Je pense qu'il va falloir revoir le concept. L'idée est bonne mais il y a je pense pas mal de chose à revoir :
- La date, je pense que le mois de septembre est beaucoup trop tôt. De plus, cela correspond à un mois où les ménages ont de nombreuses dépenses. Le mois d'octobre, mars ou avril me semblent des moments plus propices.
- Une fois la date fixée, il faut qu'on puisse, comme le stade français fait avec le Stade de France, réserver plusieurs mois à l'avance. Car les déplacements, les hôtels ont un coût et plus on s'y prend tard, plus c'est cher.
- Il est nécessaire aussi d'investir lourdement dans la promotion de l'événement. J'habite à Toulouse et je n'ai vu nulle-part de publicité pour ce match qui pourtant est alléchant surtout s'il est délocalisé à Barcelone. Cette affiche ne manque pas d'exotisme. La première festa del rugbi avait obtenu une vraie promotion.
- Le partenariat avec le Barça. Ce partenariat nous permettait de tisser un formidable réseau de contacts transpyrénéens. En tant qu'organisateur de l'événement le Barça récupère un pourcentage (40% ?) des recettes au guichet. Si le Barça grâce à sa notoriété mondiale, à son réseau, son influence arrive à attirer le grand public, à nous trouver 20 000 sud catalans cela vaut la peine de continuer le partenariat. Si on ne trouve pas plus de 5 000 supporteurs (c'est à dire plus ou moins le nombre d'inconditionnels du rugby de l'autre côté) alors il faudra revoir les termes du partenariat.
- Si on choisi de maintenir notre partenariat avec le Barça alors le choix du stade est important : Je sais que parler du Camp Nou peut paraître présomptueux quand on sait que Montjuic sonnait creux. Pourtant, c'est bien l'hypothèse qui avait été envisagée en 2010, donc pas si folle que ça. Demandez-vous pourquoi le Stade français est capable la même année de réunir plus de 70 000 spectateurs au Stade de France tandis qu'il peine à en faire venir 5000 à Charléty. Le nom du club que l'on reçoit ne fait pas tout.
- Le match de rugby ne doit pas seulement être un match mais un spectacle a fortiori dans une grande ville qui n'a pas de culture rugby. ll faut sans cesse innover...
- La date, je pense que le mois de septembre est beaucoup trop tôt. De plus, cela correspond à un mois où les ménages ont de nombreuses dépenses. Le mois d'octobre, mars ou avril me semblent des moments plus propices.
- Une fois la date fixée, il faut qu'on puisse, comme le stade français fait avec le Stade de France, réserver plusieurs mois à l'avance. Car les déplacements, les hôtels ont un coût et plus on s'y prend tard, plus c'est cher.
- Il est nécessaire aussi d'investir lourdement dans la promotion de l'événement. J'habite à Toulouse et je n'ai vu nulle-part de publicité pour ce match qui pourtant est alléchant surtout s'il est délocalisé à Barcelone. Cette affiche ne manque pas d'exotisme. La première festa del rugbi avait obtenu une vraie promotion.
- Le partenariat avec le Barça. Ce partenariat nous permettait de tisser un formidable réseau de contacts transpyrénéens. En tant qu'organisateur de l'événement le Barça récupère un pourcentage (40% ?) des recettes au guichet. Si le Barça grâce à sa notoriété mondiale, à son réseau, son influence arrive à attirer le grand public, à nous trouver 20 000 sud catalans cela vaut la peine de continuer le partenariat. Si on ne trouve pas plus de 5 000 supporteurs (c'est à dire plus ou moins le nombre d'inconditionnels du rugby de l'autre côté) alors il faudra revoir les termes du partenariat.
- Si on choisi de maintenir notre partenariat avec le Barça alors le choix du stade est important : Je sais que parler du Camp Nou peut paraître présomptueux quand on sait que Montjuic sonnait creux. Pourtant, c'est bien l'hypothèse qui avait été envisagée en 2010, donc pas si folle que ça. Demandez-vous pourquoi le Stade français est capable la même année de réunir plus de 70 000 spectateurs au Stade de France tandis qu'il peine à en faire venir 5000 à Charléty. Le nom du club que l'on reçoit ne fait pas tout.
- Le match de rugby ne doit pas seulement être un match mais un spectacle a fortiori dans une grande ville qui n'a pas de culture rugby. ll faut sans cesse innover...
