Versailles-capitale
USAPiste débutant
Bonjour à toutes et à tous, merci de m'accueillir parmi vous.
Je me permets de lancer cette discussion car j'ai rencontré il y a près de deux ans maintenant une personne qui m'a plus ou moins kidnappé. Le garçon, apparemment doux et gentil a gagné ma confiance. Depuis, régulièrement, très régulièrement, il m'envoie des messages relatifs à l'USAP, à ses exploits, ses (très nombreuses) déconvenues, pour me demander ce que je pense des blessures de "Forletta" ou "Vivalda" (je ne sais pas qui sont ces personnes, elles ont l’air de l’obséder). Cet été, il m’a gentiment proposé de venir profiter des jolies plages d’Argeles, à peine monté dans la voiture, il me parle de deux-trois courses rapides à réaliser, ni une ni deux me voilà à assister à l’entraînement du formidable Eric Sione, « une pépite, tu vas voir, c’est notre plus grand espoir ».
Cadre important dans le secteur bancaire, il m’arrive de devoir assister à des cocktails party mondains, sur des roof-top. Aussi, je profite de ces occasions pour inviter mon ami, au chômage et lui permettre de networker. Présenté à un dirigeant emblématique de Morgan Stanley, il l’a appelé « fry » toute la journée, lui a dit qu’il ressemblait à un certain « Jean-Pierre Perez et lui a proposé de lui offrir des espadrilles aux couleurs de l’USAP pour marquer les débuts d’une longue amitié.
Non content de menacer ma vie professionnelle il met également en danger ma vie amoureuse. Lorsqu’il a rencontré ma promise (avec qui j’espère me marier au plus vite), il a refusé de lui serrer la main estimant sans fondement qu’elle devait avoir un lien de parenté avec « Jonathan Best ». Il l’a menacée de lui infliger « une fourchette » s’il la revoyait en ma compagnie. J’ai sur le moment pensé qu’il s’agissait d’une invitation à dîner mais je demeure sur mes gardes, la gastronomie ne semblant pas son point fort. Je le sais d’autant mieux que comme, je vous l’ai dit, l’individu, au chômage, a été gracieusement invité à profiter de mon modeste 400m carré. En guise de « remerciement » il n’a rien trouvé de mieux que d’installer un barbecue au milieu de mon salon pour y faire griller des escargots, « tu vas voir fry c’est délicieux ». Il a salopé les moulures.
Pour se faire pardonner, il m'a proposé de visiter la bien sympathique U-Arena, un joli espace d'accueil polyfonctionnel, pour assister à la rencontre RC92-USAP. J'ai beaucoup aimé ce moment, tout le monde était très gentil et très poli, à l'exception de ces quelques hurluberlus en rouge et jaune. J'ai d'ailleurs prévu d'y retourner pour assister à la représentation prochaine d'André Rieu.
Le pauvre garçon semble par ailleurs souffrir de nombreux problèmes mentaux, il m’envoie ainsi tous les matins un message pour me faire part de sa certitude de voir l’USAP remonter dès cette année en top 14 « parce que vraiment l’année dernière ça s’est joué à peu de choses ».
Aussi je me tourne vers vous, qui partagez ses passions déviantes, pour trouver une solution et échapper à l’influence néfaste et de plus en plus envahissante de ce garçon.
Amicalement,
Aqui aqui c’est Neuilly !
Je me permets de lancer cette discussion car j'ai rencontré il y a près de deux ans maintenant une personne qui m'a plus ou moins kidnappé. Le garçon, apparemment doux et gentil a gagné ma confiance. Depuis, régulièrement, très régulièrement, il m'envoie des messages relatifs à l'USAP, à ses exploits, ses (très nombreuses) déconvenues, pour me demander ce que je pense des blessures de "Forletta" ou "Vivalda" (je ne sais pas qui sont ces personnes, elles ont l’air de l’obséder). Cet été, il m’a gentiment proposé de venir profiter des jolies plages d’Argeles, à peine monté dans la voiture, il me parle de deux-trois courses rapides à réaliser, ni une ni deux me voilà à assister à l’entraînement du formidable Eric Sione, « une pépite, tu vas voir, c’est notre plus grand espoir ».
Cadre important dans le secteur bancaire, il m’arrive de devoir assister à des cocktails party mondains, sur des roof-top. Aussi, je profite de ces occasions pour inviter mon ami, au chômage et lui permettre de networker. Présenté à un dirigeant emblématique de Morgan Stanley, il l’a appelé « fry » toute la journée, lui a dit qu’il ressemblait à un certain « Jean-Pierre Perez et lui a proposé de lui offrir des espadrilles aux couleurs de l’USAP pour marquer les débuts d’une longue amitié.
Non content de menacer ma vie professionnelle il met également en danger ma vie amoureuse. Lorsqu’il a rencontré ma promise (avec qui j’espère me marier au plus vite), il a refusé de lui serrer la main estimant sans fondement qu’elle devait avoir un lien de parenté avec « Jonathan Best ». Il l’a menacée de lui infliger « une fourchette » s’il la revoyait en ma compagnie. J’ai sur le moment pensé qu’il s’agissait d’une invitation à dîner mais je demeure sur mes gardes, la gastronomie ne semblant pas son point fort. Je le sais d’autant mieux que comme, je vous l’ai dit, l’individu, au chômage, a été gracieusement invité à profiter de mon modeste 400m carré. En guise de « remerciement » il n’a rien trouvé de mieux que d’installer un barbecue au milieu de mon salon pour y faire griller des escargots, « tu vas voir fry c’est délicieux ». Il a salopé les moulures.
Pour se faire pardonner, il m'a proposé de visiter la bien sympathique U-Arena, un joli espace d'accueil polyfonctionnel, pour assister à la rencontre RC92-USAP. J'ai beaucoup aimé ce moment, tout le monde était très gentil et très poli, à l'exception de ces quelques hurluberlus en rouge et jaune. J'ai d'ailleurs prévu d'y retourner pour assister à la représentation prochaine d'André Rieu.
Le pauvre garçon semble par ailleurs souffrir de nombreux problèmes mentaux, il m’envoie ainsi tous les matins un message pour me faire part de sa certitude de voir l’USAP remonter dès cette année en top 14 « parce que vraiment l’année dernière ça s’est joué à peu de choses ».
Aussi je me tourne vers vous, qui partagez ses passions déviantes, pour trouver une solution et échapper à l’influence néfaste et de plus en plus envahissante de ce garçon.
Amicalement,
Aqui aqui c’est Neuilly !
