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Usap : Bon Pour Export - Lindependant.fr
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- independant usap
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Hakatalan
USAPiste sérieux
Forte de 59 points après 19 journées, l’USAP réalise - à ce stade du championnat - son meilleur parcours depuis sa descente (50 pts en 2015).
Son rendement à Aimé-Giral est pourtant inégal.
Parmi le Top 6, elle seule a concédé deux défaites à domicile.
Qu’importe, cinq victoires et un nul à l’extérieur lui permettent de compenser.
23 points : record battu.
Vendredi soir, la victoire à Dax (16-26) a permis à Mafi et les Catalans de dépasser leur meilleur total de points à l’extérieur en Pro D2 (20 pts en 2015).
Une marque susceptible d’évoluer au gré des cinq déplacements à honorer : Grenoble, Montauban, Nevers, Massy et Mont-de-Marsan, dans l’ordre.
« La saison dernière, ces matches-là nous faisaient défaut, jugeait le demi de mêlée Tom Ecochard au sortir du succès landais. Cette année on voit qu’on ne voyage pas trop mal. »
Première attaque (22,4 pts) et troisième défense (23,5 pts) à l’extérieur, l’USAP du trio Lanta-Freshwater-Arlettaz se mord encore les doigts de la défaite à Colomiers, au fin fond des arrêts de jeu (27-25).
Ses autres défaites ne souffrent d’aucune contestation.
Dans le détail, les Catalans font le forcing en seconde période : ils ont été menés au score sept fois à la mi-temps, mais n’ont concédé que quatre défaites.
En phase d’attaque, l’USAP se déchaîne après la reprise.
Sur les dix matches disputés par-delà la frontière de Salses, elle a inscrit cinq essais en première mi-temps, contre quinze en seconde.
En moyenne, l’USAP marque 8 pts avant la pause et en rajoute 15 jusqu’au coup de sifflet final.
Du simple au double.
Le constat veut que, sauf exception, les meilleures équipes à l’extérieur basculent vers le Top 14. Sur les quatre dernières saisons, les deux formations les plus performantes en déplacement ont été promues, à une exception près (Albi en 2015).
Une statistique à éprouver avec les nouvelles règles d’accession.
Reste qu’à ce jour, il suffirait à l’USAP de remporter ses six matches à domicile, même sans le moindre bonus, pour d’ores et déjà battre son record de points en championnat (82 en 2015).
Alors qu’Aurillac sera l’hôte d’Aimé-Giral vendredi (20 h 30), Tom Ecochard n’en demande pas tant : « On aimerait faire un match plein à domicile, ça fait longtemps qu’on n’en a pas fait. »
Son rendement à Aimé-Giral est pourtant inégal.
Parmi le Top 6, elle seule a concédé deux défaites à domicile.
Qu’importe, cinq victoires et un nul à l’extérieur lui permettent de compenser.
23 points : record battu.
Vendredi soir, la victoire à Dax (16-26) a permis à Mafi et les Catalans de dépasser leur meilleur total de points à l’extérieur en Pro D2 (20 pts en 2015).
Une marque susceptible d’évoluer au gré des cinq déplacements à honorer : Grenoble, Montauban, Nevers, Massy et Mont-de-Marsan, dans l’ordre.
« La saison dernière, ces matches-là nous faisaient défaut, jugeait le demi de mêlée Tom Ecochard au sortir du succès landais. Cette année on voit qu’on ne voyage pas trop mal. »
Première attaque (22,4 pts) et troisième défense (23,5 pts) à l’extérieur, l’USAP du trio Lanta-Freshwater-Arlettaz se mord encore les doigts de la défaite à Colomiers, au fin fond des arrêts de jeu (27-25).
Ses autres défaites ne souffrent d’aucune contestation.
Dans le détail, les Catalans font le forcing en seconde période : ils ont été menés au score sept fois à la mi-temps, mais n’ont concédé que quatre défaites.
En phase d’attaque, l’USAP se déchaîne après la reprise.
Sur les dix matches disputés par-delà la frontière de Salses, elle a inscrit cinq essais en première mi-temps, contre quinze en seconde.
En moyenne, l’USAP marque 8 pts avant la pause et en rajoute 15 jusqu’au coup de sifflet final.
Du simple au double.
Le constat veut que, sauf exception, les meilleures équipes à l’extérieur basculent vers le Top 14. Sur les quatre dernières saisons, les deux formations les plus performantes en déplacement ont été promues, à une exception près (Albi en 2015).
Une statistique à éprouver avec les nouvelles règles d’accession.
Reste qu’à ce jour, il suffirait à l’USAP de remporter ses six matches à domicile, même sans le moindre bonus, pour d’ores et déjà battre son record de points en championnat (82 en 2015).
Alors qu’Aurillac sera l’hôte d’Aimé-Giral vendredi (20 h 30), Tom Ecochard n’en demande pas tant : « On aimerait faire un match plein à domicile, ça fait longtemps qu’on n’en a pas fait. »
doc27
Passe du temps sur le forum
et c'est souvent valable !
ils devraient recadrer avant la match, on ferait des meilleure entames !
C'est un des principaux reproches que je ferais à notre équipe : devoir attendre la mi-temps pour changer son fusil d'épaule.
Océan
Titan du forum
Oui, bizarre. Manque de leaders clairvoyants ?
gynojeje
Passe du temps sur le forum
y aussi le fait que les équipes de bas de tableau sont en sur régime sur une mi temps et plongent en seconde , à vannes , à dax , à bayonne , à carcassonne , à narbonne cela a été le cas
la difference par rapport à la saison dernière c'est qu'on panique pas sur de notre force et ça fini par craquer en face
lebowski
USAPiste sérieux
C'est quand même dommage cette inconstance à domicile, surtout le match contre MdM qui fait vraiment tâche. Ca fait combien d'années qu'on a pas fini une saison invaincu à domicile ? 2009-2010 je crois.
Mais bon c'est de plus en plus difficile d'être maître chez soi dans ce rugby, je me rappelle de nos 2 ans d'invincibilité à Giral dans les années 2000, le psychodrame quand Biarritz l'avait fait tomber sous la neige, à l'époque c'était la grande mode des séries d'invincibilité à domicile, un vrai objectif et limite une culture pour certaines équipes comme nous ou Bourgoin (la Cathédrale Aimé-Giral, le Chaudron de Rajon ect...).
On avait d'ailleurs brisé celui de presque 4 ans des berjalliens pour les éliminer de la course aux demis grâce à une passe au pied légendaire de N.Laharrague, bon c'était à Geoffroy Guichard, mais quel kiff de briser une série comme ça !
Ca faisait aussi partie de l'âme de ce championnat, qui n'en a plus vraiment aujourd'hui.
Mais bon c'est de plus en plus difficile d'être maître chez soi dans ce rugby, je me rappelle de nos 2 ans d'invincibilité à Giral dans les années 2000, le psychodrame quand Biarritz l'avait fait tomber sous la neige, à l'époque c'était la grande mode des séries d'invincibilité à domicile, un vrai objectif et limite une culture pour certaines équipes comme nous ou Bourgoin (la Cathédrale Aimé-Giral, le Chaudron de Rajon ect...).
On avait d'ailleurs brisé celui de presque 4 ans des berjalliens pour les éliminer de la course aux demis grâce à une passe au pied légendaire de N.Laharrague, bon c'était à Geoffroy Guichard, mais quel kiff de briser une série comme ça !
Ca faisait aussi partie de l'âme de ce championnat, qui n'en a plus vraiment aujourd'hui.