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Usap : L'ancien Talonneur Du Rcnm, Koto Vuli, Devrait S'engager Pour Un An

Cite moi 1 club de prod2 qui a un effectif aussi riche en qualité que le nôtre? J'ai beau chercher je n'en vois aucun.......
a bon va voir le Biarritz olympique grenoble montauban bezier pour ceux qui vienne de monter le recrutement n ai pas terminé tu verra qu on a pas un effectif si pléthorique que ca. c est bien d etre confiant mais bon avec beaucoup de manque a certain poste si tu a 1ou 2 bléssé a des poste strategique au poste de 9 et 2 on sera tres mal.
 
Oh les copains, restons calmes !
Comme l'a si bien décrit Clément, je crois que le staff a fait un choix par défaut et adapté à la situation actuelle.
Je ne pense pas que c'est un manque d'ambition, mais au contraire un recrutement au mieu des intérêts du club vu les circonstances de l'arrêt de Mach.
Les points positifs du recrutement de Koto Vuli :
- il est international,
- il possède une grande expérience.
Les points négatifs :
- son âge,
- le niveau où il évoluait.
Mais s'il subit la préparation physique, il n'y a pas de raison qu'il ne tienne pas au moins 1 heure de jeu.
 
Cite moi 1 club de prod2 qui a un effectif aussi riche en qualité que le nôtre? J'ai beau chercher je n'en vois aucun.......
Un effectif riche en qualité ? Sur le papier peut être, mais c'est le terrain qui nous le dira. La saison passée, tu pouvais faire exactement la même affirmation puisque globalement, les recrues de cette année remplacent les départs avec des petits plus théoriques mais aussi des petits moins. Pourtant, nous n'avons pas été invités aux phases finales. La seule chose qui pour moi semble en nette amélioration par rapport à l'an dernier, c'est qu'on va partir avec un staff technique a priori stable et reconnu des joueurs et qu'on n'a renforcé la préparation physique avec un staff important (3 spécialistes) et plutôt reconnu.
 
a bon va voir le Biarritz olympique grenoble montauban bezier pour ceux qui vienne de monter le recrutement n ai pas terminé tu verra qu on a pas un effectif si pléthorique que ca. c est bien d etre confiant mais bon avec beaucoup de manque a certain poste si tu a 1ou 2 bléssé a des poste strategique au poste de 9 et 2 on sera tres mal.

Et j'ai pas le temps d'aller voir mais tu peux argumenter sur les effectifs du BO , Grenoble, Béziers et Montauban et me prouver que leurs effectifs sont qualitativement meilleurs que le notre car je voit pas en quoi ils le sont....merci

Apres faut arrêter de stigmatiser sur les blessures longues durée...ca n arrive quasiment jamais et les jokers médicaux sont fait pour ça en plus du réservoir espoirs....

Apres pour moi le recrutement du fidjien au talon et très astucieux compte tenu de la situation car on n'aura pas de problème a le laisser partir tout en ayant le temps de préparer l avenir tranquillement pour le poste de talon (guigui come back)....

Et franchement il vient compléter largement "l'offre talon " de l'équipe ( faut arrêter de croire qu'on joue en top 14 et que Carbou et De Fauvergue sont des pipes...d'ailleurs ce dernier risque de résoudre le cas du talon si il commence a enquiller comme on dit)

a bientôt
 
Vuli a changé pour le plaisir

RUGBY - FÉDÉRALE 1Vuli a changé pour le plaisir

Il aurait dû être boxeur professionnel ou un honnête pilier droit. Mais le refus de sa maman et la rencontre avec un coach néo-zélandais ont bouleversé son existence. Sunia Koto Vuli sera talonneur. Et sans doute le meilleur de son pays.

“Si tu ne bouges pas, tu es mort”. Dicton Hindi - la 2e langue des Fidji-. Dicton de Sunia Koto Vuli, le talonneur qui a rejoint l’AS Mâcon cette année après sept saisons à Narbonne. « L’origine de mon nom vient de mon grand-père qui est parti de sa petite île natale pour rejoindre la capitale Suva. Vuli veut dire changement, de vie, d’éducation… » raconte l’ex-international aux 51 capes dont la première a influé sur toute sa carrière.

Mais revenons au point de départ. À 16 ans, Sunia est un garçon un peu turbulent, qui fréquente l’unique club de boxe de son petit village situé à quelques kilomètres de la métropole fidjienne Suva. En rentrant de l’entraînement un soir, il demande à sa maman de participer à des combats. « Elle a refusé, elle avait peur pour moi » se souvient Sunia. Obéissant, le garçon baisse la tête et dès le lendemain, rejoint l’école de rugby. « J’étais déjà bien costaud pour mon âge. Le rugby aux Fidji, c’est notre religion » raconte-t-il.

Sunia devient pilier droit mais ne sait pas encore que son destin changera un jour d’octobre 2004.

Une première cata
Sunia Vuli est revenu depuis moins de deux ans d’Australie où il a joué pour le Warringam Rugby Club comme professionnel. À 24 ans, il est désormais un pilier droit connu et reconnu dans son île. Sélectionné régulièrement avec les Fidji Warriors - la 2e équipe nationale-, le staff fidjien lui donne enfin sa chance face aux Maoris de Nouvelle-Zélande, l’antichambre des All Blacks. « J’étais nerveux, excité aussi. Jouer pour mon pays avec la première équipe c’était magique » se remémore l’ex-Narbonnais.

Le 16 octobre 2004, à l’Anz Stadium de Suva, devant sa famille, ses proches et près de 15 000 supporters, Sunia Koto Vuli est lancé dans le grand bain. Mais pas à droite de la mêlée comme à l’accoutumée. « Quelques jours avant le match, les deux talonneurs se sont blessés. Le coach néo-zélandais Wayne Pivac m’a demandé de jouer à ce poste. J’ai dit oui parce que j’avais envie de jouer » explique le néo-Mâconnais.

La suite ressemble à un cauchemar. Trois lancers sur quatre perdus, un placement approximatif sur le terrain, en mêlée, « c’était la première fois que je jouais talon, c’était une catastrophe » sourit aujourd’hui Sunia Vuli. Mais sa bonne étoile ne le laissera pas tomber. Malgré la défaite 29-27, l’homme est prêt pour sa mue. « J’avais la confiance du coach, qui m’a dit de travailler très dur » confesse-t-il. Et Vuli bosse. Comme un dingue pour rattraper le retard. Un mois après, il est en Europe pour la traditionnelle tournée de novembre au cours de laquelle il affronte le Pays de Galles, l’Italie et le Portugal. Dès lors, il ne quittera plus l’escouade fidjienne.

Le talonneur le plus capé de l’histoire fidjienne
Preuves. Trois Coupes du monde comme titulaire au poste, 51 sélections. À 36 printemps, il est le talonneur le plus capé du pays. « C’est un honneur pour moi. Je veux remercier ma maman qui a refusé de me donner la permission de boxer et je veux remercier aussi mon coach Wayne Pivac, qui m’a offert l’opportunité d’être talonneur » insiste respectueusement Sunia.

C’est pendant la Coupe du monde 2007 qu’il découvre la France. Et l’envie de s’y installer. « J’étais aux London Welsh et l’année suivante, j’ai signé à Narbonne. Là-bas, tout respirait rugby ». Mais le changement, c’est dans sa nature. Sa raison de vivre. « J’avais perdu le goût du plaisir à Narbonne. Je voulais retrouver ça. Mâcon, c’est parfait pour moi. Je revis » déclare le père de famille - il a 3 enfants - qui se dit prêt à fouler les pelouses françaises jusqu’à ses… 40 ans. Ensuite, et seulement, ensuite, il retournera au pays, livrer ses secrets sur la mêlée. « La première ligne fidjienne a gagné le respect l’année passée en Coupe du monde. Avant, les avants n’aimaient pas ça. J’ai envie d’aider les jeunes Fidjiens, et de leur enseigner la culture de la mêlée ».
 
Dernière édition:
On apprend que le joueur est un pilier droit de formation et qu'il a été sélectionné à ce poste chez les Fidji A.
 
on nous parle de ralepelle burden pour aller cherché un joueur de 37 ans qui avance plus qui a du mal a finir une mi temp en federale avec macon quel manque d ambition ca fait bien rire il nous prenne vraiment pour des quiche ce club il peut etre content picsouriviére il a pas du beaucoup casqué
Là tu vas te faire défoncer par les Rivièrolatres...
 
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