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Pro D2/USAP - Saint-François au milieu du gué - Article Indép

Euh le journaliste ne doit avoir l'accord que de son rédacteur en chef pour publier un article.
Oui, il lui faut l'accord de son rédac' chef
Si un journaliste doit demander a l'intéressé si il peut publier l'article c'est grave ! Bonjour la liberté de la presse !

...Mais la plupart du temps, le journaliste transmet l'article à l’intéressé avant parution, ne serait-ce que pour s'assurer qu'il n'y a pas eu une incompréhension sur un sujet. Du moins pour ce genre d'article, ne parlant pas de l'actualité immédiate et préparé sur plusieurs jours.

voir :liberation : interviews-la-presse-a-l-epreuve-de-la-relecture
ou bien monjournalisme : oui-a-la-relecture-des-interviews-avant-publication/


En France, la pratique de la relecture est aussi une procédure habituelle. En témoigne cette interview de Nathalie Kosciusko-Morizet au Figaro.fr en 2009, au sujet d'Hadopi, dont la version non-expurgée avait été dévoilée par le site Electron Libre. Ou encore cette interview de Nicolas Sarkozy en 2008, donnée aux lecteurs du Parisien, que nous évoquions ici. A lire l'article, Sarkozy aurait regretté devant les lecteurs du Parisien son emportement au salon de l'Agriculture (le fameux "Casse-toi pauv'con"). En réalité, ces regrets ont été rajoutés à posteriori, lors de la relecture par l'Elysée. Si la pratique de relecture des interviews est courante, et se justifie pour vérifier l'exactitude des propos, supprimer des questions qui sont posées, ou pire, rajouter une réponse, place Sarkozy "hors jeu", dénonçait Daniel Schneidermann dans cette chronique. Le Parisien, en l'acceptant, avait trompé ses lecteurs. Mais il avait tenté de regagner leur confiance en publiant, le lendemain, l'intégralité de l'interview, avant modification de l'Elysée.

Autre exemple, celui de Rue89, qui avait interviewé le Vert Alain Lipietz, et lui faisait dire : "Cécile Duflot est à la botte du PS et est prête à vendre père et mère pour devenir ministre". Mais Rue 89 avait fait relire son interview à Lipietz qui avait validé une version dans laquelle il disait simplement: "eux ils rêvent de devenir ministres et vendraient père et mère pour y arriver”, sans référence nominale à Duflot. Le texte avait donc été modifié par Rue89 après relecture de l'interviewé. Et comment procède-t-on à @si ? Pas de rejet à priori des demandes de relecture (uniquement des citations, jamais de l'article entier), qui peuvent être légitimes. Mais les modifications se font au cas par cas, très rarement. Et si nous estimons qu'une personne interrogée s'autocensure à posteriori, nous pouvons décider de ne pas publier du tout sa citation.
tiré de arrêt sur images

...Mais si vous préférez penser que non, ça ne fait jamais et que le journaliste est en enfoiré, libre à vous...
Pour rappel le journaliste qui a écrit cet article est Vincent Couture, celui là même qui écrit beaucoup sur l'USAP et qui n'a pas trop interêt à se facher avec Rivière s'il veut continuer à avoir des infos et à rentrer tranquilou à AG
 
Si un journaliste doit demander a l'intéressé si il peut publier l'article c'est grave ! Bonjour la liberté de la presse !



tu es sérieux quand tu écris ça ? pour toi , la liberté de la presse c'est avoir le droit de balancer des trucs sur la vie privée des gens ? tu dérailles ou quoi là ??
 
tu es sérieux quand tu écris ça ? pour toi , la liberté de la presse c'est avoir le droit de balancer des trucs sur la vie privée des gens ? tu dérailles ou quoi là ??

De quoi tu parles ? Moi je te parle du fait qu'il est illogique qu'un journaliste demande l'autorisation ou l'aval de l'intéressé pour réaliser une enquête !
Donc si je suis ton raisonnement les journalistes devraient demandé à Sarko et Bettancourt si ils peuvent sortir un article sur le financement du premier cité ? Les journalistes devraient demandés l'autorisation a DSK si ils peuvent publié une enquete sur se qui s'est passé au Sofitel?

Pour moi non ils doivent bossés en toute indépendance (comme la justice)!
 
La vraie question est de savoir pour qui Couture oeuvre véritablement en rédigeant cet article. Si ce n'est pas pour FR, alors on peut parier qu'après une interview très amicale où il a fait habilement son travail pour le faire parler, il se soit bien gardé de faire lire l'article au premier concerné. Tout dépend des accointances de Couture avec l'environnement du club et de ce qu'il croit être l'avenir de ce dernier. Si pour lui, FR ne va ou ne doit pas faire de vieux os, être en bons termes avec le président d’aujourd’hui a aucun intérêt.

Concernant le débat entre remontée et stagnation en pro D2, on peut faire tous les calculs que l'on veut mais il y a des choses que l'on ne peut prédire. Aujourd'hui, malgré la descente, le club a la meilleure affluence de la pro D2 et de loin; Si l'an prochain nous sommes en Top 14, je n'ai aucun doute sur la ferveur des supporters qui joueront leur rôle de seizième homme pour transcender son équipe qu'elle sait limitée et l'aider à conserver sa place dans une élite qu'elle n'aurait jamais du quitter. Ce qui ne serait sans doute pas arrivé sans le travail de sape et les erreurs de gestion de PG.

Le joueur cadre du vestiaire (peut-être a-t-il sa photo dans un cadre pour ses loyaux services au club) regrette une époque où il pouvait parler rugby avec son Président. Peut-être lui doit-il un contrat de trois ans que peu d'autres présidents lui auraient accordé du fait de son âge et de ses performances en baisse. Toujours est-il que ce joueur devrait regarder où en est le club aujourd'hui et se poser les bonnes questions. Diriger un club de rugby nécessite-t-il des compétences rugbystiques? C'est vrai que quand on fait le tour des présidents de clubs du top 14, on n'a que d'anciennes gloires du ballon ovale. Que ce joueur se contente de jouer au ballon et évite de réfléchir, c'est pas la qualité première des rugbymen et à part un journaliste véreux, ce qu'il pense n'a pas grand intérêt. S'il avait moins fait d'états d'âmes à l'arrivée de Delmas, et obtenu l'oreille bienveillante de son président rugbyman qui le comprenait, on n'en serait peut-être pas là.
 
De quoi tu parles ? Moi je te parle du fait qu'il est illogique qu'un journaliste demande l'autorisation ou l'aval de l'intéressé pour réaliser une enquête !
Donc si je suis ton raisonnement les journalistes devraient demandé à Sarko et Bettancourt si ils peuvent sortir un article sur le financement du premier cité ? Les journalistes devraient demandés l'autorisation a DSK si ils peuvent publié une enquete sur se qui s'est passé au Sofitel?

Pour moi non ils doivent bossés en toute indépendance (comme la justice)!


il y a une enquete sur l'usap et son président ? ah bon ! bosser en toute indépendance (si tu y crois) mais surtout en toute neutralité (ce qui n'est pas le cas) quand à la justice....parles moi donc du "mur des cons" . tu connais l'atteinte à la vie privée ?
 
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Le joueur cadre du vestiaire (peut-être a-t-il sa photo dans un cadre pour ses loyaux services au club) regrette une époque où il pouvait parler rugby avec son Président. Peut-être lui doit-il un contrat de trois ans que peu d'autres présidents lui auraient accordé du fait de son âge et de ses performances en baisse. Toujours est-il que ce joueur devrait regarder où en est le club aujourd'hui et se poser les bonnes questions. Diriger un club de rugby nécessite-t-il des compétences rugbystiques? C'est vrai que quand on fait le tour des présidents de clubs du top 14, on n'a que d'anciennes gloires du ballon ovale. Que ce joueur se contente de jouer au ballon et évite de réfléchir, c'est pas la qualité première des rugbymen et à part un journaliste véreux, ce qu'il pense n'a pas grand intérêt. S'il avait moins fait d'états d'âmes à l'arrivée de Delmas, et obtenu l'oreille bienveillante de son président rugbyman qui le comprenait, on n'en serait peut-être pas là.

Tous les "joueurs cadres" qui ont obtenu la tête de Delmas sont partis... poussés dehors, traités de "pas indispensables", ayant reçu des offres minimales du club
 
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