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pour Suavite47 .....
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Hasan, Rué, Crenca, Porcu, Couzinet, LE 5 de devant des années 2000.
je parle de l'avenir.de l'USAP et de la situation actuelle du Sua.Je ne compare pas les deux situations aujourd'hui
Dernière édition par un modérateur:
Rien à ajouter à ce qu'a dit Océan.
Tant qu'il y aura des gens compétents au sein de notre club, on ne finira pas comme le SUA, et des gens compétents à l'USAP il y en a. Fais leur confiance.
Si le mec se fait insulter, normal qu'à un moment donné, il veuille leur donner sa "version des choses"... mrgreen
SUA : le président chahuté et le maire résigné, il parle aussi de l'USAP ! :?
Agen : « Le SUA va devoir rebondir »
Jean Dionis du Séjour admet que la descente est quasi inéluctable pour le SUA Rugby. Le maire analyse la situation qu’il juge critique et assure le club de son soutien.
« Sud Ouest ». Quel sentiment vous anime après la défaite samedi face à Bayonne qui condamne, quasiment, le SUA à la descente ?
Jean Dionis du Séjour. Je suis d’abord animé par beaucoup de tristesse. Je pense beaucoup aux gens qui se mobilisent pour le club, notamment les bénévoles, les éducateurs et les dirigeants, lesquels paient de leur personne pour ce club. Je pense aussi aux joueurs. J’ai d’ailleurs pas mal échangé dimanche avec Alexis Balès. Aussi, il ne faut jamais oublier ce que représente le rugby pour et dans notre culture à Agen. Le SUA est aujourd’hui un formidable support de communication pour la ville.
Quel est l’esprit de vos échanges avec les joueurs ?
Le message est clair : ils doivent montrer qu’ils sont de véritables professionnels et donc honorer pleinement leur contrat de travail. Ils doivent prouver qu’ils sont des hommes de cœur, des hommes d’honneur et tout faire pour donner la meilleure image qui soit lors des cinq dernières rencontres.
Vous semblez « accepter » le fait que la descente est inéluctable ?
Oui, mathématiquement, rien n’est fait. Mais la descente est désormais quasi inévitable. Indispensable, le temps de l’analyse de la saison va venir, elle sera douloureuse car elle se traduit sur un échec.
La ville, et donc le maire, aura-t-il son mot à dire, justement, à l’heure de l’analyse et des décisions à prendre ?
La seule chose que je retiendrai en priorité et que je réclame : chacun doit rester à sa place. Le problème n’est pas le même si l’on est, ou pas, à la direction du club et donc à la SASP du SUA. Une SASP (société anonyme sportive professionnelle) est une société anonyme de droit privé. C’est elle qui dirige le club, travaille, analyse, diagnostique et décide. C’est à la SASP de construire un plan d’action. Les partenaires, dont les collectivités locales, sont certes parties prenantes, mais représentent ‘‘seulement’’ 10% du budget.
Les collectivités n’ont donc pas leur mot à dire ?
À côté de la SASP, il y a l’association SUA où la mairie a un rôle de financement et d’animation notamment au niveau de la culture des jeunes. Il y a donc des choses à faire à partir de la réalité mais dans chacune des structures, de manière complémentaire. Il ne faut pas tout mélanger. Après, dans ces périodes difficiles, il y a toujours des gens qui arrivent avec d’excellentes solutions mais qui se révèlent toujours vaines.
Ces difficultés sont-elles insurmontables ?
Avant tout, il convient d’analyser la situation et en tirer un diagnostic. Aujourd’hui, le rugby professionnel en France est dans une situation instable. Il faut apporter du sérieux et de la maîtrise de soi. Oui, le SUA est dans une situation financière délicate. Mais Perpignan l’est encore plus et le club d’Oyonnax voudra-t-il monter en Top 14 ? Si c’est le cas, il devra augmenter sérieusement son budget (NDLR : son budget s’élève cette saison à 5,5 millions d’euros, celui de Mont-de-Marsan est de 6,2 millions d’eu ros).
Vous craignez pour les finances du club agenais ?
Tous les clubs sont placés sous le contrôle de la DNACG (Direction nationale d’aide et de contrôle de gestion). Il faut voir comment la SASP SUA va terminer la saison. Elle a dit qu’elle ouvrirait son capital. Va-t-elle le confirmer ? Et cette ouverture rencontrera-t-elle un succès (NDLR : le budget du SUA est de 13,1 millions d’euros et le président, Alain Tingaud, a promis de combler un manque à gagner de 1,3 millions d’euros).
Vous craignez une descente non pas en Pro D2 mais en Fédérale ?
Nous n’en sommes vraiment pas là. Le club avait su rebondir après sa descente en 2007. Il rebondira encore et je peux assurer que la ville d’Agen fera partie d’une solution qui le permettra.
http://www.sudouest.fr/2013/03/12/le-sua-va-devoir-rebondir-991983-773.php
De quoi veut-il parler et surtout quelles sont ses sources ? :?
Agen : « Le SUA va devoir rebondir »
Jean Dionis du Séjour admet que la descente est quasi inéluctable pour le SUA Rugby. Le maire analyse la situation qu’il juge critique et assure le club de son soutien.
« Sud Ouest ». Quel sentiment vous anime après la défaite samedi face à Bayonne qui condamne, quasiment, le SUA à la descente ?
Jean Dionis du Séjour. Je suis d’abord animé par beaucoup de tristesse. Je pense beaucoup aux gens qui se mobilisent pour le club, notamment les bénévoles, les éducateurs et les dirigeants, lesquels paient de leur personne pour ce club. Je pense aussi aux joueurs. J’ai d’ailleurs pas mal échangé dimanche avec Alexis Balès. Aussi, il ne faut jamais oublier ce que représente le rugby pour et dans notre culture à Agen. Le SUA est aujourd’hui un formidable support de communication pour la ville.
Quel est l’esprit de vos échanges avec les joueurs ?
Le message est clair : ils doivent montrer qu’ils sont de véritables professionnels et donc honorer pleinement leur contrat de travail. Ils doivent prouver qu’ils sont des hommes de cœur, des hommes d’honneur et tout faire pour donner la meilleure image qui soit lors des cinq dernières rencontres.
Vous semblez « accepter » le fait que la descente est inéluctable ?
Oui, mathématiquement, rien n’est fait. Mais la descente est désormais quasi inévitable. Indispensable, le temps de l’analyse de la saison va venir, elle sera douloureuse car elle se traduit sur un échec.
La ville, et donc le maire, aura-t-il son mot à dire, justement, à l’heure de l’analyse et des décisions à prendre ?
La seule chose que je retiendrai en priorité et que je réclame : chacun doit rester à sa place. Le problème n’est pas le même si l’on est, ou pas, à la direction du club et donc à la SASP du SUA. Une SASP (société anonyme sportive professionnelle) est une société anonyme de droit privé. C’est elle qui dirige le club, travaille, analyse, diagnostique et décide. C’est à la SASP de construire un plan d’action. Les partenaires, dont les collectivités locales, sont certes parties prenantes, mais représentent ‘‘seulement’’ 10% du budget.
Les collectivités n’ont donc pas leur mot à dire ?
À côté de la SASP, il y a l’association SUA où la mairie a un rôle de financement et d’animation notamment au niveau de la culture des jeunes. Il y a donc des choses à faire à partir de la réalité mais dans chacune des structures, de manière complémentaire. Il ne faut pas tout mélanger. Après, dans ces périodes difficiles, il y a toujours des gens qui arrivent avec d’excellentes solutions mais qui se révèlent toujours vaines.
Ces difficultés sont-elles insurmontables ?
Avant tout, il convient d’analyser la situation et en tirer un diagnostic. Aujourd’hui, le rugby professionnel en France est dans une situation instable. Il faut apporter du sérieux et de la maîtrise de soi. Oui, le SUA est dans une situation financière délicate. Mais Perpignan l’est encore plus et le club d’Oyonnax voudra-t-il monter en Top 14 ? Si c’est le cas, il devra augmenter sérieusement son budget (NDLR : son budget s’élève cette saison à 5,5 millions d’euros, celui de Mont-de-Marsan est de 6,2 millions d’eu ros).
Vous craignez pour les finances du club agenais ?
Tous les clubs sont placés sous le contrôle de la DNACG (Direction nationale d’aide et de contrôle de gestion). Il faut voir comment la SASP SUA va terminer la saison. Elle a dit qu’elle ouvrirait son capital. Va-t-elle le confirmer ? Et cette ouverture rencontrera-t-elle un succès (NDLR : le budget du SUA est de 13,1 millions d’euros et le président, Alain Tingaud, a promis de combler un manque à gagner de 1,3 millions d’euros).
Vous craignez une descente non pas en Pro D2 mais en Fédérale ?
Nous n’en sommes vraiment pas là. Le club avait su rebondir après sa descente en 2007. Il rebondira encore et je peux assurer que la ville d’Agen fera partie d’une solution qui le permettra.
http://www.sudouest.fr/2013/03/12/le-sua-va-devoir-rebondir-991983-773.php
De quoi veut-il parler et surtout quelles sont ses sources ? :?
Pour moi , le SU Agen c'est le club de Ferrasse , c'est celui qui nous a toujours créer des problèmes, un club que les arbitres ont protégé trop longtemps , un club qui a toujours magouillé , c'est par exemple le club où jouait Benetton qui s'était cassé le bras en tapant sur Goutta , c'est le club dont l'entraineur Deylaud avait harangué les spectateurs à Giral du temps de Saisset entraineur.
Chacun à ses propres souvenirs
Donc sa re-descente en ProD2 me fait grand plaisir et puissions-nous accélérer cette descente en ramenant 4 point .
Chacun à ses propres souvenirs
Donc sa re-descente en ProD2 me fait grand plaisir et puissions-nous accélérer cette descente en ramenant 4 point .
A ce moment là, je pense que les agenais seront démobilisés et 5 points seront tout à fait envisageables.