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Recrutement raté?

ce staff est le meilleur qu'il soit
Pas sûr...mais bon le problème de fond n'est pas là
le recrutement est toujours le bon, aucune d'erreur
Rares sont les clubs ou tous les joueurs recrutés donnent satisfaction...
la question se pose de savoir tout de même si à coût identique on ne pouvait mieux faire.
La réponse est non !
le standing de cette entreprise qui ne joue plus les 1er rôles est dans la normalité
Aujourd'hui, oui....en attendant des jours meilleurs...

Le principal problème est aujourd'hui d'ordre financier....
 
Pour ceux qui en doutent encore, encore un exemple de l'importance du financier ...

Pro D2 : le Biarritz Olympique vit-il ses derniers jours ?

Confrontés à des pertes financières récurrentes, les dirigeants du Biarritz Olympique, qui évolue en Pro D2 depuis six ans, menacent de liquider leur club début mars s’ils n’obtiennent pas l’autorisation de moderniser le stade Aguiléra.

Il faut sauver le soldat BO et à un mois des élections municipales (15 et 22 mars), tous les moyens sont bons. Alors que le club basque, bastion historique du rugby français actuellement 6e de Pro D2, où il évolue avec le FC Grenoble et Valence-Romans, accomplit l’une de ses meilleures saisons depuis sa rétrogradation en 2014, ses coulisses sont bien moins reluisantes, notamment ses finances.

Au-delà des querelles suscitées par la personnalité de ses nouveaux dirigeants, l’actionnaire majoritaire Louis-Vincent Gave et son bras droit Jean-Baptiste Aldigé qui ont repris le club déjà aux abois économiquement lors de l’été 2018, c’est sa survie qui est désormais en jeu.

Tout pourrait même s’accélérer lors de l’assemblée générale extraordinaire prévue le 3 mars, pour laquelle la cinquantaine d’actionnaires de la structure +pro+ a été convoquée par le biais d’un courrier que s’est procuré l’AFP et qui «préconise à l’assemblée de décider la dissolution de la société».

M. Gave ne semble plus disposé à éponger les dettes

Comment en est-on arrivé là ? En prenant le contrôle du club, Louis-Vincent Gave, patron français d’une société financière immatriculée à Hong Kong, Gavekal (gestion de plus de 3 milliards de portefeuilles d’actions), avait injecté 3 millions d’euros pour boucher les pertes.

A l’origine de ce trou, le départ de la société partenaire Cap Gemini (1,5 million d’euros/an) qui n’a pas été compensé et puis la billetterie, qui s’est effondrée cette saison, avec une fréquentation moyenne inférieure à 4.000 spectateurs.

Obligée de réduire la voilure, la nouvelle équipe dirigeante a tenté de rééquilibrer un budget pourtant ramené autour des 8,5 millions d’euros. En vain. Résultat, l’été dernier, il manquait à nouveau 2,9 millions d’euros dans les caisses du BO. Si «la situation financière a été assumée par l’actionnaire majoritaire», écrit Aldigé dans la convocation, la perte a «amené le montant des capitaux propres à un montant inférieur à celui de la moitié du capital social».

Conformément à la réglementation commerciale, ce constat impose la tenue d’une AG extraordinaire avec pour objet d’envisager la dissolution. «C’est du droit pur, mais dans 99 % des cas, les actionnaires votent la poursuite de l’activité, sachant qu’ils ont deux ans pour rétablir les comptes», confie à l’AFP un connaisseur du dossier.
Sauf qu’après avoir déjà investi 6 millions, M. Gave ne semble plus disposé à éponger les dettes, d’autant qu’elles devraient être du même ordre en fin de saison.

En cas de dissolution, la DNACG pourrait décider d’exclure le BO des derniers matchs de Pro D2

Mais l’équipe dirigeante a peut-être trouvé la parade en dévoilant il y a un an un projet d’aménagement immobilier clé en mains de 42 millions d’euros du stade Aguilera et ses alentours (10,9 hectares) pour trouver de nouvelles ressources financières.

Problème: les 9 hectares hors stade n’appartiennent pas au BO mais à la ville (qui a par ailleurs versé plus de 800.000 euros au BO en 2019), dans une commune où le foncier vaut de l’or. D’autre part, une procédure administrative, en cours, est nécessaire pour rendre l’espace constructible.

L’ensemble demande du temps, que les dirigeants biarrots n’ont plus. D’où ce bras de fer qui s’est engagé avec la mairie en place, qui culmine avec la menace de dissolution. Le maire MoDem Michel Veunac, candidat à sa réélection, a réuni récemment les élus à huis clos pour leur présenter une option de sortie de crise. «Cette solution ménage les intérêts de la ville et permet d’éviter un naufrage au Biarritz Olympique», assure-t-il à l’AFP sans en dire davantage, confirmant juste qu’elle fera l’objet d’un vote lors de l’ultime conseil municipal de son mandat mercredi.

Satisfera-t-elle les dirigeants du BO ? Joints par l’AFP, Louis-Vincent Gave et Jean-Baptiste Aldigé, qui travaillent en parallèle au recrutement de nouveaux joueurs pour la saison prochaine, n’ont pas donné suite.

En cas de dissolution le 3 mars, la DNACG pourrait décider d’exclure le BO des derniers matchs de Pro D2. L’association rugby amateur, qui détient le numéro d’affiliation à la FFR, continuerait d’exister, mais l’équipe senior repartirait au niveau amateur.
 
Des jugements sur Lanta et son recrutement sont quotidiens ça devient lassant . Vous oubliez une chose ,c' est la primordiale : le montant de son budget recrutement ? Dire qu' il pouvait mieux faire que de prolonger les joueurs qu'il connaissait bien , surtout sur leurs points faibles .

C' est facile pour certains , mais comment faites-vous pour être aussi affirmatifs ? Vous connaissez le trésorier, sa secrétaire ,ou la fille du concierge ? Vous auriez pris qui et à quel prix ?
 
Ils vont s'en sortir, c'est juste un coup de pression de la part des dirigeants. Si des joueurs ont signé, c'est qu'ils doivent avoir des assurances que le club va continuer la saison prochaine.
 
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