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Rugby à XV - Top 14 : intégration catalane réussie pour Brad Shields et Ali Crossdale, les...

USAP

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Brad Shields et Ali Crossadle ont débarqué à l'USAP en pleine saison après la faillite de leur club anglais des Wasps. En quatre mois, ils se sont adaptés à leur nouvelle vie, au Top 14 et au rythme du quotidien...

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cazac

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En général c'est @cazac le bon samaritain non ?

Rugby à XV - Top 14 : intégration catalane réussie pour Brad Shields et Ali Crossdale, les Anglais de l'USAP
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    Brad Shields (à gauche) et Ali Crossdale (à droite), sont arrivés à l'automne à l'USAP. Depuis, ils ont trouvé leurs marques. L'INDEPENDANT - MICHEL CLEMENTZ
Top 14, USAP, Rugby à XV, Perpignan
Publié le 15/02/2023 à 17:40 , mis à jour à 17:43

Brad Shields et Ali Crossadle ont débarqué à l'USAP en pleine saison après la faillite de leur club anglais des Wasps. En quatre mois, ils se sont adaptés à leur nouvelle vie, au Top 14 et au rythme du quotidien perpignanais. Les deux se disent enchantés par leur expérience. Avant la réception capitale de Pau samedi, ils ont confié à L'Indépendant leurs sentiments sur cette nouvelle expérience où ils prônent la pensée positive, celle qui permettra le maintien de leur nouveau club en Top 14.

Brad, Ali, comment vous sentez-vous dans votre nouvelle vie, à l'USAP et à Perpignan ?

Brad Shields : La région est sympa, l'endroit est agréable. C'est certainement The place to be en France. Là où il faut vivre... et où il fait bon vivre. Côté rugby, à l'USAP, ces dernières semaines, les choses s'améliorent, positivement.

Ali Crossdale : J'aime beaucoup le lieu, le cadre de vie. On trouve chez vous tout ce dont on rêve, la mer, la montagne, le soleil. Amazing ! Incroyable ! Le Top 14 est un championnat où les équipes sont proches les unes des autres, ce qui rend la compétition excitante, passionnante. Et pour moi c'est un superbe challenge à relever. Apprendre une nouvelle langue, m'adapter à un nouveau style de jeu, de nouvelles mentalités. J'apprécie beaucoup l'expérience.



Brad Shields
Fiche d'identité : 31 ans. Né le 2 avril 1991 à Masterton en Nouvelle-Zélande.

Poste : 3e ligne.

Mensurations : 1,93m pour 111 kg.

Clubs successifs : Wellington (2010-12), Hurricanes (2013 - 2018), Wasps (2018 - 2022), USAP (depuis le 26 octobre 2022).

Parcours à l'USAP : 7 matches de Top 14, 1 de Challenge Cup.

Parcours international : 8 sélections avec l'équipe d'Angleterre. 2 essais marqués

Palmarès : vainqueur du Super Rugby avec les Hurricanes (2016)

Quel est votre avis sur l'USAP, le jeu qu'elle pratique et sa place en championnat ?

B. S. : L'équipe s'améliore au fil des matches. L'USAP est une équipe de cœur, avec beaucoup de passion autour. Il ne lui manque qu'une chose : de la consistance dans les résultats. Quand nous y parviendrons, nous jouerons mieux. C'est ce que l'on a pu constater à Brive, après la victoire sur Paris. Parce qu'en rugby, comme dans le sport en général, plus tu es confiant et mieux tu joues.

Vous découvrez le Top 14, quel est votre sentiment par rapport à la Premiership anglaise ?

A. C. : J'avais eu l'occasion d'affronter des clubs français en Coupe d'Europe. Et nous faisions le constat que le Top 14 était un championnat où l'on privilégiait le jeu. On affrontait de bons joueurs, avec de la qualité. J'ai l'impression c'est un championnat où tout le monde peut battre tout le monde. On voit souvent des résultats inattendus. La hiérarchie est plus souvent respectée en Premiership. La différence est moins marquée en Top 14, les équipes me semblent plus proches.

B. S. : La grosse influence des spectateurs est notable. Ici, le public pèse sur le jeu. Jamais je n'avais entendu des spectateurs taper tout le match sur leurs tambours ! Crazy ! C'est fou ! Toutes les équipes sont capables de performances. On sent beaucoup de passion.

A. C. : A Brive, nos supporters ont été incroyables. Ils nous ont donné parfois l'impression que nous jouions à domicile !

Ali Crossdale
Fiche d'identité : 25 ans. Né le 9 janvier 1998 à Halifax en Angleterre.

Poste : ailier ou arrière.

Mensurations : 1,84 m pour 86kg.

Clubs successifs : Sarracens (2017 - 21), Wasps (2021 - 22), USAP (depuis le 8 novembre 2022).

Parcours à l'USAP : 5 matches de Top 14, 2 de Challenge Cup. 1 essai marqué.

Dans la vie de tous les jours, comment se comportent les gens avec vous ? Ils vous approchent dans la rue ?

A. C. : Ça va, tout le monde est sympa avec nous !

B.S. : Quand on nous dit : "Bravo ! C'est bien !", on comprend et on répond. Mais si on nous disait : "Tu es nul ! C'était mauvais", alors là je ne comprendrais plus le français ! (les deux se marrent).





Le rugby du Top 14 est-il différent de ce que vous connaissiez auparavant ?

A. C. : J'aime le rugby ouvert tel qu'il se pratique ici. Je suis un arrière donc j'aime les initiatives, les prises de risque, la notion d'espace du jeu. Je pense que ce que nous appelons le "french flair", c'est cette capacité de jouer depuis n'importe quelle portion du terrain. Cette confiance qu'ont les attaquants pour pratiquer le french flair. J'ai été surpris du nombre d'essais inscrits depuis des relances des vingt-deux mètres. Ce sont des moments magiques.

B. S. : Il y a des nuances. Comme celles de jouer les mauls. En Nouvelle-Zélande(1), on cherche avant tout à jouer le ballon, pas à l'empêcher de vivre. Même s'il y a longtemps que je ne joue plus dans l'hémisphère Sud, je pense que le rugby est différent. Ce sont deux approches du jeu bien différentes. En Angleterre ou en France, le rugby est plus un combat, une lutte permanente. Et puis il y a une chose fondamentale pour la pratique, c'est le climat. Il est tellement plus agréable de jouer sur des terrains secs, avec du soleil... Ça change de la pluie, du froid et de la boue...

Vous comprenez mieux, depuis que vous êtes ici, la domination actuelle du XV de France ?

B. S. : Je constate que les internationaux français sont regroupés dans quelques clubs. Cela relève le niveau de ces équipes, où la concurrence est forte et oblige les joueurs à livrer de gros duels tout le temps. Ils sont contraints de jouer leur meilleur rugby, au plus haut niveau. Ça tire le XV de France vers le haut. Pour moi, l'avènement de Thibaud (Flament, avec qui Brad Shields a joué aux Wasps lors de la saison 2019 - 2020, NDLR) en est un parfait exemple. Quand je le vois jouer aujourd'hui, je n'en reviens pas des progrès qu'il a accomplis depuis qu'il a signé au Stade Toulousain.

A. C. : J'ai souvent joué contre les équipes de France de jeunes, U19, U20, et ils ont construit leur équipe nationale d'aujourd'hui sur leurs résultats avec les jeunes. Je jouais en équipe d'Angleterre des U20, lorsque les Français sont devenus champions du monde, en 2018. Ils sont très compétitifs. Et puis Toulouse, c'est vrai, reste un formidable modèle pour le rugby français.

Et le XV de la Rose ?

B. S. : Les Anglais doivent tout reconstruire. Steve Borthwick est un bon entraîneur, vraiment. Il était déjà là quand je jouais en équipe d'Angleterre(2). Ils avaient beaucoup de pression jusqu'ici. Ils en auront moins dans les mois à venir et ça peut permettre à Borthwick de mieux préparer la prochaine Coupe du monde.

A. C. : Ce sont ses premières semaines à la tête de l'équipe d'Angleterre, il faut lui laisser le temps. Il peut compter sur une génération d'attaquants incroyable. Il leur manque juste un peu de confiance. Lorsqu'ils l'auront retrouvée... Même si elle n'est que la sixième nation mondiale aujourd'hui, derrière l'Ecosse, l'Angleterre reste une grosse équipe, qui doit juste retrouver sa compétitivité. Si je pense toujours à porter le maillot de la Rose ? Tous les joueurs anglais rêvent de porter un jour ce maillot. Mais pour y parvenir, il faut se montrer performant. Je sais ce qu'il me reste à faire, donner le meilleur de moi-même.

Vous pensez que l'USAP se tirera d'affaire d'ici la fin de saison ?

B. S. : J'ai de gros espoirs sur le maintien de l'USAP. Si nous devenons plus consistants, plus réguliers, on y arrivera. Dans le groupe, tout le monde y croit. Avec la passion qui règne autour de ce club tout est possible...

A. C. : Il ne faut pas penser au pire, juste jouer pour obtenir le meilleur. "Think positive" comme on dit : penser positivement. Il faut que l'équipe continue à accumuler de la confiance. Ce qui lui a manqué à Clermont. Et rester disciplinés. On doit se persuader que nous serons toujours en Top 14 la saison prochaine. Et puis, regardez, le Stade Français était une grosse équipe. Et pourtant on les a battus !"

(1) Brad Shields a débuté à Wellington et joué sept saisons pour les Hurricanes (2012-18) équipe avec laquelle il a remporté le Super Rugby (2016)
(2) Steve Borthwick était l'entraîneur des avants dans le staff d'Eddie Jones lorsque Shields connu les joies de la sélection anglaise (8 sélections entre 2018 et 2019). Il a pris la succession de l'Australien à l'automne dernier.
Gilles Navarro
 

9catalan

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Rugby à XV - Top 14 : intégration catalane réussie pour Brad Shields et Ali Crossdale, les Anglais de l'USAP
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    Brad Shields (à gauche) et Ali Crossdale (à droite), sont arrivés à l'automne à l'USAP. Depuis, ils ont trouvé leurs marques. L'INDEPENDANT - MICHEL CLEMENTZ
Top 14, USAP, Rugby à XV, Perpignan
Publié le 15/02/2023 à 17:40 , mis à jour à 17:43

Brad Shields et Ali Crossadle ont débarqué à l'USAP en pleine saison après la faillite de leur club anglais des Wasps. En quatre mois, ils se sont adaptés à leur nouvelle vie, au Top 14 et au rythme du quotidien perpignanais. Les deux se disent enchantés par leur expérience. Avant la réception capitale de Pau samedi, ils ont confié à L'Indépendant leurs sentiments sur cette nouvelle expérience où ils prônent la pensée positive, celle qui permettra le maintien de leur nouveau club en Top 14.

Brad, Ali, comment vous sentez-vous dans votre nouvelle vie, à l'USAP et à Perpignan ?

Brad Shields : La région est sympa, l'endroit est agréable. C'est certainement The place to be en France. Là où il faut vivre... et où il fait bon vivre. Côté rugby, à l'USAP, ces dernières semaines, les choses s'améliorent, positivement.

Ali Crossdale : J'aime beaucoup le lieu, le cadre de vie. On trouve chez vous tout ce dont on rêve, la mer, la montagne, le soleil. Amazing ! Incroyable ! Le Top 14 est un championnat où les équipes sont proches les unes des autres, ce qui rend la compétition excitante, passionnante. Et pour moi c'est un superbe challenge à relever. Apprendre une nouvelle langue, m'adapter à un nouveau style de jeu, de nouvelles mentalités. J'apprécie beaucoup l'expérience.



Brad Shields
Fiche d'identité : 31 ans. Né le 2 avril 1991 à Masterton en Nouvelle-Zélande.

Poste : 3e ligne.

Mensurations : 1,93m pour 111 kg.

Clubs successifs : Wellington (2010-12), Hurricanes (2013 - 2018), Wasps (2018 - 2022), USAP (depuis le 26 octobre 2022).

Parcours à l'USAP : 7 matches de Top 14, 1 de Challenge Cup.

Parcours international : 8 sélections avec l'équipe d'Angleterre. 2 essais marqués

Palmarès : vainqueur du Super Rugby avec les Hurricanes (2016)

Quel est votre avis sur l'USAP, le jeu qu'elle pratique et sa place en championnat ?

B. S. : L'équipe s'améliore au fil des matches. L'USAP est une équipe de cœur, avec beaucoup de passion autour. Il ne lui manque qu'une chose : de la consistance dans les résultats. Quand nous y parviendrons, nous jouerons mieux. C'est ce que l'on a pu constater à Brive, après la victoire sur Paris. Parce qu'en rugby, comme dans le sport en général, plus tu es confiant et mieux tu joues.

Vous découvrez le Top 14, quel est votre sentiment par rapport à la Premiership anglaise ?

A. C. : J'avais eu l'occasion d'affronter des clubs français en Coupe d'Europe. Et nous faisions le constat que le Top 14 était un championnat où l'on privilégiait le jeu. On affrontait de bons joueurs, avec de la qualité. J'ai l'impression c'est un championnat où tout le monde peut battre tout le monde. On voit souvent des résultats inattendus. La hiérarchie est plus souvent respectée en Premiership. La différence est moins marquée en Top 14, les équipes me semblent plus proches.

B. S. : La grosse influence des spectateurs est notable. Ici, le public pèse sur le jeu. Jamais je n'avais entendu des spectateurs taper tout le match sur leurs tambours ! Crazy ! C'est fou ! Toutes les équipes sont capables de performances. On sent beaucoup de passion.

A. C. : A Brive, nos supporters ont été incroyables. Ils nous ont donné parfois l'impression que nous jouions à domicile !

Ali Crossdale
Fiche d'identité : 25 ans. Né le 9 janvier 1998 à Halifax en Angleterre.

Poste : ailier ou arrière.

Mensurations : 1,84 m pour 86kg.

Clubs successifs : Sarracens (2017 - 21), Wasps (2021 - 22), USAP (depuis le 8 novembre 2022).

Parcours à l'USAP : 5 matches de Top 14, 2 de Challenge Cup. 1 essai marqué.

Dans la vie de tous les jours, comment se comportent les gens avec vous ? Ils vous approchent dans la rue ?

A. C. : Ça va, tout le monde est sympa avec nous !

B.S. : Quand on nous dit : "Bravo ! C'est bien !", on comprend et on répond. Mais si on nous disait : "Tu es nul ! C'était mauvais", alors là je ne comprendrais plus le français ! (les deux se marrent).





Le rugby du Top 14 est-il différent de ce que vous connaissiez auparavant ?

A. C. : J'aime le rugby ouvert tel qu'il se pratique ici. Je suis un arrière donc j'aime les initiatives, les prises de risque, la notion d'espace du jeu. Je pense que ce que nous appelons le "french flair", c'est cette capacité de jouer depuis n'importe quelle portion du terrain. Cette confiance qu'ont les attaquants pour pratiquer le french flair. J'ai été surpris du nombre d'essais inscrits depuis des relances des vingt-deux mètres. Ce sont des moments magiques.

B. S. : Il y a des nuances. Comme celles de jouer les mauls. En Nouvelle-Zélande(1), on cherche avant tout à jouer le ballon, pas à l'empêcher de vivre. Même s'il y a longtemps que je ne joue plus dans l'hémisphère Sud, je pense que le rugby est différent. Ce sont deux approches du jeu bien différentes. En Angleterre ou en France, le rugby est plus un combat, une lutte permanente. Et puis il y a une chose fondamentale pour la pratique, c'est le climat. Il est tellement plus agréable de jouer sur des terrains secs, avec du soleil... Ça change de la pluie, du froid et de la boue...

Vous comprenez mieux, depuis que vous êtes ici, la domination actuelle du XV de France ?

B. S. : Je constate que les internationaux français sont regroupés dans quelques clubs. Cela relève le niveau de ces équipes, où la concurrence est forte et oblige les joueurs à livrer de gros duels tout le temps. Ils sont contraints de jouer leur meilleur rugby, au plus haut niveau. Ça tire le XV de France vers le haut. Pour moi, l'avènement de Thibaud (Flament, avec qui Brad Shields a joué aux Wasps lors de la saison 2019 - 2020, NDLR) en est un parfait exemple. Quand je le vois jouer aujourd'hui, je n'en reviens pas des progrès qu'il a accomplis depuis qu'il a signé au Stade Toulousain.

A. C. : J'ai souvent joué contre les équipes de France de jeunes, U19, U20, et ils ont construit leur équipe nationale d'aujourd'hui sur leurs résultats avec les jeunes. Je jouais en équipe d'Angleterre des U20, lorsque les Français sont devenus champions du monde, en 2018. Ils sont très compétitifs. Et puis Toulouse, c'est vrai, reste un formidable modèle pour le rugby français.

Et le XV de la Rose ?

B. S. : Les Anglais doivent tout reconstruire. Steve Borthwick est un bon entraîneur, vraiment. Il était déjà là quand je jouais en équipe d'Angleterre(2). Ils avaient beaucoup de pression jusqu'ici. Ils en auront moins dans les mois à venir et ça peut permettre à Borthwick de mieux préparer la prochaine Coupe du monde.

A. C. : Ce sont ses premières semaines à la tête de l'équipe d'Angleterre, il faut lui laisser le temps. Il peut compter sur une génération d'attaquants incroyable. Il leur manque juste un peu de confiance. Lorsqu'ils l'auront retrouvée... Même si elle n'est que la sixième nation mondiale aujourd'hui, derrière l'Ecosse, l'Angleterre reste une grosse équipe, qui doit juste retrouver sa compétitivité. Si je pense toujours à porter le maillot de la Rose ? Tous les joueurs anglais rêvent de porter un jour ce maillot. Mais pour y parvenir, il faut se montrer performant. Je sais ce qu'il me reste à faire, donner le meilleur de moi-même.

Vous pensez que l'USAP se tirera d'affaire d'ici la fin de saison ?

B. S. : J'ai de gros espoirs sur le maintien de l'USAP. Si nous devenons plus consistants, plus réguliers, on y arrivera. Dans le groupe, tout le monde y croit. Avec la passion qui règne autour de ce club tout est possible...

A. C. : Il ne faut pas penser au pire, juste jouer pour obtenir le meilleur. "Think positive" comme on dit : penser positivement. Il faut que l'équipe continue à accumuler de la confiance. Ce qui lui a manqué à Clermont. Et rester disciplinés. On doit se persuader que nous serons toujours en Top 14 la saison prochaine. Et puis, regardez, le Stade Français était une grosse équipe. Et pourtant on les a battus !"

(1) Brad Shields a débuté à Wellington et joué sept saisons pour les Hurricanes (2012-18) équipe avec laquelle il a remporté le Super Rugby (2016)
(2) Steve Borthwick était l'entraîneur des avants dans le staff d'Eddie Jones lorsque Shields connu les joies de la sélection anglaise (8 sélections entre 2018 et 2019). Il a pris la succession de l'Australien à l'automne dernier.
Gilles Navarro
Merci beaucoup !
 

jeanpeux+

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Ils ont dit qu il faisait beau et qu il y a la mer, ça sent la préretraite comme landajo
 
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