Quentin Walcker (USAP) : "Ce club m’a sauvé la vie" - Lindependant.fr

[Articles de presse]

À 25 ans, le pilier gauche de l’USAP quitte Aimé-Giral par la grande porte et avec un sacre de champion de France de ProD2 en bandoulière. Une "remontada" que ce pur produit de la formation catalane savoure à sa juste...

Lire la suite ...

 

[Blutch]

Ce titre me fait bondir. Quand on fait ce type d’éloges, ce serait bien que derrière les actes suivent, une petite prolongation aurait été un juste retour des choses.

 

[Aljavar]

Pareil, pas lu l'article mais le club te forme et te "sauve la vie", donne lui au moins une année bien complète bordel, même si je l'aimé beaucoup, c'est vraiment indécent #lesValeurs

 

[matchico]

À 25 ans, le pilier gauche de l’USAP quitte Aimé-Giral par la grande porte et avec un sacre de champion de France de ProD2 en bandoulière. Une "remontada" que ce pur produit de la formation catalane savoure à sa juste...

Lire la suite ...

il a pas honte de dire le club ma sauvé la vie moi si on me sauve la vie je suis redevable lui a la 1 ère sollicitation aller hop merci aurevoir. vraiment honteux quel manque de respect Enver le club et les supporters.

 

[gynojeje]

C’est clair que j’ai tendance à défendre Quentin mais là le club me sauve la vie , la suite logique je me sens redevable et je l’abandonne pas au moment de sa remontée
C’est maladroit de la part du joueur assez antinomique avec son départ
Dommage on fait trop parler les joueur ce qui augmente statistiquement leur chance d’être maladroit

 

[koenig]

Faudrait avoir le contenu de l'article plutôt que de juger un titre ( de *****).

 

[cazac]

• Quentin Walcker (USAP) : "Ce club m’a sauvé la vie"

• • 
    
    Quentin Walcker peut exulter après l’essai de Volavola. Photo Olivier Got
  Rugby à XV, USAP, Top 14, Perpignan
  Publié le 07/06/2021 à 11:42 , mis à jour à 11:43
  
  
  À 25 ans, le pilier gauche de l’USAP quitte Aimé-Giral par la grande porte et avec un sacre de champion de France de ProD2 en bandoulière. Une "remontada" que ce pur produit de la formation catalane savoure à sa juste mesure avant de rejoindre Castres.
  
  Pour sa "der" sous les couleurs de l’USAP, le futur Castrais Quentin Walcker a réalisé une sortie à l’image de son engagement et de son amour pour son club, total. À 25 ans, le pilier gauche de l’USAP quitte Aimé-Giral par la grande porte. Samedi, les joueurs sont restés deux longues heures dans leurs vestiaires de Montpellier à partager le moment, les joies et les émotions, avant de rallier la Cathédrale pour une fête.
  
  
  Que d’émotions avant, pendant et après cette rencontre…
  
  Émotionnellement, c’était très chargé. C’est le club où j’ai grandi, c’est le club où j’ai failli arrêter le rugby, c’est le club où j’ai repris le rugby et c’est clairement le club qui m’a sauvé la vie. Ce soir (samedi), il y a beaucoup de sentiments qui se mélangent en tant qu’homme. Je n’ai pas joué à l’USAP avec des amis ou des copains, mais des frères. Ce sont des personnes qui m’ont toujours soutenu dans des moments compliqués par rapport à mes nombreuses blessures. C’est la concrétisation de tout ce que j’ai pu faire grâce à ces mecs et c’est génial de vivre ça.
  
  L’USAP a donné l’impression d’être intouchable samedi. C’est aussi votre avis ?
  
  C’est vrai. Nous étions portés par tout un peuple qui est resté à Perpignan et qui a poussé derrière nous. Nous en avions tous conscience. Nous l’avons dit et répété avec cette finale et c’était dans les têtes de tout le monde. Et puis, chacun a fait son travail, plus celui du copain et c’est ce qui a fait la différence. On sait qu’une équipe soudée vaut mieux que toutes les individualités.
  
  Le scénario de quitter l’USAP et de la laisser en Pro D2 vous faisait-il peur ?
  
  Non. Jamais de la vie je ne pouvais imaginer quitter ce club en le laissant en Pro D2. J’ai toujours dit à tout le monde, que la seule issue était la remontée en Top 14 pour moi. Croyez-moi ou pas, mais à aucun moment je n’ai imaginé perdre cette finale. Dans ma tête c’était écrit et je ne voyais pas ce groupe échouer avec tous les efforts, les sacrifices et l’énorme travail réalisé depuis deux ans.
  
  Ne vous êtes-vous pas mis trop de pression aussi avant cette finale ?
  
  Non, je ne me suis pas mis de pression négative en me disant c’est un match de rugby comme les autres. Je n’ai pas pensé à l’enjeu, mais à bien jouer pour mes copains et ça a fonctionné. J’ai aussi beaucoup pensé à ma famille qui a été très proche pendant tous ces moments compliqués. Je devais aussi le faire pour eux. Ce sont les premiers au front quand il y a des galères et ce sont les premiers quand il y a des bonheurs. Je ne voyais pas d’autres issues de toute façon.
  
  Quelle est la suite pour vous ?
  
  On va d’abord fêter cette montée avec les copains et après, on pensera aux vacances.
  
  Onteniente Bruno

 

[Albera]

Très maladroit.Pour rester poli...