jfm66
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Les amis,
Le jeune 9 de Mont de Marsan, Léo Coly, sous contrat avec le Stade Montois pour trois saisons, attise les convoitises des plus grands que ce soit de Montpellier, du Stade Toulousain, de Lyon et du Racing.
Le Stade Montois pourrait "lacher" son joueur par anticipation au MHR.
En effet, il semblerait selon la presse que le MHR, afin de devancer les autres prétendants, rachète le contrat du joueur, plus des indemnités, et le prête pour une saison de plus au club des Landes afin de le récupérer en 2023 quand Cobus Reinach sera parti du club de Montpellier.
Souvent nous parlons ici de la "footballisation" de notre sport. Mais dans le même temps je trouve paradoxal le fait qu'au foot désormais certains grands noms attendent d'être libre de contrat pour partir gratuitement (Messi, Alaba, et demain Mbappé, etc...) alors qu'au rugby nous faisons le contraire en engageant des joueurs sous contrats contre des indemnisations.
Finalement, est-ce que pour un "petit" club (Coly de Mont de Marsan ou Jaminet chez nous), ou disons des clubs qui forment, n'ont ils pas intérêt à "vendre" un joueur 1 ou 2 ans avant la fin de son contrat afin de récupérer en plus des dédommagements de formation des indemnités supplémentaire? Il vaut mieux conserver un Melvyn Jaminet 1 an ou 2 de plus sachant que de toute façon il finira par partir a la fin de son contrat et le club ne touchera rien?
Je pense que nous entrons dans un nouveau monde économique dans le rugby. Le rachat de contrat. Je pense même que cela pourrait permettre a certains clubs (nous?) d'avoir des moyens supplémentaires. Il faut sans doute se préparer dans l'avenir a voir nos meilleurs jeunes, faire une ou deux belles saisons, que le (les) club(s) prolongent de 3 voir 4 ou 5 ans, puis "vendre" au plus offrant. Cela pourrait générer des revenus supplémentaires et si la formation arrive a "sortir" régulièrement des "pépites", le(s) clubs pourrai(en)t finalement trouver un modèle économique viable.
Boudgellal avait à l’époque défendu la théorie. Je me demande finalement, si aujourd'hui il n'a pas raison.
Le jeune 9 de Mont de Marsan, Léo Coly, sous contrat avec le Stade Montois pour trois saisons, attise les convoitises des plus grands que ce soit de Montpellier, du Stade Toulousain, de Lyon et du Racing.
Le Stade Montois pourrait "lacher" son joueur par anticipation au MHR.
En effet, il semblerait selon la presse que le MHR, afin de devancer les autres prétendants, rachète le contrat du joueur, plus des indemnités, et le prête pour une saison de plus au club des Landes afin de le récupérer en 2023 quand Cobus Reinach sera parti du club de Montpellier.
Souvent nous parlons ici de la "footballisation" de notre sport. Mais dans le même temps je trouve paradoxal le fait qu'au foot désormais certains grands noms attendent d'être libre de contrat pour partir gratuitement (Messi, Alaba, et demain Mbappé, etc...) alors qu'au rugby nous faisons le contraire en engageant des joueurs sous contrats contre des indemnisations.
Finalement, est-ce que pour un "petit" club (Coly de Mont de Marsan ou Jaminet chez nous), ou disons des clubs qui forment, n'ont ils pas intérêt à "vendre" un joueur 1 ou 2 ans avant la fin de son contrat afin de récupérer en plus des dédommagements de formation des indemnités supplémentaire? Il vaut mieux conserver un Melvyn Jaminet 1 an ou 2 de plus sachant que de toute façon il finira par partir a la fin de son contrat et le club ne touchera rien?
Je pense que nous entrons dans un nouveau monde économique dans le rugby. Le rachat de contrat. Je pense même que cela pourrait permettre a certains clubs (nous?) d'avoir des moyens supplémentaires. Il faut sans doute se préparer dans l'avenir a voir nos meilleurs jeunes, faire une ou deux belles saisons, que le (les) club(s) prolongent de 3 voir 4 ou 5 ans, puis "vendre" au plus offrant. Cela pourrait générer des revenus supplémentaires et si la formation arrive a "sortir" régulièrement des "pépites", le(s) clubs pourrai(en)t finalement trouver un modèle économique viable.
Boudgellal avait à l’époque défendu la théorie. Je me demande finalement, si aujourd'hui il n'a pas raison.