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Monsieur Goutta tient tribune

Tu es sur qu'il parle de Goze ? Qui aurait écarté ceux de
009? Qui aurait décatanalisé le club ? Qui n'aurait pas voulu garder les anciens ( chose que certains lui reprochent)? donc quand il dit je cite "une erreur politique" c'est pas la faute du président (qui est la personne qui impulse la politique du club au passage)! C'est qui alors qui fait la politique du club si c'est pas le Président ? Tu vas me dire les actionnaires, mais les actionnaires élisent qui ? Le président ! CQFD :391581:


Mélé est parti sous l'ére Besson/delpoux c'est de notoriété publique que c'est Besson qui a fait la politique du club et qu'il n'était pas la marionnette d'un certain PG ! haha Au passage qui a catapulté Besson Président et fait venir Delpoux ?
geli n'a jamais fait parti des cadres et son départ est ubuesque et cela fut une erreur de plus car a Montpellier il fait désormais parti des cadres ! :6775:
Candelon et Sid n'avait pas le "profil" de l'ailier version delpoux on a tous vu ou cela nous a mené avec Votu (et ses problèmes de passeport) et Guitoune (qui a joué 6 mois en 2 ans) résultat ProD2 !


C'est bizarre comme vous voulez faire "coller" la réponse de goutta à votre opinion..hahahahahaha C'est bizarre ton obstination a défendre quelqu'un même lorsque les fais sont réelles ! haha
Un peu beaucoup de mauvaise foi.hahahahahaha Venant de toi je ne sais pas comment le prendre ! haha
Lorsque j'ai écris le post je me suis dit "tu verras les avocats de Goze et Delpoux débarques en un clin d'œil" JACKPOT ! Goze à Marco et Delpoux à Océan, heureusement pour l'USAP il reste tous les autres ! :6775:
 
Les gènes du rugby catalan peuvent-ils correspondre au jeu qui attend l'USAP cette saison ?
Le seul avertissement que je peux donner à l'USAP c'est que la reconquête se fait sur le terrain, pas sur un tapage médiatique. Ce championnat a élevé son niveau, il sera dur d'aller batailler à Albi, Tarbes, etc... J'espère pour l'USAP qu'elle va vite prendre la température pour se positionner dans le haut du classement.


Avez-vous eu des nouvelles des Perpignanais ces jours derniers ?

Non, ça fait deux ans… Il n'y a que cette semaine qui me paraît curieuse, où l'on s'intéresse un peu à moi et au vécu que j'ai eu avec Perpignan. Sinon, pendant deux ans, personne ne m'a invité à venir à Aimé-Giral. Plus ça va aller à l'USAP, moins je vais connaître de personnes, c'est logique. Le seul lien humain qui me reste c'est Ponpon (Francis Ponseille, responsable logistique du club), Pedro (Jean-Pierre Pérez), Zaza (David Marty) avec qui j'ai joué, Guillaume Vilacéca que j'ai vu arriver de Céret, Joffrey Michel. Après, c'est une autre génération, un autre staff, un autre président. Le seul lien qui me reste, c'est cette relation que j'avais avec les supporters. Je donnais tout sur le terrain pour eux, mais eux savaient me le rendre aussi. J'avais cette communion, cette osmose avec le public. C'est presque le seul lien qui me reste avec l'USAP. "Je n'attends pas des honneurs, juste un peu de respect par rapport au travail que j'ai fait à l'USAP"
Serait-il impossible que vous reveniez un jour occuper des fonctions à l'USAP ?
Rien n'est impossible bien évidemment. J'ai encore quatre années de contrats avec Colomiers (jusqu'en juin 2018, ndlr) où je me suis inscrit sur la durée à partir du moment où y a relation de confiance. Ici il ne me manque que la mer. J'ai la possibilité de piloter un projet, d'essayer de bâtir, avec humilité mais de l'ambition. Ma dernière saison à l'USAP (2011-2012) a été éprouvante. Heureusement que cette année-là il y avait encore dans l'équipe des joueurs catalans, des cadres. Ils allaient arrêter leur carrière et ce sont eux qui sont passés devant pour justement ne pas faire partie de la génération qui a fait descendre l'USAP. Avec une identité, une culture tu arrives à t'en sortir. Après, bien évidemment que mes racines et mon sang sont en Catalogne. Mais maintenant, mon cœur est à Colomiers. Si un jour l'USAP était en difficultés et faisait appel à moi, bien sûr que ça ne se refuse pas.
 
Ce n'est pas du tout ce que dit Goutta... tu voudrais lui faire dire ce que tu nous rabachze , sans preuve , depuis un moment...
Quand il dit qu'on a écarté les anciens de 2009 ( je l'ai dit en son temps) ce n'est pas pareil .
pourquoi ils ont pas été conservés aussi, parce qu'en 2012 la moitié d'entre eux se comportaient comme des sénateurs alors que soit ils ne mouillaient pas le maillot soit ils avançaient plus obtenant la peau de delmas qui les faisait trop s'entrainer soit disant (largement soutenus par l'entraîneur des avants soit dit en pensant.... bref une ambiance nauséabonde qui est devenue ingérable à cause d'un président qui a laisser la situation pourrir
De plus Mermoz , chouly , planté, l'Usap n'a pas pu les retenir : ils voulaient partir pour l'EDF et le meilleur salaire) Tout comme la patote et guirado.
Quant à Tonita , il était physiquement en mauvais état d'ailleurs àCarca , il n'a pas brillé.
Les seuls qu'on a viré : Porical et mélé c'est Delpoux qui ne les a plus voulus...
à quel moment j'ai dit le contraire? Néanmoins ces joueurs ne seraient pas partis si l'usap avait continué à jouer le haut du tableau. le seul que je regrette c'est mélé qui était un gagneur, les autres soit ils avaient pas le niveau, soit ils étaient âgés, soit on pouvait pas les retenir financièrement.
Deux anciens piliers de 2009 ont éé intégrés au staff administratifs ... pour combien de temps.
Je précise
 
Les gènes du rugby catalan peuvent-ils correspondre au jeu qui attend l'USAP cette saison ?
Le seul avertissement que je peux donner à l'USAP c'est que la reconquête se fait sur le terrain, pas sur un tapage médiatique. Ce championnat a élevé son niveau, il sera dur d'aller batailler à Albi, Tarbes, etc... J'espère pour l'USAP qu'elle va vite prendre la température pour se positionner dans le haut du classement.


Avez-vous eu des nouvelles des Perpignanais ces jours derniers ?

Non, ça fait deux ans… Il n'y a que cette semaine qui me paraît curieuse, où l'on s'intéresse un peu à moi et au vécu que j'ai eu avec Perpignan. Sinon, pendant deux ans, personne ne m'a invité à venir à Aimé-Giral. Plus ça va aller à l'USAP, moins je vais connaître de personnes, c'est logique. Le seul lien humain qui me reste c'est Ponpon (Francis Ponseille, responsable logistique du club), Pedro (Jean-Pierre Pérez), Zaza (David Marty) avec qui j'ai joué, Guillaume Vilacéca que j'ai vu arriver de Céret, Joffrey Michel. Après, c'est une autre génération, un autre staff, un autre président. Le seul lien qui me reste, c'est cette relation que j'avais avec les supporters. Je donnais tout sur le terrain pour eux, mais eux savaient me le rendre aussi. J'avais cette communion, cette osmose avec le public. C'est presque le seul lien qui me reste avec l'USAP. "Je n'attends pas des honneurs, juste un peu de respect par rapport au travail que j'ai fait à l'USAP"
Serait-il impossible que vous reveniez un jour occuper des fonctions à l'USAP ?
Rien n'est impossible bien évidemment. J'ai encore quatre années de contrats avec Colomiers (jusqu'en juin 2018, ndlr) où je me suis inscrit sur la durée à partir du moment où y a relation de confiance. Ici il ne me manque que la mer. J'ai la possibilité de piloter un projet, d'essayer de bâtir, avec humilité mais de l'ambition. Ma dernière saison à l'USAP (2011-2012) a été éprouvante. Heureusement que cette année-là il y avait encore dans l'équipe des joueurs catalans, des cadres. Ils allaient arrêter leur carrière et ce sont eux qui sont passés devant pour justement ne pas faire partie de la génération qui a fait descendre l'USAP. Avec une identité, une culture tu arrives à t'en sortir. Après, bien évidemment que mes racines et mon sang sont en Catalogne. Mais maintenant, mon cœur est à Colomiers. Si un jour l'USAP était en difficultés et faisait appel à moi, bien sûr que ça ne se refuse pas.

Saison éprouvante qu'ils se sont eux-mêmes créés...
 
La "décatalanisation" s'est faite après l'horrible saison 2011/2012.
Pourtant, cette année là, il y avait encore FantoMas, Olibeau, rak, Schuster, Sid, Porical, Mélé, Planté, Mermoz, Chouly... et Goutta au manettes.
Ce n'est pas parce l'équipe s'est "décatalanisée" que les résultats ont été mauvais, c'est parce les résultats étaient mauvais que l'équipe a été renouvelée et donc s'est décatalanisée.
Faudrait voir à pas inverser cause et conséquences.
Le grain de sable aura été, après le départ de Brunel et Azema (et quand on y pense c'est juste aberrant que ces deux là soient partis après deux années de suite en finale), la venue de Delmas, la tête (gominée 'sic') encore dans les studios de Canal+.
Vous remarquerez quand même que le gonze a pas mal changé depuis qu'il entraîne les avants à Toulon. Il lui aura fallu un temps d'adaptation logique pour retrouver le terrain, mais le Delmas que nos dirigeants bien pensants ont catapulté complètement seul à la tête du staff de l'USAP à un moment où elle devait maintenir un cap difficile n'était pas l'homme de la situation.Et après un tel fiasco, filer les clés du camion à un entraîneur de pro D2 en lui disant "fais ce que tu veux, amuses toi", c'était tout aussi peu inspiré.

Il ne faut pas oublier que les joueurs pros sont des gamins, même à trente ans passés, avec un mode de vie bien différent du notre. Ils font la teuf quand ils le peuvent, fument des joints, se battent avec des tables de nuit et des chaises, et se retrouvent malgré eux impliqués dans des rixes en sortie de boîte avec des voyous ou des policiers. Ils peuvent avoir le plus grand talent du monde, s'ils ne sont pas encadrés correctement il ne faut pas s'attendre à ce qu'ils se prennent en main tout seuls. Il y a bien quelques exceptions, mais ces exceptions là en général font une carrière qui se démarque des autres. Je ne crois pas à la responsabilité des joueurs; Bien tenus et bien entourés, ils auraient tous donné le meilleur d'eux mêmes pour ce club. D'autant qu'à ce moment là, on osait défier les grosses cylindrées du championnat.
 
Après deux finales de Top14 dont un titre , on peut comprendre que les joueurs de l'époque ont eu une démotivation et malheureusement l'encadrement comme les joueurs qui intégraient le groupe à l'époque n'ont pas insufflé, poussé et motivé l'ensemble du groupe et plus particulièrement les "anciens" à se surpasser une fois de plus.
Voila mon point de vu sur ces dernières saisons du club.
Maintenant pour l'ensemble de son œuvre et surtout de son manque de cohésion humaine et rugbystique, je donne la palme d'Or à Delpoux.
 
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