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USAP : La vision de François Gelez - Lindependant.fr

c'est comme dans la vie.; un bon patron ne fait pas toujours un bon employé et un bon employé ne fait pas toujours un bon patron.
Alors pour GELEZ.......
Ce que l'on peut dire c'est que c'était un teigneux, qui ne lâchait jamais rien et n'avais peur sur aucun stade....
 
Oui mais Mafi c'est un centre et on en a besoin au centre ,associé selon moi de préférence a Piukala ou Torffs.Cocagi j'attendrai encore un peu pour me prononcer
completement d accord, torf ou piukala en 12, mafi ou cocagi en 13, aujourd'hui il passe un mini test en esperant etre servi, parceque la semaine derniere en 13 torf a pas vu la gonfle, mafi les sautées 1 c'est pas son truc, mais au moins ça a fait briller piukala.
 
Equilibre d'équipe, positionnement de Mafi en 10, influence de Christian Lanta... A l'heure de se déplacer à Aurillac, l'entraîneur des 3/4 de l'USAP fait le point sur les progrès et insuffisances de sa ligne d'attaque

François Gelez l'assure : "Avant Mont-de-Marsan (NDLR : victoire 19-16), on a dit qu'on pourrait perdre sans que ce soit grave, mais il est évident qu'une défaite inaugurale à domicile, même si on a confiance dans le groupe, est fortement préjudiciable, car tout travail demande récompense.

Gelez et les trois-quarts
D'une manière générale, on a axé le recrutement sur la puissance pour rééquilibrer l'équipe. L'an dernier, on manquait de joueurs pénétrants pour nous mettre dans l'avancée sur les premiers temps de jeu. Il y a aussi des joueurs comme Sione Piukala qui sont revenus de blessure. Cette première composition d'équipe comporte aussi des inconvénients, notamment en terme de finition et de vitesse. Donc il faut trouver les bons équilibres, rien n'est figé. On a fait le choix de Nawaqatabu et Cocagi aux ailes parce qu'ils ont été très performants dans les matches amicaux. Avec Christian (Lanta, le manager), on part du principe que derrière il faut mettre les meilleurs, quel que soit le poste. On peut, entre guillemets, magouiller une équipe, mais l'important c'est que les joueurs les plus en forme soient sur le terrain. Même si contre Mont-de-Marsan notre production globale n'a pas été extraordinaire en terme de volume, on sait qu'on va progresser. Jusqu'à présent, on a surtout travaillé la défense et la conquête. Le reste va suivre

Gelez et le jeu au pied
On entend les doutes concernant le jeu au pied de Mafi et on en mesure les risques. Mais il faut regarder l'historique : ce n'était absolument pas prévu en juillet dernier que Mafi joue en N.10. Les circonstances (blessure de Selponi, suspension de Séguy) ont fait qu'on a pensé à lui car il nous amène une intensité offensive par ses qualités de vitesse. La limite concerne la longueur de son jeu au pied défensif, c'est pourquoi on fait beaucoup travailler Julien Farnoux (l'arrière). On a un équilibre à trouver. Concernant le jeu offensif, Mafi sait faire (diagonales, chandelles...), il a la technique. Tout est une question de timing : le bon ouvreur anticipe son coup de pied, tandis que les autres le jouent sous la contrainte quand ils sont acculés. Pour que ça devienne naturel, il faut enchaîner les matches. On n'a pas Dan Carter avec nous, un mec qui sait tout faire. Encore une fois, Mafi n'est pas seul, il y a Écochard, Farnoux, Belie et Selponi. En début de saison, avec de bonnes conditions climatiques, la dimension du jeu au pied est assez faible. On sait que l'option Mafi en dix ne va pas durer toute la saison, mais c'est une super solution.

Gelez et l'état d'esprit
Je ne veux pas rentrer dans une comparaison avec les années précédentes. La certitude qu'on a, c'est que le groupe a énormément travaillé pendant deux mois, beaucoup plus que les autres années, pour x raisons. Ce travail physique en commun, basé sur la course, a créé une solidarité de groupe car les garçons ont souffert ensemble. On a aussi édicté des règles de vie et de travail un peu plus strictes. Je pense que ça a permis au groupe, de se construire. Après, tout est hyper fragile. On ne va pas dire que tout est génial. C'est dans la tempête qu'on va voir de quel bois on est fait.

Gelez et Lanta
Il est certain qu'on a plus de temps à consacrer aux joueurs quand on est trois que deux. Christian Lanta a amené son expérience mais surtout sa sérénité. Avec Philippe (Benetton, l'entraîneur des avants), on a l'avantage de le connaître. On a donc pu entrer dans le vif du sujet directement, sans phase de découverte. Les joueurs ont très vite adhéré à son discours et à ses méthodes. Christian sait où il va, il anticipe les problèmes avant l'heure, car il en a vu d'autres. Son expérience a eu un impact immédiat sur les jeunes. Si Christian dit quelque chose, c'est que c'est vrai. Il a la légitimité de trente ans d'expérience, il a été champion de France, il a connu beaucoup de clubs et de grands joueurs... Les joueurs le ressentent.

Gelez et Aurillac

On s'attend à un match très compliqué. On sait qu'il faudra faire un exploit mais, en même temps, quelle pression a-t-on ? Là, ce n'est pas le résultat qu'on va juger mais la manière. On parle d'état d'esprit, de solidarité, de combat, mais ce qui est important, c'est de le développer à l'extérieur, quel que soit le scénario du match. Il ne faudra rien lâcher et mettre de l'intensité durant 80 minutes. Ce voyage est une étape de notre construction, dans un contexte forcément hostile : Aurillac est finaliste en titre et invaincu chez lui. On va voir si l'USAP est capable de monter d'un cran
Je me disais bien... Gelez, "une vision"... La Vierge ? Serait-il devenu hegelien ?
 
On aura pointé du doigt les limites , hier soir .
 
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