Le rugby français est une nouvelle fois secoué par les conséquences dramatiques des commotions cérébrales. Le deuxième ligne international de l’ASM Clermont, Sébastien Vahaamahina, âgé de 31 ans et fort de 46 sélections, a annoncé qu’il était contraint de mettre fin à sa carrière à la suite d’une nouvelle commotion subie en décembre dernier. Ce dernier reproche au club auvergnat de ne pas assumer ses responsabilités, ce qui a entraîné un dénouement amer pour le joueur.
En effet, Vahaamahina explique dans une interview accordée à L’Équipe que cette commotion est la dixième qu’il subit en six ans, et que les symptômes qu’il éprouve sont de plus en plus forts après chaque choc. Il évoque des maux de tête, des vertiges et de la fatigue, qui ont un impact sur sa vie professionnelle et privée. Après deux opérations, le joueur dit avoir repris une vie presque normale, mais vit avec « une épée tranchante au-dessus de la tête ».
Le joueur a également dénoncé le manque de considération de son club, qui ne lui aurait fait aucune proposition pour mettre fin correctement à son histoire avec l’ASM Clermont. Il explique avoir reçu un courrier de la Fédération française de rugby annonçant le retrait de sa licence à la suite d’une lettre du médecin de l’ASM et d’une recommandation de la commission médicale, sans avoir été convoqué ni informé préalablement. Cette situation a conduit Vahaamahina à déclarer qu’il avait honte de son club, en cours de licenciement pour inaptitude.
Le cas de Sébastien Vahaamahina n’est pas isolé à l’ASM Clermont. En effet, deux autres joueurs, Jamie Cudmore et Alexandre Lapandry, ont déposé une plainte contre le club pour « mise en danger de la vie d’autrui ». Ces dénonciations répétées de la part des joueurs mettent en lumière les lacunes des clubs en matière de protection de la santé de leurs joueurs. Les commotions cérébrales sont un sujet de préoccupation majeur pour le rugby français et il est urgent que des mesures soient prises pour garantir la sécurité des joueurs sur le terrain.
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L’article Rugby à XV : Contraint d’arrêter sa carrière après une nouvelle commotion, l’ancien joueur de l’USAP Sébastien Vahaamahina accuse Clermont. est apparu en premier sur USAP Infos.
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En effet, Vahaamahina explique dans une interview accordée à L’Équipe que cette commotion est la dixième qu’il subit en six ans, et que les symptômes qu’il éprouve sont de plus en plus forts après chaque choc. Il évoque des maux de tête, des vertiges et de la fatigue, qui ont un impact sur sa vie professionnelle et privée. Après deux opérations, le joueur dit avoir repris une vie presque normale, mais vit avec « une épée tranchante au-dessus de la tête ».
Le joueur a également dénoncé le manque de considération de son club, qui ne lui aurait fait aucune proposition pour mettre fin correctement à son histoire avec l’ASM Clermont. Il explique avoir reçu un courrier de la Fédération française de rugby annonçant le retrait de sa licence à la suite d’une lettre du médecin de l’ASM et d’une recommandation de la commission médicale, sans avoir été convoqué ni informé préalablement. Cette situation a conduit Vahaamahina à déclarer qu’il avait honte de son club, en cours de licenciement pour inaptitude.
Le cas de Sébastien Vahaamahina n’est pas isolé à l’ASM Clermont. En effet, deux autres joueurs, Jamie Cudmore et Alexandre Lapandry, ont déposé une plainte contre le club pour « mise en danger de la vie d’autrui ». Ces dénonciations répétées de la part des joueurs mettent en lumière les lacunes des clubs en matière de protection de la santé de leurs joueurs. Les commotions cérébrales sont un sujet de préoccupation majeur pour le rugby français et il est urgent que des mesures soient prises pour garantir la sécurité des joueurs sur le terrain.
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