Pa Amb Oli
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Est-ce qu'ils retourneront à la civilisation un jour ?? :391581::391581:
Il ne fait pas bon transgresser les règles en Corée du Nord, Kim Chol l'a appris à ses dépens. Ce responsable militaire a été condamné à mort et exécuté il y a plusieurs mois pour avoir bu et fait la fête pendant la période de deuil de Kim Jong-il, a rapporté mercredi le Daily Telegraph citant un média sud-coréen.
D'après ce dernier, la mise à mort a été particulièrement sordide: l'homme a été placé seul dans un lieu défriché avant qu'un obus de mortier ne vienne littéralement l'«effacer». Les ordres de cette condamnation à mort sont venus directement du nouveau leader nord-coréen, Kim Jong-un qui ne voulait «plus aucune trace de lui».
Quatorze exécutions en moins d'un an
Cette exécution n'est qu'un exemple parmi d'autres de la purge qui a suivi la prise de pouvoir du jeune dictateur après la mort de son père il y a bientôt un an. Au total, ce sont quatorze hauts responsables, dont le chef des armées et le gouverneur de la banque centrale, dont le régime se serait sommairement débarrassé selon un membre du Comité sud-coréen des Affaires étrangères, du commerce et de l'unification, cité par le Daily Telegraph.
Les experts de la région estiment que cette purge serait une manière pour Kim Jong-un d'asseoir son pouvoir et d'éluder toute critique sur sa jeunesse et son inexpérience. Les mauvais comportements invoqués à l'encontre des condamnés à mort, dont Kim Chol, ne seraient que des prétextes afin de pouvoir les écarter de manière officielle.
Il ne fait pas bon transgresser les règles en Corée du Nord, Kim Chol l'a appris à ses dépens. Ce responsable militaire a été condamné à mort et exécuté il y a plusieurs mois pour avoir bu et fait la fête pendant la période de deuil de Kim Jong-il, a rapporté mercredi le Daily Telegraph citant un média sud-coréen.
D'après ce dernier, la mise à mort a été particulièrement sordide: l'homme a été placé seul dans un lieu défriché avant qu'un obus de mortier ne vienne littéralement l'«effacer». Les ordres de cette condamnation à mort sont venus directement du nouveau leader nord-coréen, Kim Jong-un qui ne voulait «plus aucune trace de lui».
Quatorze exécutions en moins d'un an
Cette exécution n'est qu'un exemple parmi d'autres de la purge qui a suivi la prise de pouvoir du jeune dictateur après la mort de son père il y a bientôt un an. Au total, ce sont quatorze hauts responsables, dont le chef des armées et le gouverneur de la banque centrale, dont le régime se serait sommairement débarrassé selon un membre du Comité sud-coréen des Affaires étrangères, du commerce et de l'unification, cité par le Daily Telegraph.
Les experts de la région estiment que cette purge serait une manière pour Kim Jong-un d'asseoir son pouvoir et d'éluder toute critique sur sa jeunesse et son inexpérience. Les mauvais comportements invoqués à l'encontre des condamnés à mort, dont Kim Chol, ne seraient que des prétextes afin de pouvoir les écarter de manière officielle.