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Un peu d'histoire ...
- Auteur du sujet Ousap
- Date de début
18 ans, ****** !
Il y a 18 ans donc je prenais la route avec 5 autres fadas. On coupe plein nord par l'Auvergne, à Bourges un indigène pense que nous sommes une équipe de pelote basque, à Calais on donne de nos nouvelles sur France Bleu Roussillon.
Qui va vouloir conduire à gauche ?
On fait une pause repas peu après notre arrivée chez les Britons. On se rend compte que si on repart tout de suite on peut espérer embarquer vers minuit trente sur un ferry, et faire la traversée de nuit plutôt que d'attendre sur la côte galloise. On fonce !
On lâche notre véhicule sur un quai d'Holyhead et on va s'écrouler de fatigue dans les salons du ferry.
Petit déjeuner dans un snack de Dublin. La fille qui débarrasse les tables est de Palafrugell et est ravie de voir du sang et or dans la grisaille du petit matin irlandais.
La foule des supporters commence à emplir rues, magasins et pubs.
On se laisse emporter jusqu'à Lansdowne Road, le vieux, le "vrai" ! Avec la ligne de chemin de fer !
Le stade à moitié plein, mais ça crie et ça chante.
Et ce match ...
Retour en centre ville. Guinness et fish'n chips pour tout le monde. Un peu trop de Guinness.
On saute dans un taxi : le bateau n'attendra pas.
On retrouve notre minibus dans la nuit noire. Et on repart.
"Qui conduit à gauche ?
- Celui qui ne dort pas."
Dans le ferry trans-Manche on investit le quartier des routiers et on peut prendre une douche salutaire (deux jours dans notre "jus" et des rots et autres dégazages de bière brune ... ça attaque les muqueuses olfactives)
Les zombies d'après match ont repris du poil de la bête, on refait X fois le match tout au long des autoroutes de France, on s'aperçoit sur la photo de la une de L'Equipe achetée en chemin.
23h ... on arrive à Cabestany. Le groupe se sépare.
On remettra ça l'an prochain, mais pour Paris "seulement".
Qui va vouloir conduire à gauche ?
On fait une pause repas peu après notre arrivée chez les Britons. On se rend compte que si on repart tout de suite on peut espérer embarquer vers minuit trente sur un ferry, et faire la traversée de nuit plutôt que d'attendre sur la côte galloise. On fonce !
On lâche notre véhicule sur un quai d'Holyhead et on va s'écrouler de fatigue dans les salons du ferry.
Petit déjeuner dans un snack de Dublin. La fille qui débarrasse les tables est de Palafrugell et est ravie de voir du sang et or dans la grisaille du petit matin irlandais.
La foule des supporters commence à emplir rues, magasins et pubs.
On se laisse emporter jusqu'à Lansdowne Road, le vieux, le "vrai" ! Avec la ligne de chemin de fer !
Le stade à moitié plein, mais ça crie et ça chante.
Et ce match ...
Retour en centre ville. Guinness et fish'n chips pour tout le monde. Un peu trop de Guinness.
On saute dans un taxi : le bateau n'attendra pas.
On retrouve notre minibus dans la nuit noire. Et on repart.
"Qui conduit à gauche ?
- Celui qui ne dort pas."
Dans le ferry trans-Manche on investit le quartier des routiers et on peut prendre une douche salutaire (deux jours dans notre "jus" et des rots et autres dégazages de bière brune ... ça attaque les muqueuses olfactives)
Les zombies d'après match ont repris du poil de la bête, on refait X fois le match tout au long des autoroutes de France, on s'aperçoit sur la photo de la une de L'Equipe achetée en chemin.
23h ... on arrive à Cabestany. Le groupe se sépare.
On remettra ça l'an prochain, mais pour Paris "seulement".
On s'en sort bien en phase de poules, quand même.
Cette aventure s'est jouée à un "goal average particulier" près.