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Dopage : sanction confirmée pour l'ancien usapiste Sione Tau - Lindependant.fr

Cata'tonique

Titan du forum
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Finalement la question est : faut-il embaucher un gars clean ou pas clean ? Ma réponse sans hésiter dans le doute est non !
Il faut arrêter de mélanger les associations caritatives avec les sociétés professionnelles, sinon tu es perdant ! C'est le cas …
Alors là, j'ai rien compris.
"A ou B ? Réponse non..."
"Sans hésiter dans le doute" la notion m'échappe :comprendpas:
 

Cargol66

Passe du temps sur le forum
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Embaucher un gars clean dans le rugby actuel, on en trouve mais c'est très compliqué à trouver.
Toujours plus ...
Il y en a sûrement qui triche mais de là à dire que c’est une majorité de joueurs ....
Surtout avec tout les contrôles qui font , je pense finalement que c’est plus en Fédéral que les mecs se dopent
 

koenig

Titan du forum
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Toujours plus ...
Il y en a sûrement qui triche mais de là à dire que c’est une majorité de joueurs ....
Surtout avec tout les contrôles qui font , je pense finalement que c’est plus en Fédéral que les mecs se dopent

Ça serait amusant qu'un pro poste son régime alimentaire sur le forum un jour, et même si c'est pas du dopage certains réaliseront que c'est assez effrayant.

PS: je ne parlais pas que des calories et ratio glucides/prots/graisses, mais aussi des compléments, excitants, "médicaments", etc
 
Dernière édition:

coropaul

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Toujours plus ...
Il y en a sûrement qui triche mais de là à dire que c’est une majorité de joueurs ....
Surtout avec tout les contrôles qui font , je pense finalement que c’est plus en Fédéral que les mecs se dopent
Regarde les articles sur les AUT c'est effrayant.
Du moment que leur médecin leur prescrit un médicament interdit ils sont autorisés à prendre ses médicaments du coup la ligue reçoit des centaines d'AUT par saison donc aujourd'hui pour se faire cramer pour dopage faut vraiment être naïf
 

Cargol66

Passe du temps sur le forum
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Ça serait amusant qu'un pro poste son régime alimentaire sur le forum un jour, et même si c'est pas du dopage certains réaliseront que c'est assez effrayant.
Pour avoir vu de pres le travail des nutritionnistes du MHR , cela n’a rien d’effrayant c’est juste assez différent d’une personne lambda .
 

koenig

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Pour avoir vu de pres le travail des nutritionnistes du MHR , cela n’a rien d’effrayant c’est juste assez différent d’une personne lambda .

Et pour avoir parlé avec des médecins : "ils sont dopés". Le sport de haut niveau, il faut voir ça comme un spectacle de toute façon. Quand on voit l'affaire du racing récemment, qu'on t'explique que les corticoïdes ça serait pas dopant si on a une ordonnance du médecin, c'est n'importe quoi, ce sont des produits qui permettent de masquer la douleur (donc dangereux) et d'aller plus loin dans la performance. Et le rugby tolère ça?
 

coropaul

Titan du forum
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T'as le pourcentage?
Dans son rapport 2011, l’AFLD fait le point sur les demandes d’autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (AUT). Ces dernières sont attentivement examinées parce qu’elles peuvent être utilisées à des fins de dopage.
L’an dernier, sur plus de 1100 dossiers, « ce sont les sportifs licenciés des fédérations de cyclisme (14,6 %), de tir à l’arc (9,1%), de rugby (8,9 %), d’athlétisme (8,5 %), de natation (6,8 %) et de football (5,8 %), qui ont adressé le plus de demandes d’AUT à la cellule médicale », écrit l’Agence.
1100 *8.9%= 98 demandes en 2010

Sur les huit sports contrôlés plus de 400 fois en 2012 (sur un total de 9514), ce n’est pas le cyclisme mais le rugby qui arrive en tête.
Classement : 1. Rugby, 2. Football, 3. Athlétisme, 4. Triathlon, 5. Basket-ball, 6. Cyclisme, 7. Handball, 8. Natation. Si on enlève le cannabis, qui est un dopage indirect, le rugby reste en tête. Classement : 1. Rugby, 2. Athlétisme, 3. Triathlon, 4 ; Cyclisme, 5. Natation, 6. Football, 7. Basket-ball, 8. Handball. »

L’AFLD, de son coté, a indiqué que le rugby représentait 10,4% du total des échantillons déclarés anormaux, en 3e position derrière le cyclisme (14,9%) et l’athlétisme (12,6%).

En 2011, le cannabis représentait un quart des cas (24%), suivi des corticoïdes (24%), stimulants (17%) et anabolisants (11%). Il y a donc des produits lourds et d’autres moins, que l’on peut trouver dans certains sports et pas dans d’autres.

En croisant les données communiquées par la fédération du rugby et le gendarme de la lutte antidopage, il suffit d’une règle de trois pour établir le total de cas anormaux en 2012 (211), et affiner le ranking des sports les plus touchés établi par Lasne.

Comme tu as pu le lire, ces chiffres sont de 2011 alors imagine aujourd'hui en 2018.

Quand tu entend delon armitage qui te sort qu'il a pris 5 kilos en 8 semaines on peut se poser des questions :
Delon, comment as-tu vécu ces huit semaines de suspension ?

Cela a été très dur de regarder les autres jouer, surtout que mes concurrents au poste d’arrière ont fait de bons matchs. J’ai passé deux mois à m’entraîner sans pouvoir jouer et c’était assez difficile à vivre. J’en ai profité pour travailler mon physique et plus particulièrement la musculation. C’est bien simple, j’ai pris cinq kilos ! Et je n’ai pas perdu en vitesse, ce qui est le risque dans ce genre de cas. J’ai réussi à optimiser mon temps libre.
 

Cargol66

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Dans son rapport 2011, l’AFLD fait le point sur les demandes d’autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (AUT). Ces dernières sont attentivement examinées parce qu’elles peuvent être utilisées à des fins de dopage.
L’an dernier, sur plus de 1100 dossiers, « ce sont les sportifs licenciés des fédérations de cyclisme (14,6 %), de tir à l’arc (9,1%), de rugby (8,9 %), d’athlétisme (8,5 %), de natation (6,8 %) et de football (5,8 %), qui ont adressé le plus de demandes d’AUT à la cellule médicale », écrit l’Agence.
1100 *8.9%= 98 demandes en 2010

Sur les huit sports contrôlés plus de 400 fois en 2012 (sur un total de 9514), ce n’est pas le cyclisme mais le rugby qui arrive en tête.
Classement : 1. Rugby, 2. Football, 3. Athlétisme, 4. Triathlon, 5. Basket-ball, 6. Cyclisme, 7. Handball, 8. Natation. Si on enlève le cannabis, qui est un dopage indirect, le rugby reste en tête. Classement : 1. Rugby, 2. Athlétisme, 3. Triathlon, 4 ; Cyclisme, 5. Natation, 6. Football, 7. Basket-ball, 8. Handball. »

L’AFLD, de son coté, a indiqué que le rugby représentait 10,4% du total des échantillons déclarés anormaux, en 3e position derrière le cyclisme (14,9%) et l’athlétisme (12,6%).

En 2011, le cannabis représentait un quart des cas (24%), suivi des corticoïdes (24%), stimulants (17%) et anabolisants (11%). Il y a donc des produits lourds et d’autres moins, que l’on peut trouver dans certains sports et pas dans d’autres.

En croisant les données communiquées par la fédération du rugby et le gendarme de la lutte antidopage, il suffit d’une règle de trois pour établir le total de cas anormaux en 2012 (211), et affiner le ranking des sports les plus touchés établi par Lasne.

Comme tu as pu le lire, ces chiffres sont de 2011 alors imagine aujourd'hui en 2018.

Quand tu entend delon armitage qui te sort qu'il a pris 5 kilos en 8 semaines on peut se poser des questions :
Delon, comment as-tu vécu ces huit semaines de suspension ?

Cela a été très dur de regarder les autres jouer, surtout que mes concurrents au poste d’arrière ont fait de bons matchs. J’ai passé deux mois à m’entraîner sans pouvoir jouer et c’était assez difficile à vivre. J’en ai profité pour travailler mon physique et plus particulièrement la musculation. C’est bien simple, j’ai pris cinq kilos ! Et je n’ai pas perdu en vitesse, ce qui est le risque dans ce genre de cas. J’ai réussi à optimiser mon temps libre.
En fédéral et en juniors (où il n’y a pas de contrôle ) ça arrive .
Pour ce qui est d’Armitage , prend 5 kilos en deux mois de musculation tout les jours n’a rien de surhumain.
 
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