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Les Catalans, qui avaient promis la guerre aux Columérins, n’ont tenu qu’une mi-temps, avant de plier devant le dynamisme de l’USCO (32-20). La qualification en prend un sacré coup. Et le moral aussi, sans doute. Soirée sans scoop, hier vendredi au stade Michel-Bendichou: il continue de faire froid en hiver et l’USAP ne... Lire la suite

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Les Catalans, qui avaient promis la guerre aux Columérins, n’ont tenu qu’une mi-temps, avant de plier devant le dynamisme de l’USCO (32-20). La qualification en prend un sacré coup. Et le moral aussi, sans doute.

Soirée sans scoop, hier vendredi au stade Michel-Bendichou: il continue de faire froid en hiver et l’USAP ne gagne toujours pas à l’extérieur. À part ça, Colomiers et Perpignan se sont longtemps rendus coup pour coup, lors d’une course-poursuite d’une heure, témoin d’un bras de fer somme toute un poil décevant. Les Catalans s’étaient clairement mis la pression lors de l’avant-match, à coup de déclarations guerrières et péremptoires. Mieux valait ne pas se manquer après ça, histoire de garder la tête haute et les couilles bien accrochées, puisque ce match était soi-disant une question d’hormones.


Tout avait très mal commencé pour les Catalans, surpris dès l’entame de match par un maul de trente mètres dans l’axe, qui s’acheva par un essai comme dans du beurre de Inigo (4). Mais pas de panique. L’USAP s’en remit assez vite, pour rendre la pareille au quart d’heure de jeu, sur une action quasi-identique: un maul suivi d’un pilonnage sur la ligne, ponctué d’un essai de Ecochard (16). L’USAP restait dans son match, assumant ses propos et ses ambitions, face à une défense columérine parfaitement organisée. Malgré une animosité réelle entre les deux équipes et quelques chamailleries au sol, chacun restait dans les clous, en dépit des deux cartons jaunes infligés à Ramos d’un côté (33) et Bachelier de l’autre (38). L’USCO accueillait cette double sanction -la biscotte et un essai de pénalité- avec une certaine inquiétude, puisque l’USAP prenait le score pour la première fois de la partie (17-16, 33e).


Privés de ballons


Jusque-là, l’USAP n’avait pas déçu, dans le sillage de Mamea Lemalu une nouvelle fois impeccable dans son rôle de perforateur. Mais Colomiers, doté d’un collectif impressionnant de solidité, ne s’est pas laissé endormir. Et pour avoir repris la deuxième mi-temps plein gaz, les banlieusards toulousains reprirent logiquement la main pour ne plus la lâcher. Il apparut très vite que ce second acte n’échapperait pas aux locaux, plus déterminés et, surtout, plus dynamiques dans leur intention. Comme souvent, l’USAP se fit surprendre d’entrée, toujours sur une histoire de maul, qui lui coûta le deuxième essai de Beco (44e). À partir de là, les sang et or passèrent leur temps à défendre, privés de ballons et, pour tout dire, de la moindre occasion.


Cette impression de déjà-vu n’accoucha pas d’une démission, et c’est ce qui importait sur l’état d’esprit, sachant que le buteur columérin Thomas Ramos ne laissa à personne le soin de creuser l’écart (17 points). Ainsi donc faut-il prendre l’entraîneur usapiste Patrick Arlettaz au pied de la lettre: l’USAP a fait son match mais Colomiers était bel et bien le plus fort des deux. Et largement.



De quoi revenir au point de départ: Perpignan revient chou blanc d’un déplacement et reste scotché dans le bas du tableau. La qualification s’éloigne (s’est-elle un jour rapprochée?) et reporte toujours à demain les espoirs d’une équipe qui a éprouvé hier ses limites face au demi-finaliste en titre. Dans son malheur, l’USAP a aussi perdu Bachelier sur blessure et Acebes sur KO. La loi du ring avait frappé.
 
Il n'y a aucune honte à tomber sur plus fort ( plus malin ) que sois , l'était-il ?
 
Dernière édition:
Il n'y a aucune honte à tomber pour plus fort ( plus malin ) que sois , l'était-il ?
Ca fait quelque temps qu'il nous la mette quand même pour n'avoir aucune interrogation à leur sujet.Et puis bon,y'a Goutta en face.
 
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