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RUGBY - Le président de la LNR, Paul Goze, semble ne plus faire l'unanimité au sein des présidents des clubs de Top 14 et Pro D2. Le report des matches décidé à la va-vite l'a clairement fragilisé. A tel point qu'il pourrait être poussé vers la sortie.
Jamais Paul Goze n'a paru aussi fragile. Le président de la LNR demeure dans une position de plus en plus inconfortable et cette semaine pourrait être décisive concernant son avenir. Comme l'annonce Midi Olympique, il va rencontrer ce lundi Bernard Laporte concernant le report des matches Castres - Stade français et Montpellier - Racing 92. Le président de la FFR va lui signifier qu'il annule l'accord pour les dates trouvées par la Ligue (la semaine du 17 au 23 avril).
Mardi, Goze rencontrera les 8 membres du Comité Directeur de la LNR afin de préparer la réunion prévue en suivant entre tous les présidents des clubs de Top 14 et de Pro D2. Il sera notamment question du report de ses matches. Mais pas que. Il se murmure qu'un départ de Paul Goze n'est pas impossible, les membres de la LNR estimant que ce dernier prenait actuellement "trop de coups" et qu'un apaisement avec la FFR "ne se produirait qu'avec une prise de recul de Goze". Il payerait aussi sa décision hâtive concernant le report des matches.
Tingaud pour assurer l'intérim ?
"Certains peuvent souhaiter mon départ, d'autres peuvent l'espérer, mais je ne crois pas qu'une majorité des présidents soit dans cet état d'esprit", s'est défendu Paul Goze dans Midi Olympique. "De sorte que ma position est claire : je ne démissionnerai pas".
Il semblerait tout de même que Goze soit poussé vers la sortie. Qui alors pour assurer l'intérim ? Cela sera forcément un membre du bureau de la LNR. Marcel Martin ne devrait pas en être. Tout comme René Fontès, Yann Roubert et Pierre-Yves Revol. Marc Chérèque et Jean-Marc Manducher partent clairement avec une longueur de retard. Restent alors deux options : Alain Carré, président de Colomiers, et Alain Tingaud, son homologue d'Agen. C'est ce dernier qui tiendrait la corde. Il y songerait même depuis un petit moment.
Jamais Paul Goze n'a paru aussi fragile. Le président de la LNR demeure dans une position de plus en plus inconfortable et cette semaine pourrait être décisive concernant son avenir. Comme l'annonce Midi Olympique, il va rencontrer ce lundi Bernard Laporte concernant le report des matches Castres - Stade français et Montpellier - Racing 92. Le président de la FFR va lui signifier qu'il annule l'accord pour les dates trouvées par la Ligue (la semaine du 17 au 23 avril).
Mardi, Goze rencontrera les 8 membres du Comité Directeur de la LNR afin de préparer la réunion prévue en suivant entre tous les présidents des clubs de Top 14 et de Pro D2. Il sera notamment question du report de ses matches. Mais pas que. Il se murmure qu'un départ de Paul Goze n'est pas impossible, les membres de la LNR estimant que ce dernier prenait actuellement "trop de coups" et qu'un apaisement avec la FFR "ne se produirait qu'avec une prise de recul de Goze". Il payerait aussi sa décision hâtive concernant le report des matches.
Tingaud pour assurer l'intérim ?
"Certains peuvent souhaiter mon départ, d'autres peuvent l'espérer, mais je ne crois pas qu'une majorité des présidents soit dans cet état d'esprit", s'est défendu Paul Goze dans Midi Olympique. "De sorte que ma position est claire : je ne démissionnerai pas".
Il semblerait tout de même que Goze soit poussé vers la sortie. Qui alors pour assurer l'intérim ? Cela sera forcément un membre du bureau de la LNR. Marcel Martin ne devrait pas en être. Tout comme René Fontès, Yann Roubert et Pierre-Yves Revol. Marc Chérèque et Jean-Marc Manducher partent clairement avec une longueur de retard. Restent alors deux options : Alain Carré, président de Colomiers, et Alain Tingaud, son homologue d'Agen. C'est ce dernier qui tiendrait la corde. Il y songerait même depuis un petit moment.
