• Rentre dans la mêlée des discussions enflammées ! :) Inscris toi en 2 minutes, et même en 10 secondes grâce à ton compte Facebook ! Les supporters t'attendent pour partager des avis ! JE M'INSCRIS ›››

Prolongation De Bousquet

Ce qui m'emme****** c'est que nos espoirs ne sont pas, pour la plus part, des joueurs issus de notre école de rugby mais qu'on a "pillé " à d'autres clubs , d'une certaine manière.
Pourquoi vouloir empêcher un jeune d'accéder à un club plus "huppé" , de jouer à un niveau supérieur , de gagner plus. De quel droit?
Le problème ç est le coût de formation
Et l indemnité de misère ou Le pas d idemnite que tu reçois
Ces mecs on les recupere avec du potentiel qu on fait fructifier
La politique actuelle va tuer les centres de formations , si les clubs actuels forment pour d’autres sans aucun bénéfice , je vois plus trop l intérêt pour eux de faire de la formation
 
Le problème ç est le coût de formation
Et l indemnité de misère ou Le pas d idemnite que tu reçois
Ces mecs on les recupere avec du potentiel qu on fait fructifier
La politique actuelle va tuer les centres de formations , si les clubs actuels forment pour d’autres sans aucun bénéfice , je vois plus trop l intérêt pour eux de faire de la formation
C'est contractuellement que la question doit être traitée. Les joueurs doivent s'engager vis à vis des clubs qui les forment, et réciproquement. Mais le veulent ils ?
 
C'est contractuellement que la question doit être traitée. Les joueurs doivent s'engager vis à vis des clubs qui les forment, et réciproquement. Mais le veulent ils ?
Dan la vie "civile" , il y a des entreprises qui forment des jeunes dans leur centre de formation propre , il y a toujours signature d'un contrat avec un engagement sur plusieurs année: le jeune s'engage à rester un certain nombre d'année dan l'entreprise mais en contre-partie l'entreprie s'engage à verser un salaire .

C'est bien de défendre l’intérêt des centres de formation mais ils ne faut pas oublié l’intérêt du jeune joueur .
Combien de jeunes ont été "recrutés" dans ces centres de formation et ce sont retrouvé sans rien quand ils ont "passé" l'age.
 
Dan la vie "civile" , il y a des entreprises qui forment des jeunes dans leur centre de formation propre , il y a toujours signature d'un contrat avec un engagement sur plusieurs année: le jeune s'engage à rester un certain nombre d'année dan l'entreprise mais en contre-partie l'entreprie s'engage à verser un salaire .

C'est bien de défendre l’intérêt des centres de formation mais ils ne faut pas oublié l’intérêt du jeune joueur .
Combien de jeunes ont été "recrutés" dans ces centres de formation et ce sont retrouvé sans rien quand ils ont "passé" l'age.
C'est pour cela que je parle d'engagement réciproque, et que je doute que les clubs y soient favorables.
 
C'est contractuellement que la question doit être traitée. Les joueurs doivent s'engager vis à vis des clubs qui les forment, et réciproquement. Mais le veulent ils ?
Tous les cas sont tellement différents que tu ne peux pas trouver une solution unique.
Puis on manque totalement d'objectivité car on se voit dans la position du club formateur où les gros viennent se servir. Mais on fait exactement pareil avec des plus petits. De même, il faut se mettre à la place des joueurs. Est-ce qu'un très grand espoir national doit rester deux ou trois ans à jouer le maintien en D2 ou jouer en Fédérale alors qu'il pourrait s'épanouir plus haut ? Est-ce qu'il est normal de bloquer un jeune qui sera troisième ou quatrième choix alors qu'il pourrait être titulaire ailleurs ?

Dans l'immédiat, augmenter les indemnités de formation. Et après ? Faire comme au foot et payer les transferts ? Si t'as une pépite, la faire payer au prix fort par les gros ? Dans tous les cas, tu ne pourras obliger un jeune à signer un contrat contre sa volonté.

Au passage, des transactions interviennent aussi du haut vers le bas.
 
Dernière édition:
Tous les cas sont tellement différents que tu ne peux pas trouver une solution unique.
Puis on manque totalement d'objectivité car on se voit dans la position du club formateur où les gros viennent se servir. Mais on fait exactement pareil avec des plus petits. De même, il faut se mettre à la place des joueurs. Est-ce qu'un très grand espoir national doit rester deux ou trois ans à jouer le maintien en D2 ou jouer en Fédérale alors qu'il pourrait s'épanouir plus haut ? Est-ce qu'il est normal de bloquer un jeune qui sera troisième ou quatrième choix alors qu'il pourrait être titulaire ailleurs ?

Dans l'immédiat, augmenter les indemnités de formation. Et après ? Faire comme au foot et payer les transferts ? Si t'as une pépite, la faire payer au prix fort par les gros ? Dans tous les cas, tu ne pourras obliger un jeune à signer un contrat contre sa volonté.

Au passage, des transactions interviennent aussi du haut vers le bas.
Je en vois pas pourquoi tu me cites, ta réponse est à contre sens de ce que j'ai écris :
- Le contrat permet justement de traiter chaque cas de façon individuelle, et de prévoir (borner) les conditions relatives au futur du joueur une fois sa formation terminée: ce n'est donc pas une solution unique;
- Je ne suis pas dans le délire du gros qui pille le petit, en parlant de contrat entre joueur et formateur j'exclue volontairement dans mon propos l'intervention d'un tiers;
- Et j'exclue par là même le fait que ce soit celui qui embauche qui doive payer. Même si dans les faits, on peut supposer que les pénalités dues au non respect du contrat seraient prises en charge par le recruteur;
- Un contrat ne se signe pas de force, il se négocie et n'est validé qu'une fois que les deux partie se sont mises d'accord sur l'ensemble des clauses qu'il contient : le contrat peut justement prévoir et éviter une situation de blocage si le joueur intéresse un club mieux côté ou une rémunération nettement supérieure. Il peut aussi définir les contreparties possibles pour le club.

Pour moi, et pour revenir sur ce que disait Paulo, le plus important est que pour ceux qui ont validé leur formation, il y ait un engagement de la part du club à les placer dans le monde professionnel que ce soit en France ou ailleurs. Ça limiterait sans doute le nombre de candidats sur les deux dernières années de formation mais ça éviterait de faire miroiter une carrière pro à des jeunes qui ne seraient là que pour faire le nombre. Un droit de préemption à l'embauche pour le club formateur me semble légitime du moment qu'il est soumis à conditions.
 
Retour
Haut