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Mathieu Acebes (usap) : « sans Combat, T’existes Pas » - Lindependant.fr

Vous êtes flingués !

Donc tu joues comme de la ***** faut rien dire à la presse (et donc aux supporters)
Si tu joues bien faut rien dire à la presse sinon tu te la racontes
Et si la presse ne publie rien du club ils sont anti-USAP

En définitif laissons le micro au Président? Non je deconne lui vaut mieux pas.

Moi la seule chose qui me dérange vraiment avec nos joueurs est la différence entre les paroles et les actes. Pour moi ce sont des baltringues. Ca me rappelle le combat Maynwheater vs Pacquiao. Soit disant le combat de siècle, des belles paroles et ca se fini en grosse blague.
Alors pour une fois qu'ils mettent en pratique les paroles.
 
Vous êtes flingués !

Donc tu joues comme de la ***** faut rien dire à la presse (et donc aux supporters)
Si tu joues bien faut rien dire à la presse sinon tu te la racontes
Et si la presse ne publie rien du club ils sont anti-USAP

En définitif laissons le micro au Président? Non je deconne lui vaut mieux pas.

Moi la seule chose qui me dérange vraiment avec nos joueurs est la différence entre les paroles et les actes. Pour moi ce sont des baltringues. Ca me rappelle le combat Maynwheater vs Pacquiao. Soit disant le combat de siècle, des belles paroles et ca se fini en grosse blague.
Alors pour une fois qu'ils mettent en pratique les paroles.
Nous sommes tous sur la même longueur d ondes :
La vérité est sur le terrain !
A demain !
****** con ça rime .... je vais me coucher !
 
Mathieu Acebes, l’arrière-ailier de l’USAP, se montre sans concession envers les sang et or avant la réception d’Aurillac.

Alors que le club est 11e du classement, gagner Aurillac dimanche, c’est refuser d’abdiquer ?

C’est tout simplement un devoir. On joue à Aimé-Giral devant notre public et, comme on n’a pas eu de résultats probants à l’extérieur, on se doit de gagner à la maison. On n’a pas le choix. À domicile, on joue toujours pour gagner.

La défaite (21-10) à Mont-de-Marsan a fait du bruit en interne ; les coaches vous ont-ils remonté les bretelles ?

On a eu ce qu’on méritait. Quand on n’est pas présent dans l’engagement et le combat, ce qui est l’essence même du rugby, il est compliqué d’exister. C’est d’autant plus rageant que, même sans ça, on n’est pas loin à la fin. Ça donne beaucoup de regrets, or il n’y a rien de pire que de vivre avec des regrets.

Mercredi, vous avez eu droit à une opposition musclée avec les Espoirs...

On a essayé de remettre cet engagement et ce combat qui nous manquaient. Comme des enfants de l’école de rugby qui n’ont pas été bons le week-end précédent.

L’USAP serait-elle une équipe à réaction ?

Ça commence à m’énerver qu’on dise qu’on est une équipe à réaction. J’espère qu’on va prendre les choses en main et qu’on va se comporter comme des grands garçons.

Comment expliquer-vous ce grand écart dans les prestations ?

C’est irrationnel. L’aspect psychologique et mental est sûrement en jeu. À nous de nous faire mal et de nous préparer mentalement pour faire des gros matches à chaque fois. Maintenant, on est averti. Ce ne sont pas les entraîneurs qui sont sur le terrain, mais nous. Il va falloir se prendre en main et arrêter de dire « oui, mais y’a ça, etc... ». On va le montrer sur le terrain.

Perpignan a récolté quatre points de bonus offensif lors de ses cinq dernières sorties à Aimé-Giral. Vous y pensez ?

Franchement, ça serait manquer de respect de parler de ça avant Aurillac, qui est une grosse équipe. Loin de moi l’idée qu’on prenne le bonus. On va d’abord essayer de gagner.

Vous dégagez néanmoins une belle confiance à domicile.

Oui, mais il faut se remettre en question tout le temps. Ce n’est pas parce qu’on a empoché pas mal de bonus offensif (4) qu’on va le refaire ce week-end. Il faut toujours être attentif et rester concentré sur l’objectif. Rien n’est fait.

À titre personnel, vous revenez d’une énième blessure (fracture malléole)...

J’ai envie de jouer au rugby. C’est vrai que je n’ai pas été épargné depuis le début de la saison. J’ai à cœur de montrer que je suis autre chose qu’un joueur qui se blesse. Durant ma carrière je l’ai d’ailleurs rarement été. Là, c’est dur pour moi de vivre ces périodes-là, d’autant que hors du terrain on se sent impuissant, on ne peut rien montrer.
 
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