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Cinq premières lignes de 21 ans ou moins sont susceptibles de jouer dimanche contre l'USC. Vilacéca fait les présentations.
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cazac
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Cinq premières lignes de 21 ans ou moins sont susceptibles de jouer dimanche contre l'USC. Vilacéca fait les présentations.
Ils s’appellent Fakatika, Jintcharadze, Lotrian, Taofifenua et Velarte. Entre autres points communs, ils sont jeunes, jouent en première ligne, à l’USAP bien sûr, et le staff compte sur eux très vite, peut-être même dès dimanche à Carcassonne (14 h) pour remédier à l’épidémie de blessures qui touche l’effectif catalan. « Sur ces postes, il faut un peu d’expérience, on arrive souvent à son meilleur niveau un peu plus tard que les autres, estime l’ancien seconde ligne Guillaume Vilacéca. Mais il y a aussi l’insouciance de la jeunesse et ils ont le niveau, il ne faut pas attendre. Le talent n’a pas d’âge. »
En binôme avec l’ancien centre David Marty, il coache le dernier étage de la formation catalane, la catégorie Espoirs (18-22 ans). Qui de mieux placé pour faire de - bienveillantes - présentations ? « Ça fait longtemps que l’USAP n’avait pas eu autant de joueurs en devenir sur ces postes-là », savoure le champion de France 2009. Des moyens de recrutement limités, des résultats probants dans la catégorie Espoirs : lancer ces jeunes, vrai pari ou simple contrainte ? Réponse dans les mois à venir.
Fakatika Avec 1,80 m et 118 kg, Akato Fakatika a de beaux atouts. « Très costaud, souffle Vilacéca. C’est un jeune pilier en devenir, il n’a que 19 ans. Pas plus tard que l’année dernière, il alternait avec un CAP chaudronnerie. C’est un diamant brut, il faut finir de le polir. »
Cela passera par ses premières minutes en pro, peut-être dès dimanche puisque la blessure de Siua Halanukonuka (cheville, six semaines minimum) a ouvert une porte à droite de la première ligne. Jintcharadze Pas besoin de parler français ou anglais lorsqu’on est taillé comme Vakhtang Jintcharadze (1,87 m, 116 kg). « Ça a été la bonne surprise. On l’a recruté la saison dernière et de suite il a montré ses qualités sur la mêlée et le déplacement. » Le pilier droit géorgien, arrivé à l’été 2019 en Catalogne, compte quatre feuilles de matches avec l’USAP. Âgé de 20 ans, son potentiel ne fait guère de doute et il devrait avoir l’occasion de grandir au gré des minutes qu’il grappille.
Lotrian Déjà sept matches avec l’équipe première pour Sacha Lotrian. Au poste de pilier gauche, le natif de Pézilla est le remplaçant désigné de Quentin Walcker. Format mobile (1,80 m, 106 kg) au caractère bien trempé, l’international moins de 20 ans ne déçoit pas lorsqu’il rentre. À cet âge (20 ans) et à ce poste, c’est déjà beaucoup. « Il est formaté pour réussir. Depuis tout jeune, c’est un très gros travailleur. Il n’y a pas de raison que ça se passe mal pour lui. » Taofifenua « C’est peut-être le plus sérieux des frères ! », se marre Guillaume Vilacéca.
Taofifenua, un nom qui parle, surtout à l’USAP. Killian, petit frère du deuxième ligne Romain et du pilier Sébastien, pourrait disputer ses premières minutes chez les professionnels ce week-end. Profitant des absences de Géli et Lam, le solide talonneur (1,78 m, 103 kg) pourrait donner un aperçu de ses qualités à tout juste 20 ans. « Ses frères lui ont montré la voie et il fait tout pour les suivre. » Velarte Avec le départ de Raphaël Carbou à l’intersaison, Lucas Velarte a gagné un cran et débute cette saison comme numéro 3 au talonnage. Les aléas des blessures pourraient lui offrir dimanche la première titularisation de sa jeune carrière, lui qui compte déjà huit feuilles de match. À 21 ans, Velarte (1,85 m, 108 kg) est de la génération d’Alban Roussel et Lucas Dubois. « Il a pris de la maturité, salue Vilacéca. Il a compris au fur et à mesure ce que le haut niveau réclamait comme exigence. »
Ils s’appellent Fakatika, Jintcharadze, Lotrian, Taofifenua et Velarte. Entre autres points communs, ils sont jeunes, jouent en première ligne, à l’USAP bien sûr, et le staff compte sur eux très vite, peut-être même dès dimanche à Carcassonne (14 h) pour remédier à l’épidémie de blessures qui touche l’effectif catalan. « Sur ces postes, il faut un peu d’expérience, on arrive souvent à son meilleur niveau un peu plus tard que les autres, estime l’ancien seconde ligne Guillaume Vilacéca. Mais il y a aussi l’insouciance de la jeunesse et ils ont le niveau, il ne faut pas attendre. Le talent n’a pas d’âge. »
En binôme avec l’ancien centre David Marty, il coache le dernier étage de la formation catalane, la catégorie Espoirs (18-22 ans). Qui de mieux placé pour faire de - bienveillantes - présentations ? « Ça fait longtemps que l’USAP n’avait pas eu autant de joueurs en devenir sur ces postes-là », savoure le champion de France 2009. Des moyens de recrutement limités, des résultats probants dans la catégorie Espoirs : lancer ces jeunes, vrai pari ou simple contrainte ? Réponse dans les mois à venir.
Fakatika Avec 1,80 m et 118 kg, Akato Fakatika a de beaux atouts. « Très costaud, souffle Vilacéca. C’est un jeune pilier en devenir, il n’a que 19 ans. Pas plus tard que l’année dernière, il alternait avec un CAP chaudronnerie. C’est un diamant brut, il faut finir de le polir. »
Cela passera par ses premières minutes en pro, peut-être dès dimanche puisque la blessure de Siua Halanukonuka (cheville, six semaines minimum) a ouvert une porte à droite de la première ligne. Jintcharadze Pas besoin de parler français ou anglais lorsqu’on est taillé comme Vakhtang Jintcharadze (1,87 m, 116 kg). « Ça a été la bonne surprise. On l’a recruté la saison dernière et de suite il a montré ses qualités sur la mêlée et le déplacement. » Le pilier droit géorgien, arrivé à l’été 2019 en Catalogne, compte quatre feuilles de matches avec l’USAP. Âgé de 20 ans, son potentiel ne fait guère de doute et il devrait avoir l’occasion de grandir au gré des minutes qu’il grappille.
Lotrian Déjà sept matches avec l’équipe première pour Sacha Lotrian. Au poste de pilier gauche, le natif de Pézilla est le remplaçant désigné de Quentin Walcker. Format mobile (1,80 m, 106 kg) au caractère bien trempé, l’international moins de 20 ans ne déçoit pas lorsqu’il rentre. À cet âge (20 ans) et à ce poste, c’est déjà beaucoup. « Il est formaté pour réussir. Depuis tout jeune, c’est un très gros travailleur. Il n’y a pas de raison que ça se passe mal pour lui. » Taofifenua « C’est peut-être le plus sérieux des frères ! », se marre Guillaume Vilacéca.
Taofifenua, un nom qui parle, surtout à l’USAP. Killian, petit frère du deuxième ligne Romain et du pilier Sébastien, pourrait disputer ses premières minutes chez les professionnels ce week-end. Profitant des absences de Géli et Lam, le solide talonneur (1,78 m, 103 kg) pourrait donner un aperçu de ses qualités à tout juste 20 ans. « Ses frères lui ont montré la voie et il fait tout pour les suivre. » Velarte Avec le départ de Raphaël Carbou à l’intersaison, Lucas Velarte a gagné un cran et débute cette saison comme numéro 3 au talonnage. Les aléas des blessures pourraient lui offrir dimanche la première titularisation de sa jeune carrière, lui qui compte déjà huit feuilles de match. À 21 ans, Velarte (1,85 m, 108 kg) est de la génération d’Alban Roussel et Lucas Dubois. « Il a pris de la maturité, salue Vilacéca. Il a compris au fur et à mesure ce que le haut niveau réclamait comme exigence. »
Assez jeune lui aussi, et puis quelques années noires et des délicatesses avec son cou
