Hakatalan
USAPiste sérieux
Bonnes lectures les gens !
1)
http://www.lindependant.fr/2018/04/13/maxime-oltmann-usc-lusap-le-merite,3915780.php
Maxime Oltmann (USC) : « L’USAP le mérite »
Avec 20 matches dont 18 en tant que titulaire et 8 essais inscrits, Maxime Oltmann est la bonne surprise carcassonnaise de l’exercice. Ce dimanche, il défiera pour la première fois son club cœur : l'USAP.
Comment jugez-vous votre saison ?
J’étais venu chercher du temps de jeu, le pari est réussi. Mais je ne m’attendais franchement pas à en avoir autant. J’ai rapidement intégré le groupe, et j’en suis très satisfait.
Comment avez-vous vécu cette première partie compliquée pour votre équipe ?
Forcément, quand on est jeune, on aime bien intégrer un groupe qui tourne bien. Et là, on s’est coltiné la place de dernier pendant 4 à 5 mois. L’environnement n’était pas positif. Ce n’était pas évident. Après, tout le monde s’est réveillé, on a commencé à jouer, et il y a eu un petit changement de staff qui a amené un grand plus dans l’équipe.
Avez-vous douté ?
Je n’ai jamais perdu espoir car je savais que nous avions un effectif plutôt complet. Je ne comprenais pas notre mauvais classement. Et je savais que nous n’allions pas descendre, qu’à un moment ou à un autre ça allait le faire.
Des regrets ?
Bien sûr, car si nous nous y étions mis dès le début du championnat, nous aurions pu viser autre chose. Sur la phase retour, nous avons d’ailleurs réalisé un parcours de barragistes. Au final, le maintien est acquis, c’est déjà le plus gros du boulot.
À Aimé-Giral ce dimanche, la der de la saison n’aura-elle par une saveur particulière ?
Je suis très content de retrouver Perpignan, de jouer contre une telle équipe, leader de Pro D2. C’est vraiment pas mal ce que fait l’USAP cette saison. J’ai hâte de voir ce que notre groupe va donner face à l’actuel au numéro 1 de la catégorie. Puis, il y aura un peu de famille et pas mal d’amis dans les tribunes.
Êtes-vous surpris de voir l’USAP à ce niveau ?
J’ai grandi avec l’idée en tête de toujours voir Perpignan en Top 14, alors en Pro D2... Le grand retour de Patrick Arlettaz a fait énormément de bien à l’équipe. Je suis très content de la voir à cette première place et je ne vois pas une autre équipe monter. C’est mon favori à l’accession. Elle le mérite.
Serez-vous encore carcassonnais la saison prochaine ?
Je compte bien rester et suis d’ailleurs en négociation pour un contrat de deux ans. C’est en bonne voie, je pense que ça va se faire rapidement.
2)
http://www.lindependant.fr/2018/04/14/usap-strokosch-ladieu-aux-armes,3915972.php
USAP - Strokosch: l’adieu aux armes
Après six ans de bons et loyaux services, le troisième ligne Alasdair Strokosch prendra sa retraite à la fin de la saison.
Il a tenté de le forcer, pendant des mois et sans relâche. Mais le destin est sans pitié. Même avec les plus braves guerriers. La carrière d’Alasdair Strokosch (35 ans, 1,91 m, 110 kg) s’est achevée le 30 novembre dernier à Biarritz. Un soir où l’USAP a bu la tasse sous des trombes d’eau (37-11). Sorti sur KO à la demi-heure de jeu, «Ally» y a livré son dernier combat. La faute à une hernie cervicale qui ne le laissera plus en paix. «C’est un signal: je ne suis plus capable de jouer, affirme le troisième ligne aile écossais. Mon corps me dit que j’ai fait mon temps. Depuis deux ou trois ans, je ne suis plus très content de mon niveau. J’avais l’habitude de faire mieux. J’avais l’envie de jouer, mais moins de capacités».
Un constat honnête et lucide de la part de l’ancien international écossais (47 sélections). À l’image du personnage: un joueur de devoir par excellence, véritable machine à plaquer au sommet de sa carrière. L’investissement de l’ancien joueur d’Edimbourg (Écosse) et Gloucester (Angleterre) n’a jamais été remis en cause.
Fan de rock et d’heavy metal, et plus particulièrement du groupe AC/DC, Strokosch est paradoxalement du genre discret et taiseux dans un vestiaire. Tout le contraire de l’expansif Enzo Forletta. «C’est vrai qu’il ne parle pas beaucoup, confirme le pilier gauche. Mais du coup, avec en plus la carrière qui est la sienne, quand il dit quelque chose, tu écoutes».
Le première ligne catalan sait de quoi il parle. «Il a pris de son temps de vacances et pendant cinq semaines, il nous a aidés Custoja (Jean-Baptiste, ex-USAP, désormais pilier de Provence Rugby) et moi pour nous faire la préparation physique». L’anecdote remonte à l’intersaison 2016 et elle fait sourire Strokosch. «On n’avait jamais inculqué à Enzo, qui peut aller jusqu’au niveau international s’il continue de progresser comme ça, l’hygiène de vie que doit avoir un rugbyman. Il ne savait pas le type d’entraînement qu’il fallait faire hors rugby pendant l’été, alors je l’ai pris avec moi». Comme un avant-goût de sa vie d’après.
Préparateur physique à Edimbourg
Après quinze ans de rugby pro entre Edimbourg (2003-2007), Gloucester (2007-2012) et l’USAP (2012-2018), Strokosch va passer de l’autre côté de la barrière. Il rejoindra dans quelques semaines son ancien club d’Edimbourg où l’attendent un poste de préparateur physique et un contrat de trois ans. «La préparation physique m’a toujours intéressé, souligne-t-il. Quand j’étais jeune, il y avait de meilleurs joueurs que moi et je me suis dit que le seul moyen pour moi de jouer était de m’améliorer physiquement». Une profession de foi pour l’Écossais qui n’a eu de cesse de travailler toute sa carrière, s’imposant une hygiène de vie exemplaire. Demain, comme à ses coéquipiers qui quittent l’USAP en fin de saison, Aimé-Giral lui rendra l’hommage qu’il mérite. Puis il s’en ira, sans faire de bruit. Comme toujours.
3)
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Pro D2 - USAP-Carcassonne - Clap de fin pour Millo-Chluski et Ruiz ?
Trentenaires rassasiés, blessés longue durée, Millo-Chluski et Ruiz avouent être dans l’expectative. L'USAP saluera leur départ et celui de plusieurs autres joueurs après la réception de Carcassonne.
Cinq mois et demi ont passé, sans qu’il n’officialise aucune décision concernant son avenir. Victime d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou le 22 octobre 2017 à Narbonne (victoire 24-13), le deuxième ligne international de l’USAP, Romain Millo-Chluski (18 sélections, 35 ans le 20 avril) assure être toujours dans l’expectative. "Je ne me suis pas posé la question, vraiment. La question n’est pas taboue mais je me laisse temps de la réflexion. J’ai fait des efforts pour essayer de revenir, je ne me suis pas fait opérer justement pour me donner le choix de continuer ou pas. On verra bien", confie-t-il en faisant dévier la conversation sur le parcours de l’USAP, comme s’il était supporteur numéro un.
"Je suis hyper content de voir l’USAP à ce niveau. On a toujours cru en nous. Maintenant, il faut être déterminé, encore plus exigeant et être prêt le jour J, avec ce supplément d’âme qui fait souvent basculer rencontre". Le discours se veut volontairement optimiste et flou.
Triple champion de France (2008, 2011, 2012) et d’Europe (2003, 2005, 2010) avec Toulouse, le "grand blond" (8 matches cette saison), qui a déjà beaucoup donné, ne se voit pas faire les choses à moitié. Aura-t-il la motivation pour consentir à nouveau d’énormes sacrifices deux ans après son arrivée au club ? Rien n’est moins sûr.
En attendant, sa "petite mort" semble presque derrière lui, l’après-carrière lui ouvre les bras, sous la forme d’un diplôme délivré par la prestigieuse Toulouse Business School, en partenariat avec Provale (le syndicat des joueurs). "Ça offre une visibilité sur le marché du travail", commente-t-il avec un nouvel enthousiasme.
Usure physique pour Ruiz
Un chemin qu’empruntera peut-être Christopher Ruiz, lui aussi dans l’indécision. Arrivé au club en joker médical de Jacques-Louis Potgieter, "Cristo", touché au tendon d’Achille, parle d’ailleurs au conditionnel passé. "Je fais tout pour être prêt et parer à toute éventualité. Je sens que je ne suis pas très loin, ça nécessite beaucoup d’efforts. L’an prochain, c’est encore loin. J’aurais aimé rempiler un an de plus, parce qu’il y a encore la possibilité de jouer avec l’Espagne et de disputer une Coupe du monde... Je sens aussi qu’il y a aussi l’usure du temps, ça devient de plus en plus difficile physiquement. Je n’ai pas été épargné ces dernières années. Il faudra prendre une décision honnête".
4)
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USAP: le 2e ligne Vivalda touché aux cervicales
En marge de son éclatante victoire (73-7), cet après-midi à Aimé-Giral contre Carcassonne, l’USAP a perdu le deuxième ligne Yohan Vivalda, touché aux cervicales et sorti à la 64e minute du match.
Le joueur passera des examens complémentaires demain afin de déterminer la nature exacte de sa blessure, qui pourrait le priver de la demi-finale d’accession programmée le week-end du 28/29 avril.
Par ailleurs, l’autre deuxième ligne Berend Botha souffre, lui, d’un coup au sternum claviculaire.
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Maxime Oltmann (USC) : « L’USAP le mérite »
Avec 20 matches dont 18 en tant que titulaire et 8 essais inscrits, Maxime Oltmann est la bonne surprise carcassonnaise de l’exercice. Ce dimanche, il défiera pour la première fois son club cœur : l'USAP.
Comment jugez-vous votre saison ?
J’étais venu chercher du temps de jeu, le pari est réussi. Mais je ne m’attendais franchement pas à en avoir autant. J’ai rapidement intégré le groupe, et j’en suis très satisfait.
Comment avez-vous vécu cette première partie compliquée pour votre équipe ?
Forcément, quand on est jeune, on aime bien intégrer un groupe qui tourne bien. Et là, on s’est coltiné la place de dernier pendant 4 à 5 mois. L’environnement n’était pas positif. Ce n’était pas évident. Après, tout le monde s’est réveillé, on a commencé à jouer, et il y a eu un petit changement de staff qui a amené un grand plus dans l’équipe.
Avez-vous douté ?
Je n’ai jamais perdu espoir car je savais que nous avions un effectif plutôt complet. Je ne comprenais pas notre mauvais classement. Et je savais que nous n’allions pas descendre, qu’à un moment ou à un autre ça allait le faire.
Des regrets ?
Bien sûr, car si nous nous y étions mis dès le début du championnat, nous aurions pu viser autre chose. Sur la phase retour, nous avons d’ailleurs réalisé un parcours de barragistes. Au final, le maintien est acquis, c’est déjà le plus gros du boulot.
À Aimé-Giral ce dimanche, la der de la saison n’aura-elle par une saveur particulière ?
Je suis très content de retrouver Perpignan, de jouer contre une telle équipe, leader de Pro D2. C’est vraiment pas mal ce que fait l’USAP cette saison. J’ai hâte de voir ce que notre groupe va donner face à l’actuel au numéro 1 de la catégorie. Puis, il y aura un peu de famille et pas mal d’amis dans les tribunes.
Êtes-vous surpris de voir l’USAP à ce niveau ?
J’ai grandi avec l’idée en tête de toujours voir Perpignan en Top 14, alors en Pro D2... Le grand retour de Patrick Arlettaz a fait énormément de bien à l’équipe. Je suis très content de la voir à cette première place et je ne vois pas une autre équipe monter. C’est mon favori à l’accession. Elle le mérite.
Serez-vous encore carcassonnais la saison prochaine ?
Je compte bien rester et suis d’ailleurs en négociation pour un contrat de deux ans. C’est en bonne voie, je pense que ça va se faire rapidement.
2)
http://www.lindependant.fr/2018/04/14/usap-strokosch-ladieu-aux-armes,3915972.php
USAP - Strokosch: l’adieu aux armes
Après six ans de bons et loyaux services, le troisième ligne Alasdair Strokosch prendra sa retraite à la fin de la saison.
Il a tenté de le forcer, pendant des mois et sans relâche. Mais le destin est sans pitié. Même avec les plus braves guerriers. La carrière d’Alasdair Strokosch (35 ans, 1,91 m, 110 kg) s’est achevée le 30 novembre dernier à Biarritz. Un soir où l’USAP a bu la tasse sous des trombes d’eau (37-11). Sorti sur KO à la demi-heure de jeu, «Ally» y a livré son dernier combat. La faute à une hernie cervicale qui ne le laissera plus en paix. «C’est un signal: je ne suis plus capable de jouer, affirme le troisième ligne aile écossais. Mon corps me dit que j’ai fait mon temps. Depuis deux ou trois ans, je ne suis plus très content de mon niveau. J’avais l’habitude de faire mieux. J’avais l’envie de jouer, mais moins de capacités».
Un constat honnête et lucide de la part de l’ancien international écossais (47 sélections). À l’image du personnage: un joueur de devoir par excellence, véritable machine à plaquer au sommet de sa carrière. L’investissement de l’ancien joueur d’Edimbourg (Écosse) et Gloucester (Angleterre) n’a jamais été remis en cause.
Fan de rock et d’heavy metal, et plus particulièrement du groupe AC/DC, Strokosch est paradoxalement du genre discret et taiseux dans un vestiaire. Tout le contraire de l’expansif Enzo Forletta. «C’est vrai qu’il ne parle pas beaucoup, confirme le pilier gauche. Mais du coup, avec en plus la carrière qui est la sienne, quand il dit quelque chose, tu écoutes».
Le première ligne catalan sait de quoi il parle. «Il a pris de son temps de vacances et pendant cinq semaines, il nous a aidés Custoja (Jean-Baptiste, ex-USAP, désormais pilier de Provence Rugby) et moi pour nous faire la préparation physique». L’anecdote remonte à l’intersaison 2016 et elle fait sourire Strokosch. «On n’avait jamais inculqué à Enzo, qui peut aller jusqu’au niveau international s’il continue de progresser comme ça, l’hygiène de vie que doit avoir un rugbyman. Il ne savait pas le type d’entraînement qu’il fallait faire hors rugby pendant l’été, alors je l’ai pris avec moi». Comme un avant-goût de sa vie d’après.
Préparateur physique à Edimbourg
Après quinze ans de rugby pro entre Edimbourg (2003-2007), Gloucester (2007-2012) et l’USAP (2012-2018), Strokosch va passer de l’autre côté de la barrière. Il rejoindra dans quelques semaines son ancien club d’Edimbourg où l’attendent un poste de préparateur physique et un contrat de trois ans. «La préparation physique m’a toujours intéressé, souligne-t-il. Quand j’étais jeune, il y avait de meilleurs joueurs que moi et je me suis dit que le seul moyen pour moi de jouer était de m’améliorer physiquement». Une profession de foi pour l’Écossais qui n’a eu de cesse de travailler toute sa carrière, s’imposant une hygiène de vie exemplaire. Demain, comme à ses coéquipiers qui quittent l’USAP en fin de saison, Aimé-Giral lui rendra l’hommage qu’il mérite. Puis il s’en ira, sans faire de bruit. Comme toujours.
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Pro D2 - USAP-Carcassonne - Clap de fin pour Millo-Chluski et Ruiz ?
Trentenaires rassasiés, blessés longue durée, Millo-Chluski et Ruiz avouent être dans l’expectative. L'USAP saluera leur départ et celui de plusieurs autres joueurs après la réception de Carcassonne.
Cinq mois et demi ont passé, sans qu’il n’officialise aucune décision concernant son avenir. Victime d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou le 22 octobre 2017 à Narbonne (victoire 24-13), le deuxième ligne international de l’USAP, Romain Millo-Chluski (18 sélections, 35 ans le 20 avril) assure être toujours dans l’expectative. "Je ne me suis pas posé la question, vraiment. La question n’est pas taboue mais je me laisse temps de la réflexion. J’ai fait des efforts pour essayer de revenir, je ne me suis pas fait opérer justement pour me donner le choix de continuer ou pas. On verra bien", confie-t-il en faisant dévier la conversation sur le parcours de l’USAP, comme s’il était supporteur numéro un.
"Je suis hyper content de voir l’USAP à ce niveau. On a toujours cru en nous. Maintenant, il faut être déterminé, encore plus exigeant et être prêt le jour J, avec ce supplément d’âme qui fait souvent basculer rencontre". Le discours se veut volontairement optimiste et flou.
Triple champion de France (2008, 2011, 2012) et d’Europe (2003, 2005, 2010) avec Toulouse, le "grand blond" (8 matches cette saison), qui a déjà beaucoup donné, ne se voit pas faire les choses à moitié. Aura-t-il la motivation pour consentir à nouveau d’énormes sacrifices deux ans après son arrivée au club ? Rien n’est moins sûr.
En attendant, sa "petite mort" semble presque derrière lui, l’après-carrière lui ouvre les bras, sous la forme d’un diplôme délivré par la prestigieuse Toulouse Business School, en partenariat avec Provale (le syndicat des joueurs). "Ça offre une visibilité sur le marché du travail", commente-t-il avec un nouvel enthousiasme.
Usure physique pour Ruiz
Un chemin qu’empruntera peut-être Christopher Ruiz, lui aussi dans l’indécision. Arrivé au club en joker médical de Jacques-Louis Potgieter, "Cristo", touché au tendon d’Achille, parle d’ailleurs au conditionnel passé. "Je fais tout pour être prêt et parer à toute éventualité. Je sens que je ne suis pas très loin, ça nécessite beaucoup d’efforts. L’an prochain, c’est encore loin. J’aurais aimé rempiler un an de plus, parce qu’il y a encore la possibilité de jouer avec l’Espagne et de disputer une Coupe du monde... Je sens aussi qu’il y a aussi l’usure du temps, ça devient de plus en plus difficile physiquement. Je n’ai pas été épargné ces dernières années. Il faudra prendre une décision honnête".
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USAP: le 2e ligne Vivalda touché aux cervicales
En marge de son éclatante victoire (73-7), cet après-midi à Aimé-Giral contre Carcassonne, l’USAP a perdu le deuxième ligne Yohan Vivalda, touché aux cervicales et sorti à la 64e minute du match.
Le joueur passera des examens complémentaires demain afin de déterminer la nature exacte de sa blessure, qui pourrait le priver de la demi-finale d’accession programmée le week-end du 28/29 avril.
Par ailleurs, l’autre deuxième ligne Berend Botha souffre, lui, d’un coup au sternum claviculaire.