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[pro D2]- L’usap En Patronne - Lindependant.fr

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[PRO D2]- L’USAP en patronne


Superbe exploit des Catalans, vainqueurs avec la manière, hier (17-24). Tout devient possible.

Et la longue chevauchée de Jean-Bernard Pujol, sprintant crinière au vent sur un ballon de contre, crucifia Grenoble (24-17) le plus justement du monde à cinq minutes de la fin. Le baroud d’honneur des Isérois n’y changea rien. L’USAP était bien la plus forte hier soir. Que du bonheur. Pour une fois qu’il n’y avait ni froid, ni pluie, ni neige à Grenoble en plein hiver. Cerise sur le gâteau, il y eut seulement quelques bourrasques de vent, en souvenir de Perpignan.


Avec de telles de conditions de jeu, taillées pour l’armada offensive de l’USAP, l’offrande était belle pour des Catalans à l’appétit certain et au grand estomac. Face à un Grenoble déterminé à retrouver son standing, sans doute la puissance des Eru, Acebes, Botha et Piukala, tous blessés, aurait-elle fait encore plus la différence. Mais force est de reconnaître que les vingt-deux Usapistes présents sur la pelouse ont magnifiquement rempli leur devoir, preuve de l’incontestable solidarité du groupe catalan. Il y avait effectivement un coup à faire chez un adversaire qui n’en menait pas large, dans le sillage de résultats en dents de scie et d’un match superbement maîtrisé par les Catalans. Auteur d’une médiocre performance, Taumalolo, l’ex-pilier de l’USAP, symbolisait les atermoiements grenoblois, tandis que Pujol, auteur de jolis raids sur son aile, illustra l’effronterie catalane au cours d’un duel où il y avait gros à gagner au classement.

Le Stade des Alpes, majestueux vaisseau de verre de 19 700 places situé en plein cœur de ville, sentait bon le Top 14. Et l’essai de l’arrière grenoblois Vinisia, infiltré entre quatre défenseurs, en avait la saveur (20e). En comparaison, le numéro de Julien Farnoux peu avant la pause (36e) apparaissait plus chanceux : chandelle à suivre pour lui-même, rebond favorable et essai à bout de bras. À chacun son style, lors d’un bras de fer qui vit l’USAP s’imposer pour la première fois de la saison chez un Top 6. La furia grenobloise ne s’exprima finalement qu’à la reprise et l’essai de Taufa (47e). Pour le reste, dominés par le pressing et l’envie des sang et or, le FCGR accumula les fautes. Une aubaine pour le buteur Jonathan Bousquet. La botte de Bousquet fait la différence L’USAP manquait peut-être de muscle mais pas de jambes ni de vaillance en défense. Le FCGR le réalisa très vite et tout au long de la partie.


Même s’il parvint à virer en tête à la pause (10-8), le club isérois resta constamment sous la menace catalane. L’USAP joua crânement sa chance, tentant tous les coups possibles, pour revenir au score à la faveur de trois pénalités de Bousquet (17-17, 68e). Entre-temps, Fourcade avait hérité d’un carton jaune et Grenoble perdait pied lentement mais sûrement. « ça va se jouer à rien », confia le demi de mêlée Tom Ecochard à sa sortie. Bien senti. On connaît la suite, suivie d’une explosion de joie dans les rangs catalans. La dernière victoire de l’USAP en Isère remontait à 2004 (16-17). Celle d’hier porte la marque de la résurrection des sang et or au plus haut niveau. Perpignan, leader du classement provisoire, sait maintenant qu’il est capable de tout. Pas pareil.


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Dernière édition par un modérateur:
La victoire aurait pu se dessiner plus tot si les erreurs récurrentes avaient été absentes :plaquage raté de Torfs, en avant de Forletta, plongeon de Château et jeu au pied catastrophique de Selponi. Enfin faudrait enfin arrêter de se faire 50000 passes dans nos 22.Quand à Grenoble, loin de son niveau du début de saison.
 
La victoire aurait pu se dessiner plus tot si les erreurs récurrentes avaient été absentes :plaquage raté de Torfs, en avant de Forletta, plongeon de Château et jeu au pied catastrophique de Selponi. Enfin faudrait enfin arrêter de se faire 50000 passes dans nos 22.Quand à Grenoble, loin de son niveau du début de saison.
Oui, seul bémol hier pour moi, cette frénésie à continuer à se faire des passes dans nos 22 quand on revient à égalité au lieu de sortir proprement au pied après une ou deux fixations. J'avoue avoir fait de l'huile en craignant un ballon perdu assassin. On progresse depuis 2 matches sur les ballons portés (en défense notamment hier), restent à améliorer la gestion de nos temps faibles (au pied) et les sorties efficaces de nos 22.
 
C'est la première fois qu'on gagne chez un Top 6, mais bon tout le monde se souvient de la blague à Colomiers. Quant à Biarritz on avait clairement fait l'impasse. Je suis d'accord, avec une défense plus inspirée en face on pouvait se faire contrer dans nos 22...
 
C'est la première fois qu'on gagne chez un Top 6, mais bon tout le monde se souvient de la blague à Colomiers. Quant à Biarritz on avait clairement fait l'impasse. Je suis d'accord, avec une défense plus inspirée en face on pouvait se faire contrer dans nos 22...
On a gagné nos 4 matchs (domicile et exterieur) contre les deux équipes qui descendent de top 14 et tu en est encore à râler parce que, peut-être on aurait éventuellement pu se faire contrer si....?
 
On a gagné nos 4 matchs (domicile et exterieur) contre les deux équipes qui descendent de top 14 et tu en est encore à râler parce que, peut-être on aurait éventuellement pu se faire contrer si....?

J'ai le droit d'être d'accord avec les gens qui ont écrit au dessus ou il y a une police de la pensée ? Je suis très content de la victoire d'hier. "Tu en es" sinon. Et il ne faut pas se tromper, Montauban et Mont de Marsan c'est bien plus fort que le Grenoble d'hier.
 
L'année dernière on pouvait lire ça :



Enzo Selponi sera toujours catalan lors des deux prochaines saisons. Le demi d'ouverture de l'USAP (24 ans en juin) a renouvelé son contrat jusqu'en juin 2019.

"Enzo a confirmé en début de saison tout son potentiel. C'est un bon animateur de la ligne d'attaque, pouvant casser les défenses dans le un contre un", explique le directeur sportif Christian Lanta. "Il sait également varier et adapter ses lancements de jeu. Bon défenseur et plaqueur efficace,

Enzo possède encore une marge de progression importante. (pour le coup le soufflé a dégonflé)

Il devra s'affirmer pour les saisons à venir comme leader à son poste

(PATRICK mets le au centre... de formation pour les cadets )
 
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