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Pro D2 à 15 l'an prochain

jep66

USAPiste impliqué
Le Pro D2 se jouera bien à quinze équipes si deux descentes administratives sont prononcées

Le Pro D2 se jouera bien à quinze équipes si deux descentes administratives sont prononcées

Par Anthony Tallieu
Dernière mise à jour Hier à 16:16 - Publié le 18/06/2016 à 16:16
PRO D2 - Massy et Bourg-en-Bresse n'ont plus aucun espoir d'être promus en Pro D2. Selon nos informations, le comité directeur de la LNR a entériné ce vendredi que le championnat se disputerait à quinze équipes si jamais les relégations administratives de Narbonne et Bourgoin devaient être confirmées en appel.
Pour rappel, Biarritz, également menacé de descente, a apporté les garanties financières nécessaires pour assurer son maintien en Pro D2 comme nous vous l'avons annoncé ce samedi.








Donc on paye un abonnement pour 16 matchs, on en aura que 15, calendrier impair donc une équipe ne jouera pas a chaque journée, rentrée d'argent en moins dans les caisses, le BO avec ses magouilles se sauve, .... bref, c'est du GRAND n'importe quoi.
 
Paul Goze, interviewé par nos confrères de Rugbyrama, est revenu sur la santé financière de nombreux clubs de pro D2. Bienqu’en forte baisse, le déficit d’exploitation se situe autour des 20 millions d’euros en 2016, un chiffre expliquant notamment que 3 clubs (Biarritz, Narbonne et Bourgoin) soient toujours sous la sellette d’une relégations administrative.

Paul Goze : “Le tout est de ne pas vivre au dessus de ses moyens”

Comment est-on arrivé à prononcer quatre descentes administratives Pro D2?

Paul Goze : Déjà, ce sont quatre cas différents. La descente de Tarbes a été prononcée après la présentation de documents peu vraisemblables. Les trois autres sont aussi différents. Sur les trois, un voire deux et peut-être même les trois vont amener les pièces et les éléments financiers nécessaires pour se maintenir. Maintenant, c’est vrai que la que la conjoncture économique actuelle est très difficile. Cela veut bien dire que le rugby doit continuer à travailler, aider les clubs à se structurer et faire que l’économie de notre sport soit viable, quels que soient la ville et le club.

La Pro D2 est-elle malade ?

P.G: Non, je crois que ces difficultés traduisent surtout le fait que certains clubs ont eu des crises de croissance importantes et ont eu du mal à se structurer. Si on veut aller au-delà des trois équipes dont on parle, le déficit total d’exploitation des clubs était de 34 millions d’euros en 2014 et il n’est plus que de 20 millions en 2015. Cela veut bien dire qu’un travail de fond est effectué. C’est bon signe mais tout ne peut pas se résoudre en un jour. Il y aura toujours des clubs moins structurés qui auront plus de mal que d’autres. Le tout est de ne pas vivre au-dessus de ses moyens et de se laisser entraîner dans une surenchère folle au niveau des salaires en partant du principe que si un joueur est payé double, ce n’est pas pour cela qu’il sera deux fois meilleur. Ce sont des idées très simples qui ne devraient jamais quitter l’esprit de nos dirigeants. De gros efforts restent encore à faire.

Paul Goze : “Si c’est deux, nous jouerons la Pro D2 à quinze”
Beaucoup d’hypothèses ont été établies, notamment celles de faire monter un ou les deux demi-finalistes de Fédérale 1. Qu’en est-il exactement ?

P.G: Nous avons voté cela en comité directeur vendredi. C’est simple : si une équipe est reléguée, Provence Rugby sera rattrapé, si c’est deux, nous jouerons le Pro D2 à quinze car il n’est pas question de repêcher un club de Fédérale en fin de procédure, qui n’aura pas été préparé ni structuré. Je ne parle pas de trois descentes car Biarritz a, je pense, réglé son problème.

Doit-on encore s’attendre à de nouvelles descentes administratives dans les prochains mois ?

P.G: Bien évidemment qu’un club comme Dax est repêché grâce aux problèmes administratifs d’autres clubs alors que cela fait deux ans qu’il doit descendre. C’est le jeu des sports professionnels. Chacun joue sa saison et des problèmes financiers peuvent venir s’immiscer et faire que les résultats acquis sur le plan sportif ne le soient pas sur le plan financier. Maintenant, je le répète, l’amélioration sensible sur l’ensemble des clubs professionnels cette saison m’amène à penser que nous connaîtrons un peu moins de problèmes pour les saisons à venir.

Paul Goze interviewé par Rugbyrama en marge des demi-finales de Top14 qui se déroulaient ce week-end à Rennes.
 
Si c'est tout ce qu'ils ont trouvé pour reduire le nombre de clubs en pro d2,c'est bien triste.Mais qu'ils fassent une prod2 a 14 clubs comme le top 14.Pourquoi une prod2 a 16 clubs?Mais qu'ils fassent deux championnats a 14 clubs et 3 montées 3 descentes ,et si ils veulent faire un peu de blé ils maintiennent une finale entre le premier et le second de la prod2 avec pour le vainqueur la possibilite de jouer une coupe d'Europe,ça métrait un peu de piment au championnat
ça me parait peu realisable, mais,pourquoi pas
 
Paul Goze, interviewé par nos confrères de Rugbyrama, est revenu sur la santé financière de nombreux clubs de pro D2. Bienqu’en forte baisse, le déficit d’exploitation se situe autour des 20 millions d’euros en 2016, un chiffre expliquant notamment que 3 clubs (Biarritz, Narbonne et Bourgoin) soient toujours sous la sellette d’une relégations administrative.

Paul Goze : “Le tout est de ne pas vivre au dessus de ses moyens”

Comment est-on arrivé à prononcer quatre descentes administratives Pro D2?

Paul Goze : Déjà, ce sont quatre cas différents. La descente de Tarbes a été prononcée après la présentation de documents peu vraisemblables. Les trois autres sont aussi différents. Sur les trois, un voire deux et peut-être même les trois vont amener les pièces et les éléments financiers nécessaires pour se maintenir. Maintenant, c’est vrai que la que la conjoncture économique actuelle est très difficile. Cela veut bien dire que le rugby doit continuer à travailler, aider les clubs à se structurer et faire que l’économie de notre sport soit viable, quels que soient la ville et le club.

La Pro D2 est-elle malade ?

P.G: Non, je crois que ces difficultés traduisent surtout le fait que certains clubs ont eu des crises de croissance importantes et ont eu du mal à se structurer. Si on veut aller au-delà des trois équipes dont on parle, le déficit total d’exploitation des clubs était de 34 millions d’euros en 2014 et il n’est plus que de 20 millions en 2015. Cela veut bien dire qu’un travail de fond est effectué. C’est bon signe mais tout ne peut pas se résoudre en un jour. Il y aura toujours des clubs moins structurés qui auront plus de mal que d’autres. Le tout est de ne pas vivre au-dessus de ses moyens et de se laisser entraîner dans une surenchère folle au niveau des salaires en partant du principe que si un joueur est payé double, ce n’est pas pour cela qu’il sera deux fois meilleur. Ce sont des idées très simples qui ne devraient jamais quitter l’esprit de nos dirigeants. De gros efforts restent encore à faire.

Paul Goze : “Si c’est deux, nous jouerons la Pro D2 à quinze”
Beaucoup d’hypothèses ont été établies, notamment celles de faire monter un ou les deux demi-finalistes de Fédérale 1. Qu’en est-il exactement ?

P.G: Nous avons voté cela en comité directeur vendredi. C’est simple : si une équipe est reléguée, Provence Rugby sera rattrapé, si c’est deux, nous jouerons le Pro D2 à quinze car il n’est pas question de repêcher un club de Fédérale en fin de procédure, qui n’aura pas été préparé ni structuré. Je ne parle pas de trois descentes car Biarritz a, je pense, réglé son problème.

Doit-on encore s’attendre à de nouvelles descentes administratives dans les prochains mois ?

P.G: Bien évidemment qu’un club comme Dax est repêché grâce aux problèmes administratifs d’autres clubs alors que cela fait deux ans qu’il doit descendre. C’est le jeu des sports professionnels. Chacun joue sa saison et des problèmes financiers peuvent venir s’immiscer et faire que les résultats acquis sur le plan sportif ne le soient pas sur le plan financier. Maintenant, je le répète, l’amélioration sensible sur l’ensemble des clubs professionnels cette saison m’amène à penser que nous connaîtrons un peu moins de problèmes pour les saisons à venir.

Paul Goze interviewé par Rugbyrama en marge des demi-finales de Top14 qui se déroulaient ce week-end à Rennes.


dans le midol , il y avait aussi une leçon de morale de monsieur Goze au sujet des clubs épinglés de pro D2 , qui ne savent pas , d'après lui , gérer leurs comptes !! il ne manque pas de co...es ! l'enfoiré !!!!
 
dans le midol , il y avait aussi une leçon de morale de monsieur Goze au sujet des clubs épinglés de pro D2 , qui ne savent pas , d'après lui , gérer leurs comptes !! il ne manque pas de co...es ! l'enfoiré !!!!
Dans notre monde politiquement correct, baigné d'escroqueries et autres malversations en tous genres, il y aura pas un journaliste pour le lui dire ...
 
dans le midol , il y avait aussi une leçon de morale de monsieur Goze au sujet des clubs épinglés de pro D2 , qui ne savent pas , d'après lui , gérer leurs comptes !! il ne manque pas de co...es ! l'enfoiré !!!!
ah mais lui ça n a rien à voir !!!







on etait en top 14 :D:p
 
Goze qui explique comment gérer un club et surtout qu'il ne faut pas vivre au dessus de ses moyens...c'est l'hôpital qui se fou de la charité, non ?
 
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