Moi ce qui me rend heureux, c'est de revoir Aimé Giral comme ça. Je suis entre deux âges. 34 ans, j'ai connu les belles années 90, l'apothéose 2009, l'enfer 2014, les galères, les matchs de Prod2 l'hiver... Bref, pas facile. J'ai eu peur que le club ne revienne jamais. Que l'engouement s'éteigne...