulté. Ce qui est important, c'est la capacité à toujours refaire les petites choses à haut niveau et avec une grande constance. Notre force, c’est la capacité de gagner les moments clés, et c’est aussi un de nos points importants d’amélioration. On doit aussi continuer à travailler pour avoir une avance qui nous permette de rester au-dessus des autres.

Quel est votre regard sur les performances estivales des joueurs des Crusaders avec les All Blacks, lors des test-matchs et des rencontres de la Bledisloe Cup ?

S.R : Je suis vraiment fier des Crusaders qui jouent avec les All Blacks. Évidemment, Sam Whitelock est un commandant en chef exceptionnel. Il fait un travail fabuleux depuis que le sélectionneur Ia Foster lui a confié le rôle de capitaine. Je vois aussi le travail de Richie Mo’unga au sein de la ligne de trois-quarts. Mais tous les garçons qui ont eu cette opportunité l’ont saisie. Je pense notamment à George Bower, qui est l’un des principaux piliers de notre pays et qui a su élever son jeu au niveau mondial. Pour eux, gagner la Bledisloe Cup était vraiment important, nous verrons ce qui se passera ensuite.

En France, de nombreuses personnes disent que les Crusaders sont la meilleure équipe du monde. Qu’en pensez-vous ?

S.R : (Sourire) Eh bien, la seule solution pour trouver les meilleurs du monde, c’est de jouer contre une équipe européenne. C’est le meilleur moyen. Et j’aimerais vraiment affronter le Stade Toulousain. Nous portons ensemble les mêmes couleurs Rouge et Noir et nous avons des supporters passionnés. Et puis, ils ont un incroyable record de victoires en coupe d'Europe (5 titres, NDLR). Il faudrait vraiment disputer ce match et nous verrons bien ce qu'il se passe.

Voir tous les supporters catalans avec leurs barbecues, à manger des escargots sous la Tour Eiffel, c’était vraiment extra.

Alors que Perpignan est de retour en Top 14, quels souvenirs gardez-vous de votre passage à l'Usap en tant que joueur, entre 2003 et 2006 ?

S.R : C’était un moment particulier de ma vie pour moi et ma famille. Nous avons eu notre petit garçon Macklan-Gaultier. Il est Catalan, puisqu'il est né à Perpignan, juste avant de revenir en Nouvelle-Zélande. Cela a été des années extraordinaires. C'était un défi pour moi en tant que joueur, mais aussi en tant que personne. Perpignan était un lieu génial pour apprendre le français, se faire des amis incroyables et voyager en Europe. Mon meilleur souvenir de cette période reste probablement la finale que nous avons perdue. Ce jour-là, nous n’en n’avons pas fait assez, mais voir tous les Catalans avec leurs barbecues, à manger des escargots sous la Tour Eiffel, c’était vraiment extra. La plage de Canet-en-Roussillon me manque et de descendre en Espagne aussi. C’est différent que d’aller à Ashburton (Nouvelle-Zélande). Quand j’y repense, ces années m’ont aidé pour mon actuelle carrière de coach.
 
La presse et les forums néoZ réclament Razor à la tête des All Blacks. C'était déjà dans l'air du temps, mais depuis hier soir Ian Foster se fait vraiment incendier.
Il y a même une chanson (sur l'air de Mrs Robinson) qui a fait son apparition lol
 
Tiré du NZHerald (un site qui a l'air de piocher un peu partout à droite et à gauche), un passage d'un article de Christopher Rieve centré sur Dan Coles : "In the last two weeks, as well as their loss to South Africa earlier in the season, the All Blacks have struggled to match their opponents in physicality and paid for it – something that you cannot get away with in the test environment.
"I'm not going to lie, that one hurt," Coles said of Sunday's match. "Physicality is your number one mindset. If you don't have that, then you can't get yourself into the game.
"I think with the Irish and the South African boys, we were definitely not where we needed to be. But it just seemed like the speed of the game today – that first 20 they just broke us on the outsides – and I suppose the physicality around our defensive lineout stuff wasn't where it needed to be either. I definitely put it down to physicality in the first two tests, tonight was just... I can't get my head around it at the moment."
Un peu la tête au fond du seau, quand même. Et j'ai lu pas ma de commentaires sur le thème de "on n'a pas d'attaque, on ne sait que profiter, excessivement bien, des turn - over". D'où la forme de stupéfaction de se voir trouer en première intention et sur les extérieurs. Et pas qu'une fois hier soir.
 
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