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Le président du club catalan salue la décision de la LNR de stopper ses compétitions.
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USAP - Rivière : "Ce n’est que du rugby" - Lindependant.fr
- Auteur du sujet Articles de presse
- Date de début
usap-chevalier
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C'est bien de mettre des articles de presse, mais ils sont pas lisibles si on n'est pas abonné la plupart de temps !!!!
D'autant que pour moi qui suis expatrié, c'est difficile de suivre la totalité des infos !!
Mais bon merci quand même car parfois les titres suffisent !!!!!!!!!!!!!!!!
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Mais bon merci quand même car parfois les titres suffisent !!!!!!!!!!!!!!!!
Fpgt66
Passe du temps sur le forum
Pour celui ci tu dois simplement répondre que tu ne souhaite pas t abonner à la newsletter et l article se débloque. pour d autres l indépendant te propose 4 articles gratuits ( tu mets une adresse mail differente à chaque fois et ça fonctionne ). Pour le reste effectivement ils sont bloqués quand tu n es pas abonnéC'est bien de mettre des articles de presse, mais ils sont pas lisibles si on n'est pas abonné la plupart de temps !!!!
D'autant que pour moi qui suis expatrié, c'est difficile de suivre la totalité des infos !!
Mais bon merci quand même car parfois les titres suffisent !!!!!!!!!!!!!!!!
Fpgt66
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6 Pyrénées Orientales, Sport, Rugby à XV
PRO D2
USAP - Rivière : "Ce n’est que du rugby"
Le président du club catalan salue la décision de la LNR de stopper ses compétitions.
Le championnat ne reprendra pas à court terme, il faut d’ores et déjà l’intégrer." Suite aux suspensions de toutes les compétitions de rugby, le président de l’USAP François Rivière salue une "décision sage".
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Quel est votre sentiment après la suspension des compétitions ?
C’est une décision sage, elle était nécessaire. À mon avis, elle est presque un peu tardive. Ça faisait presque une semaine que j’entendais : huis clos ou pas huis clos ? Mais compte tenu de la pandémie qui arrive, il n’y avait pas d’autre choix que d’arrêter le championnat. C’est une question de santé publique. Cette décision est salutaire. Ce n’est que du rugby, or tout doit être ramené à la santé avant tout, de nos familles, de nos enfants, de nos joueurs… On me dit que le championnat ne reprendra peut-être pas. Mais si c’est le cas, c’est que la pandémie durerait et ce serait ça la vraie catastrophe. J’avais beaucoup râlé au moment du match de Rouen et de l’usine de Lubrizol*. Ce n’était qu’un match de rugby, est-ce que c’était raisonnable d’exposer nos joueurs ? Du coup je suis content qu’on ait pris cette décision parce qu’il était important de protéger tout le monde.
Il y a quelques jours pourtant, l’idée d’une suspension était loin de faire l’unanimité…
On avait eu notre conférence des présidents il y a quelques jours et on était quelques-uns à en parler, mais ça ne semblait pas la voix majoritaire. Ça me semblait déjà ridicule de continuer à jouer alors que la probabilité que des joueurs soient contaminés est élevée. Par définition, il y aurait eu des matches annulés. Le choix le plus raisonnable était d’anticiper. La prise de parole du président de la République a été déterminante. Quand il a dit "fin de la partie, on arrête tout", à partir de là tout le système a réagi.
"Il faut sauver la plus belle marque du département"
Lors de cette réunion de la LNR, a-t-il été question de mesures compensatoires ?
Pas encore. Je sais que ces réflexions sont à l’étude. D’abord, il faut voir dans quelle mesure l’État va venir à l’aide des clubs qui sont, ne l’oublions pas, des entreprises. À l’USAP, j’ai, joueurs compris, pas loin de 100 salariés, c’est une grosse PME. Ensuite, est-ce qu’avec la Ligue, on va trouver des solutions ? Je crois, et je suis même certain, qu’ils sont en train de les étudier. Mais le vrai sujet est de savoir si le championnat pourra bien reprendre et si oui pas trop tard pour qu’il puisse aller à son terme – et personne ne le sait, donc pas la peine de tirer des plans sur la comète. Si cette période d’inactivité forcée dure, à mon avis, quasiment jusqu’à fin avril, on a largement le temps à mon avis en mai, juin et début juillet de finir notre championnat. Certains me disent les contrats s’arrêtent en juin mais rien ne peut résister à l’impératif de santé publique. Pour les détails matériels, on trouvera des solutions pour, admettons, que les joueurs restent huit jours de plus début juillet. Avec les diffuseurs télés aussi on trouvera des diffusions. Mais tout dépend de la durée de cette période.
La santé financière de l’USAP est-elle en danger ?
Avec tout ce que j’ai vécu depuis cinq ans, je suis plus qu’habitué à gérer les catastrophes financières. Si le championnat reprend, ça ne fait que différer le chiffre d’affaire. On arrivera à trouver les solutions parce que tout le monde est conscient qu’il faut sauver ce qui est probablement la plus belle marque de ce département. La situation la plus difficile, ce serait une pandémie sur un trimestre et qu’on ne puisse pas reprendre le championnat. Là, il y aurait un vrai sujet sur les montées-descentes et des compensations financières très importantes.
Que vont devenir joueurs et staff durant cette "pause" ?
J’ai dit à Christian Lanta et Patrick Arlettaz de parler aux joueurs et de les rassurer. À partir de lundi matin, ils vont les recevoir, leur expliquer la situation et les conséquences financières. À voir sur un plan administratif si ça passera par des mesures de chômage partiel. Bien évidemment, on utilisera toutes les possibilités qui nous sont offertes pour que l’USAP s’en sorte. J’essaye d’être optimiste, mais évidemment qu’on peut faire à de gravissimes problèmes pour les finances du club. En outre les joueurs, lorsque le championnat reprendra, auront besoin de trois semaines de préparation intensive pour pouvoir rejouer sinon vous les cassez tous. C’est d’autant plus important d’y veiller que l’USAP était sur une bonne dynamique.
PRO D2
USAP - Rivière : "Ce n’est que du rugby"
Le président du club catalan salue la décision de la LNR de stopper ses compétitions.
Le championnat ne reprendra pas à court terme, il faut d’ores et déjà l’intégrer." Suite aux suspensions de toutes les compétitions de rugby, le président de l’USAP François Rivière salue une "décision sage".
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Quel est votre sentiment après la suspension des compétitions ?
C’est une décision sage, elle était nécessaire. À mon avis, elle est presque un peu tardive. Ça faisait presque une semaine que j’entendais : huis clos ou pas huis clos ? Mais compte tenu de la pandémie qui arrive, il n’y avait pas d’autre choix que d’arrêter le championnat. C’est une question de santé publique. Cette décision est salutaire. Ce n’est que du rugby, or tout doit être ramené à la santé avant tout, de nos familles, de nos enfants, de nos joueurs… On me dit que le championnat ne reprendra peut-être pas. Mais si c’est le cas, c’est que la pandémie durerait et ce serait ça la vraie catastrophe. J’avais beaucoup râlé au moment du match de Rouen et de l’usine de Lubrizol*. Ce n’était qu’un match de rugby, est-ce que c’était raisonnable d’exposer nos joueurs ? Du coup je suis content qu’on ait pris cette décision parce qu’il était important de protéger tout le monde.
Il y a quelques jours pourtant, l’idée d’une suspension était loin de faire l’unanimité…
On avait eu notre conférence des présidents il y a quelques jours et on était quelques-uns à en parler, mais ça ne semblait pas la voix majoritaire. Ça me semblait déjà ridicule de continuer à jouer alors que la probabilité que des joueurs soient contaminés est élevée. Par définition, il y aurait eu des matches annulés. Le choix le plus raisonnable était d’anticiper. La prise de parole du président de la République a été déterminante. Quand il a dit "fin de la partie, on arrête tout", à partir de là tout le système a réagi.
"Il faut sauver la plus belle marque du département"
Lors de cette réunion de la LNR, a-t-il été question de mesures compensatoires ?
Pas encore. Je sais que ces réflexions sont à l’étude. D’abord, il faut voir dans quelle mesure l’État va venir à l’aide des clubs qui sont, ne l’oublions pas, des entreprises. À l’USAP, j’ai, joueurs compris, pas loin de 100 salariés, c’est une grosse PME. Ensuite, est-ce qu’avec la Ligue, on va trouver des solutions ? Je crois, et je suis même certain, qu’ils sont en train de les étudier. Mais le vrai sujet est de savoir si le championnat pourra bien reprendre et si oui pas trop tard pour qu’il puisse aller à son terme – et personne ne le sait, donc pas la peine de tirer des plans sur la comète. Si cette période d’inactivité forcée dure, à mon avis, quasiment jusqu’à fin avril, on a largement le temps à mon avis en mai, juin et début juillet de finir notre championnat. Certains me disent les contrats s’arrêtent en juin mais rien ne peut résister à l’impératif de santé publique. Pour les détails matériels, on trouvera des solutions pour, admettons, que les joueurs restent huit jours de plus début juillet. Avec les diffuseurs télés aussi on trouvera des diffusions. Mais tout dépend de la durée de cette période.
La santé financière de l’USAP est-elle en danger ?
Avec tout ce que j’ai vécu depuis cinq ans, je suis plus qu’habitué à gérer les catastrophes financières. Si le championnat reprend, ça ne fait que différer le chiffre d’affaire. On arrivera à trouver les solutions parce que tout le monde est conscient qu’il faut sauver ce qui est probablement la plus belle marque de ce département. La situation la plus difficile, ce serait une pandémie sur un trimestre et qu’on ne puisse pas reprendre le championnat. Là, il y aurait un vrai sujet sur les montées-descentes et des compensations financières très importantes.
Que vont devenir joueurs et staff durant cette "pause" ?
J’ai dit à Christian Lanta et Patrick Arlettaz de parler aux joueurs et de les rassurer. À partir de lundi matin, ils vont les recevoir, leur expliquer la situation et les conséquences financières. À voir sur un plan administratif si ça passera par des mesures de chômage partiel. Bien évidemment, on utilisera toutes les possibilités qui nous sont offertes pour que l’USAP s’en sorte. J’essaye d’être optimiste, mais évidemment qu’on peut faire à de gravissimes problèmes pour les finances du club. En outre les joueurs, lorsque le championnat reprendra, auront besoin de trois semaines de préparation intensive pour pouvoir rejouer sinon vous les cassez tous. C’est d’autant plus important d’y veiller que l’USAP était sur une bonne dynamique.
Michemiche
USAPiste convaincu
Enfler pourquoi tu dis ça
C'est pavlovien chez lui
5 ans ??? J'aurais dit 7 ou 8 mais j'ai peut être rêvé.
Il doit faire référence à la fois où il avait échoué à attraper la queue du Mickey à Narbonne parce que sinon, c'est toi qui as raison :
"Le 12 août 2013, François Rivière est élu Président du club de rugby de Perpignan, l'USAP. Dans un article publié par l'Equipe.fr, il est indiqué qu'il va investir un peu plus d'un million d'euros afin de faire passer le budget annuel du club à 16M d'euros et qu'il en devient l'actionnaire majoritaire avec 68 % des parts."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Rivi%C3%A8re_(homme_d%27affaires)